FICHE DE LECTURE Pere Goriot
FICHE DE LECrURE Auteur : Honoré de Balzac Titre : Le Père Goriot Lieu de parution : Paris Maison d’édition : Hachette Livre Date de publication : 2007 Nombre de page : 351 Commentaire : Marie-Hélène Robinot-Bichet Date de la première édition : 1835 Genre : roman Honoré de Balzac est né en 1799 comme le premier fils d’un administrateur de l’h préférée, elle l’encou biographie de son frè et un demi-frère. Da collègue des oratorie orE r Laura était sa a même publié la vait une autre soeur 3 il fréquente la toute la famille s’est installée à Paris au quartier du Marais.
CAnnée suivante Balzac commence ses études en droit à Sorbonne et il devient bachelier. Cela lui a pris trois ans. Après Féchec de la tragédie en vers Cromwell (1821), Balzac s’est mit à écrire des romans et il décide de faire du roman un genre majeur. Tout d’abord, il devait écrire les romans d’aventures qui était en vogue, mais il les trouve trop mauvais pour les signer. En 1825, Balzac se lance dans les affaires et décide de devenir éditeur, puis imprimeur. Mais les deux ans plus tard, c’est la faillit. À mesure que sa technique s’améliorait, Balzac connait son premier vrai succès vec Les Chouans (1829).
Son explosion créative commence dans les années trente d’où vient aussi les romans de moeurs Eugenie Grandet (1833) et Le Père Goriot (1834 – 1835). Dans ce temps-là, Balzac s’est mit à réfléchir à rédiger un cycle ro romanesque qui dépeindrait les divers types d’hommes dans les divers milieux afin de faire une image complète de la société d’époque. En 1842, il a regroupé un cycle des romans, des nouvelles et d’essais sous le titre La Comédie humaine qui se divise en trois parties – Études de moeurs, Étude philosophique et Étude analytique.
La première partie est encore repartie en six ensembles – Scènes de la vie privée, province, parisienne, politique, militaire et de campagne. En 1 850, il souffrait tellement d’une tension nerveuse qu’il en mourant appelait le médecin Horace Bianchon, un des personnages imaginaires de ses romans. Au cours de sa vie Balzac a créé des centaines d’oeuvres avec des milliers de personnages pour faire un tableau de la société contemporaine aujourd’hu considéré comme l’un des plus importants chefs-d’oeuvre de la littérature. Le Père Goriot est un petit roman de moeurs parisiens qui ait partie des Scènes de la vie privée.
Avant que ce récit soit totalement achevé, sa parution débute sous forme de feuilleton dans La Revue de Paris en 1834. La première édition, parue le 2 mars 1835, est divisée en sept chapitres. L’édition avec laquelle j’ai travaillé compte quatre parties – I. Une Pension bourgeoise, II. L’Entrée dans le monde, Ill. Trompe-la-mort, IV. La mort du père Goriot. L’histoire est située à Paris de la Restauration, notamment au faubourg Saint-Marceau, à la Chaussé-d’Antin et au faubourg Saint-Germain. Le faubourg Saint-Marceau sur la rive gauche, roche du quartier Latin est celui où la pension Vauquer est situé.
C’est un quartier des débuts dans la vie. Au contraire, le faubourg pension Vauquer est situé. C’est un quartier des débuts dans la vie. Au contraire, le faubourg Saint-Germain et la Chaussé-d’Antin sont des quartiers élégants. Le premier celui de l’aristocratie distinguée où règne madame de Bauséant et le second celui de la nouvelle bourgeoisie où on trouve l’hôtel de Restaud et la maison du banquier Nucingen. L’auteur décrit la misère des pensionnaires installés chez madame Vauquer, ainsi que a splendeur des résidences et des bals de noblesse.
Les sept pensionnaires chez madame Vauquer représentent une gamme large des habitants parisiens — un étudiant en droit et futur arriviste Eugène Rastignac, un ancien fabricant le Père Goriot, une veuve madame Couture avec une jeune fille Victorine Taillefer, une vielle fille mademoiselle Michonneau, un vieillard monsieur Poiret et un personnage un peu mystérieux, ancien bagnard dit Vautrin. À l’extérieur de la pension bourgeoise, Balzac nous présente le monde de Tout-Paris avec ses élites — la cousine de
Rastignac la vicomtesse de Beauséant et son amant le marquis d’Ajuda-Pinto, les filles du Père Goriot Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen avec ses maris et les autres. Plus de quarante personnages de La Comédie humaine traversent Le Père Goriot. Balzac fait réapparaitre nombreux de personnages dans ses autres romans à travers des différentes étapes de son existence en vue de dévoiler la complexité des caractères au lecteur. Il s’agit d’un principe spécifique balzacien qui sert aussi à garder la cohérence interne de La Comédie humaine.
Par xemple, nous retrouvons baron de Nucingen, Vautrin et Eugène de Rastignac dans Comédie humaine. Par exemple, nous retrouvons baron de Nucingen, Vautrin et Eugène de Rastignac dans Splendeurs et misères des courtisans (1838 – 1847) et dans Illusions perdues (1 837 — 1843). Rastignac seul apparait plus de vingt fois dans La Comédie humaine. Eugène Rastignac est un jeune homme de vingt-deux ans qul est venu à Paris pour faire le droit. Mais après un an des études, il décide de changer la stratégie en vue de pénétrer le monde solennel de Tout-Paris.
II profite de relation avec sa cousine madame de Bauséant qui est une vraie aristocrate. C’est un homme très ambitieux qui ne se faire pas décourager par féchec d’un débutant. Peu à peu, il fait la connaissance avec les filles du père Goriot, notamment Delphine qul va devenir son amante. Mais Rastignac est aussi humain et c’est lui qui s’occupe du père Goriot mourant. À travers du roman le lecteur suit l’évolution de ce jeune homme cherchant à trouver dans l’océan des règles du grand monde une bonne direction vers la puissance et respectabilité.
Le père Goriot, vieillard de soixante-neuf ans et ancien homme d’affaire, est un de sept pensionnaires s’installés chez madame Vauquer. Il aime follement ses deux filles, Delphine et Anastasie, et sa passlon paternelle change successivement en maladie — il n’hésite pas accepter des situations humiliantes pour les voir ou les seulement entendre parler. Mais toutes les deux en profitent. Finalement, Goriot se ruine financièrement, physiquement et moralement pour ses deux filles ingrates — à mesure qu’il se dépouille de l’argent pour le donner à ses filles, il devient laide, misérable, malade PAGF