Fiche De Lecture

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BOURASSEAU Maéna SS « La peur » Guy de Maupassant or 3 Sni* to View 14/10/2014 Critique : « La peur de Maupassant J’ai aimé cette nouvelle pour le plaisir de la langue, du style, des descriptions, pour l’esprit, pour cette façon de nous faire ressentir intéressante car elle n’est pas comme toutes ces histoires de Vampires et loups Garous. Le réaliste domine puisque aucun élément surnaturel n’est présent et c’est cela qui la rend plus effrayante que les autres histoires fantastiques. Elle nous touche plus car c’est plus proche du réel. Résumer : C’est un groupe de marin qui se dirige vers l’Afrique.

Le commandant qui racontait une anecdote durant laquelle il disait avoir eu peur se fit interrompre par un homme qui tenta de lui expliquer que le sentiment qu’il avait ressenti n’était pas de la peur. Lui en revanche, il l’aurait ressenti. Deux fois. Selon lui, la peur c’est quelques chose d’atroce dont le seul souvenir donne des frisson. Cela arriveralt devant des circonstances anormales, mystérieuses. La 1 ère fois c’était pendant un voyage dans le désert. Le « tambour des dunes » aurait retentit au moment où son ami mourût violemment d’une insolation. Il essaya de le sauver mais n vain.

Alors que le tambour ne cessait de retentir, il comprit ce qu’était la peur. Il ne savait pas pourquoi mais cette sensation horrible avait traversée tous son corps. La 2ème fois c’était lors d’un voyage en foret ou il était guidé par un paysan. Il lui expliqua la situation des gens chez qui ils devaient se rendre pour la nuit. Le père avait tué un braconnier deux ans auparavant et celui était venu le hanté l’année dernière. Il attendait alors qu’il revienne cette nuit. Quand ils arrivèrent le père était l’année dernière. Il attendait alors qu’il revienne cette nuit.

Quand ils arrivèrent le père était assis sur une chaise avec un fusil à la main et son chien dormait paisiblement à coter de lui. Quand le chien se mit à hurler face a quelque chose dlnvisible le guide décida de le sortir dehors. Le père pensant apercevoir quelqu’un par la fenêtre, tira un coup de fusil à travers. Le lendemain quand le jour commençait a apparaître ils découvrirent qu’ils avaient tuer le chien et non le fantôme du braconnier. C’est au moment ou le coup de fusil est partit que le narrateur se sentit envahit une 2ème fois par cette peur.

La peur ? La peur (et les hommes les plus hardis peuvent avoir peur), c’est quelque chose d’effroyable, une sensation atroce, comme une décomposition de l’âme, un spasme affreux de la pensée et du coeur, dont le souvenir seul donne des frissons d’angoisse. Mais cela n’a lieu, quand on est brave, ni devant une attaque, ni devant la mort inévitable, ni devant toutes les formes connues du péril : cela a lieu dans certaines circonstances anormales, sous certaines influences mystérieuses en face de risques vagues. La vraie peur, c’est quelque chose comme une réminiscence des terreurs fantastiques d’autrefois. » Guy De Maupassant