Fiche de lecture
Cet homme complexe, adepte des polémiques, s’inscrit parfaitement dans son époque, à savoir le suivie siècle, revers ses contestations et ses écrits visant à éclairer les esprits. Volontaire a véhiculer sa façon de penser avec de nombreux essais mais aussi par le biais de ses contes philosophiques qui l’ont rendus célèbres, où il utilise l’ironie, la satire, comme arme afin de faire évoluer les mentalités en faisant tourner les défauts humains l’absurde.
On le voit, en effet, dans Candide ou l’Optimisme avec le personnage de Candide. Le philosophe y fait une critique virulente de l’optimisme, à travers son héros, au nom évoquant l’innocence, la naïveté (« candides » signifie ‘optimisme » (volontaire) premier boy Ansan parer 07, 2009 | 6 pages philosophiques qui ‘ont rendus célèbres, où il utilise « blanc » en latin). Ce conte a une portée philosophique et Volontaire la imaginé en réplique à rousse, un penseur du siècle des Lumières qui est aussi son éternel rival.
Mais il s’agit surtout d’une satire de l’optimisme béat et une attaque violente des philosophes libelliez et Ulf, qui prônent l’idée que « tout est pour e mieux dans le meilleur des mondes Le héros du récit est un personnage à ‘esprit simple, insouciant, naïf, voir même parfois niais, qui prend pour exemple les théories de son précepteur pantalons (« tout langue » en grec), incarnant le philosophe optimisme. Son éducateur, qui lui enseigne la « métaphysicien-théologie- cosmopolitisme », pense que « les malheurs particuliers font le bien général ; de sorte que plus il y a de malheurs particuliers et plus tout est bien ».
Candide qui, malgré la succession de désastres jalonnant son parcours, reste fidèle aux leçons de son maître, explique toutes ses mésaventures par le fait « qu’il n’ a point d’effet sans cause » et que « ceux qui ont avancé que tout est bien ont dis une sottise : il faut dire que tout est au mieux Tels sont les idéaux qui, tout au long de l’histoire, bercent l’esprit du personnage et paraissent, pour le lecteur, de plus en plus absurdes. Autour de Candide, apparaissent d’autres personnages importants, tels que pantalons, martien, le penseur pessimiste, cacao et confonde.
Volontaire dénonce l’optimisme à travers l’ironie, instrument incomparable pour déconcerter le lecteur, même vulgaire, qui adhère à la pensée de l’écrivain. AI répond à l’optimisme au moyen d’une accumulation de fia vulgaire, qui adhère à la pensée de l’écrivain. AI répond l’optimisme au moyen d’une accumulation de faits apparentés au mal. A chaque chapitre apparaît en effet une nouvelle forme du mal ; mal venant des hommes, de leur violence (guerres, esclavage et fanatisme), de leur fourberie mais aussi de phénomènes métaphysiques (tremblement de terre, naufrage).
Candide, amoureux de sa cousine confonde, est chassé du château de étendue-tente-tronçon, en estivales par le baron et découvre ensuite que le malheur existe. AI est enrôlé de force dans une armée où il assiste à une bataille atroce. L’horreur de la scène à laquelle Candide à affaire est une façon pour Volontaire de dénoncer les atrocités de la guerre et de tourner encore une fois l’optimisme au ridicule. Le héros s’enfuit en hollandaise où il retrouve son précepteur atteint d’une affreuse maladie et apprend que tous les occupants de son château natal ont été massacrés.
Les théories de pantalons sont alors rudoiement mises l’épreuve. Ils se rendent à lesbienne, où a lieu un violent tremblement de terre qui entraîne le naufrage de leur bateau et la mort de toutes les personnes à son bord excepté Candide, son maître et un criminel. Les deux hommes sont ensuite condamnés par illumination et ‘éducateur est pendu. Cet tatouage est surtout un moyen pour Volontaire de dénoncer les absurdités et le côté barbare de illumination.
On voit ici l’empreinte du philosophe, qui n absurdités et le côté barbare de illumination. On voit ici l’empreinte du philosophe, qui ne cache pas son acharnement contre le fanatisme et sa pensée antireligieuse. Candide, lui, est sauvé par confonde qui, après avoir été violée, a échappé à la mort. Mais le héros commet un double assassinat et se voit contraint de fuir en marquée du Sud. Il y rencontre le frère de confonde, mais le tue suite à un malentendu.
Il échappe par la suite à de sauvages Oreillons dont le dessein était de le manger et arrive à loader d’où il repart comblé de diamants et d’or. Mais a plus grande partie de sa fortune disparaît (à cause de la mort des moutons porteurs et du vol) et les malheurs qui rythment sa vie continuent à s’enchaîner inlassablement. À suriner, l’insouciant rencontre « un nègre étendu par terre », « il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite ».
Cet épisode, très bref, est saisissant dans son horreur. Volontaire, en tant que penseur des Lumières, montre son indignation devant la barbarie de ‘esclavage. Ce passage prend, en effet, la tournure d’un pamphlet, pour auxquels l’auteur avait un goût particulier, et devient un réquisitoire contre l’esclavage et les injustices sociales et raciales. En outre, Volontaire s’est toujours battu pour faire respecter l’égalité et la justice, notamment avec l’affaire cals où il fit innocenter Jean, accusé à tort.
Candide émet alors de sérieux doutes il fit innocenter Jean, accusé à tort. Candide émet alors de sérieux doutes quant aux théories optimistes de pantalons (« il faudra qua la fin je renonce ton optimisme »). AI finit par se retrouver à constitutionnel, près un passage à venins, et il retrouve ses amis devenus esclaves. Il les rachète avec l’argent qui lui reste et, confonde, qui est « la raison suffisante à tous ses malheurs » depuis le début du récit est devenue laide, soldant la quête du héros naïf à un échec.
Toutefois il l’épouse et s’installe avec ses compagnons dans une métairie. Ils y vivent « dans la léthargie de l’ennui » comme le souligne le penseur pessimiste martien. La conclusion de Candide offre un remède pratique au mal qui règne dans le monde. En effet, au lieu de nous laisser sur une fin au caractère défaitiste, Volontaire, à travers on personnage simple, apporte une conclusion en disant qua’ « il faut cultiver notre jardin ».