FICHE

un amour de swann DE MARCEL PROUST INTRO: Ce texte est extrait de un amour de Swann qui fait partie de la 2ème partie de Du coté de chez Swann, 1er tome de A la recherche du temps perdu publier en 1913. Marcel Proust est un romancier majeur du 20ème siècle. Ce texte présente une double originalité,’ c’est un roman autonome c’est a dire que le héros n’est pas le narrateur mais Swann et ce roman constitue une analepse cet par rapport a la première partie il y a un retour en arriere.

Ici Swann est devenu l’amant de Odette, il s’est rendu chez elle est au retour il ressent un doute; il pense qu’elle va recevoir son mant avec lequel ell Comment ce texte es jalousie) chez Proust _ c eption de l’amour (la Swip next page . ANALYSE DE LAJALOUSIE a) Comme une souffrance Cadre poétique avec la nuit; scène nocturne où brille la lumière: valeur métaphorique avec la pulpe d’oranger qui donne une atmosphère poétique. (ligne 3-4) la nuit (les lumières éteinte) montre l’obscurité et désigne l’ignorance et la lumière montre la connaissance.

On voit la souffrance imaginaire qui apparait avec le CL de la souffrance: « qui maintenant le torturer » (ligne 8), « certe il souffrait Sv. ipe to souffrait » (ligne 13). On est dans l’imaginaire, ce qui génère cette souffrance: « le couple imaginaire « celui qui était venu après son départ « le bonheur qu’elle était entrain de gouter avec lui ». On remarque une gradation de la souffrance. « Tourment » et « Perturbé » montre une forme hyperbolique de la souffrance. Il y a juste une part de réalité: « murmure d’une conversation » (ligne 12) Mais cette souffrance est aussi une jouissance par la connalssance. ) Comme une jouissance CL de la connaissance et du savoir: « savoir « plaisir de ‘intelligence » qui montre la supériorité de Swann par rapport ? Odette. Odette est ignorante et Swann sait, il a un sentiment de pouvoir: « confient dans leu erreur « prisonnière sans le savoir » et eux sont « trompés par lui CL presque du bonheur: « presque agréable » et « apaisement d’une douleur Proust établie un analyse paradoxale avec la souffrance d’être trompé et le plaisir du sentiment de puissance éprouvé par Swann par rapport à Odette.

Cette Jalousie se déploie dans un monde imaginaire et fictif ce qui va crée un effet comique par le retour a la réalité. Il. COMMENT CEITE SCENE SE TERMINE COMME UNE SCENE DE QUIPROQUO COMIQUE ? a) aspet de suspens Attente avec « sur le point de frapper » puis il frappe enfin « il frappa » (ligne 29), « il refrappa plus fort » mais on ne l’avait pas attendu et « il frappa encore » li ne 30). on ouvrit la fenêtre: le on r rement anonyme. 2 anonyme.

Proust utilise des phrases courtes volontairement pour entretenlr un certain mystère. Proust ménage un effet de suspens: genre de comique. reffet de supens est ménagé par l’hésitation avec le sentiment de honte de Swann mais ligne 17 il éprouve une volupté pour connaitre la érité (mot répété plusieurs fois) De nouveau Proust prend l’image de la fenêtre strié avec l’image du manuscrit. b) La chute, le quiproquo comique. Finalement il tombe sur deux vieux monsieur.

Il se rend compte qu’il s’est trompé, on retrouve l’image classique de l’amant jaloux et ridicule (comme dans les personnages de Molière. On est presque dans une seine de comédie. CONCLUSION: On voit comment ce passage présente une modernité dans l’analyse de la Jalousie. Ni Swann, ni le lecteur n’on eu de véritable relation. Le personnage, comme le lecteur reste toujours dans l’ignorance. I apprendra, vers la fin du roman, de sa maîtresse qu’elle le trompait à peu près depu•s le début de leur liaison.

Le lecteur exprime, ainsi que le personnage, comme une déception de ne pas savoir vraiment ce qui se passa ce soir la. A la fin du roman, il dira : « Dire que j’ai gâché des années de ma vie, que j’ai voulu mourir, que j’ai eu mon plus grand amour, pour une femme qui ne me plaisait pas, qui n’était pas mon genre ! » On voit par cet épisode que pour l’auteur, il n’y a pas d’amour sans jalousie. On peut rappeler la jalousie de Julien Sorel dans Le rouge et le Noir, de Stendhal. 3