Féminisme
Quelques réflexions sans ordre mais qui pourraient être intégrées à votre plan (J’aime bien le 2e plus thématique que le premier trop historiciste à condition toutefois que vous évoquiez aussi Olympe de Gouges, et pour le 20 e Simone de Beauvoir. le 2e sexe : « on ne nait pas femme on le devient 1 a En expliquant Le féminisme , la naissance du mot, vous pourriez aussi sur un plan plus critique vous demander pourquoi on se réfère aux femmes alors qu’on n’a pas inventé un mot qui serait le masculinisme (ce qui voudrait encore dire que le féminisme se réfère à une catégorie particulière alors to Wen « ext ue le masculin est p catégorisation.
N’est- sexe a besoin d’exist en dehors des homm au lieu de marxien, fr Swape nextp g c pas besoin de a preuve que le 2e nce et de l’affirmer les ismes (marxisme dien, terrorisme sont plutôt des formes dégradées à connotation négative d’un premier type). Le féminisme a conduit en effet à tous les excès et abus générant en contre partie une dévirilisation du masculin. (il faudrait aussi introduire l’idée du féminisme en regard de ce sexe dit fort fort qui a perdu ses repères au point de devoir reconstituer des groupes de réflexion entre mâles pour les mâles). Freud a montré combien l’être humain n’était pas un mais double d’où toutes les ambivalences sexuées. Sauf que la société a formaté chaque sexe en un genre particulier alors même que les deux coexistent en nous. Il n’y a ni homme ni femme mais un Janus Bifrons (un être à deux visages). Les sociétés décident que tels aspects de l’homme et de la femme seront donc valorisés sur leur seul sexe. Le genre est neutre. Et le sexe ne saurait définir un genre masculin ou féminin.
Il faudrait justement que les sociétés actuelles par le biais de l’éducation et de la réflexion prennent ceci en considération. Il n’y a pas de valeurs féminines ou masculines en soi mais des projections archaïques des individus qui ont pris le pouvoir sur d’autres et qui se sont donc transmises à travers les générations sans critique aucune. 3) le féminisme est toujours dans la lutte pour la reconnaissance de l’être féminin dans ses droits mais cette reconnaissance passe par le regard masculin.
Autrement dit ces mouvements (peut-être nécessaires) recherchent certes l’égalité dans tous les domaines mais sont obligés de passer par les dominants (encore une fois par les hommes qui dispo 2 domaines mais sont obligés de passer par les dominants (encore ne fois par les hommes qui disposent de prérogatives et qui leur accordent quelques unes de celles-ci au compte goutte . les hommes au pouvoir et de pouvoir dans toutes les situations économiques, politiques, entrepreneuriales. 4) Et si c’était le masculin qui devait finalement se redéfinir, se questionner sur sa place dans le monde.
Car ce n’est pas tant aux femmes d’acquérir des droits mais aux hommes de réfléchir à ceux qu’ils détiennent (ce qui revient à la question du masculinisme sous-jacent qui n’a pas besoin de se battre puisque d’emblée depuis toujours il est en position de force). Ainsi je pense qu’il faut introduire dans vos axes la question du « mâle » (fondé sur une supposée force naturelle), la question du patriarcat et du matriarcat, la question du féminisme ne peut être vue sous le seul angle du féminisme mais sous l’angle de l’ensemble des acteurs humains (même si eest utopique pour beaucoup de sociétés encore).
De nombreuses problématiques sont possibles mais elles dépendent surtout de vos axes choisis . Je vous en propose quelques unes : Le féminisme, la lutte des « faibles » contre les « forts » ? (cela ferait ici référence à toute cette lutte historique mais qui resterait « forts » ? (cela ferait ici référence à toute cette lutte historique mais qui resterait vaine idéologiquement puisque le sexe dit faible n’a obtenu ses droits qu’en regard et sous le regard des hommes) Etre identique est-ce une identité ? identique sur le plan des droits, des statuts ne permettrait en aucune façon de définir une véritable identité singulière propre à chaque sexe (ce qui était un des axes de Geneviève Fraysse intéressant bien sûr). Feminisme/masculinisme : Plusieurs sexes pour un seul genre ? (deux sexes en soi d’après Freud mais l’un ou l’autre prend ocialement le dessus pour nous définir comme homme ou femme, tandis que le genre est un, genre humain. es combats féministes sont donc obsolètes s’ils ne vont de paire avec une réflexion sur le masculinisme et vice versa ) Problématique la plus originale mais aussi la plus difficile. (et à mon avis celle qui dépasse les vieux clivages Homme/Femme ) Introduction : . I- Le Féminisme en France Il. Les principaux Courant du féminisme Ill. Le féminisme Introduction Il- Féminisme Égalitaire Ill- Féminisme radical IV- Féminisme de la Fémelléité V- Féminisme Post-Moderne 4