Fast-food

essay A

Sa critique : Enfin un film sur les dessous pas très reluisants des faste-foot américains et en plus faits par les américains. Tourné comme un documentaire , et mettant en parallèle avec habileté deux extrêmes avec les faste- foot en point de mire « faste foot nation » est un très bon film qui vise ou ça fait mal.

En effet , d’un côté , divers membres de la société américaine (employés et dirigeants de faste-foot) qui vivent de ce que leur rapporte ce genre de restaurants quitte à enfreindre certaines lois d’hygiène afin d’être plus rentable , et de l’autre une partie de la pou ôtions mixaient cherchant à passer la frontière afin d’être employé à la source même des faste-foot dans les emplois les plus miteux mais offrant un passe-droit pour la vie américaine , mais des emplois ou ils risquent leur vie tant leur conditions sont déplorables et ou certains subissent de nombreux harcèlements morales.

C’est en filmant ce parallélisme à double tranchant que Richard lanterne fait monter l’indignation chez le spectateur et nous met face à notre conception de la justice et de l’égalité des hommes. Les réponses afin d’ remédier nous parviennent vite , mais malheureusement elles sont vite aval dans ce cercle vicieux redoutable qu’est « faste foot nation » , un film non pas moraliste , mais qui fait juste un constat désespérant d’une situation immuable.

Le seul d swaps toi vie nixe page F de ma Fo ères de op VIe tan su ? ni le pp av an O défaut du film sont les apparitions de gués stars te brûlé lisse ou Avril lavage qui lui font perdre un crédibilité , mais le reste fait froid dans le dos. Sa critique : Film pamphlet très édulcoré sur une ré se fait oublier. Les thèmes abordés sont l’immigrait conditions de vie des travailleurs immigrés, l’induit agro-alimentaire, l’hypocrisie des cellules marketing séquences d’abattages (oui car il n’ a pas beaucoup trucage dans le film), sont vraiment sympathique cc à celle du documentaire : eue fête thé roll.

Le fil relativement complet mais certaines scènes raiera être enrichie du petit détail qui aggrave le côté pâte des pauvres musiciens. Les plans se succèdent mai! Noirceur de l’âme humaine n’apparaît pas, car mer DRU à finalement simplement l’air d’un homme plu que le contre-maître, exécutant plus besogneux afit ouvrières que son patron. On se laisse bercer par histoire, tranquillement, sans que le moindre suspens roter de notre torpeur.

Il manque un gros méchant assume bien son rôle, car au final, même le passeur responsable d’aucun mort, et oui, ils ont payés pou faire exploiter. Le cynisme aurait été complet si on une scène ou le gouverneur discutait avec le directe firme, et le professeur d’université pour envoyer Ur équipe gouvernementale enquêter dans I abattoir celle-si repartait avec quelque défaut du film sont les apparitions de gués stars tel que brûlé lisse ou Avril lavage qui ui font perdre un peu de Sa critique : Film pamphlet très édulcoré sur une réalité qui se fait oublier.

Les thèmes abordés sont l’immigration et les conditions de vie des travailleurs immigrés, l’industrie agro-alimentaire, l’hypocrisie des cellules marketing. Les séquences d’abattages (oui car il n’ a pas beaucoup de trucage dans le film), sont vraiment sympathique comparé à celle du documentaire : eue fête thé roll. Le film est relativement complet mais certaines scènes auraient pu être enrichie du petit détail qui aggrave le côté pathétique des pauvres musiciens.

Les plans se succèdent mais la noirceur de l’âme humaine n’apparaît pas, car même le DRU à finalement simplement l’air d’un homme plus pressé eue le contre-maître, exécutant plus besogneux avec les ouvrières que son patron. On se laisse bercer par cette histoire, tranquillement, sans que le moindre suspens nous sorte de notre torpeur. Il manque un gros méchant qui assume bien son rôle, car au final, même le passeur n’est responsable d’aucun mort, et oui, ils ont payés pour se faire exploiter.

Le cynisme aurait été complet si on avait vu une scène ou le gouverneur discutait avec le directeur de la firme, et e professeur d’université pour envoyer une équipe gouvernementale enquêter dans I abattoir et que envoyer une équipe gouvernementale enquêter dans I abattoir et que celle-si repartait avec quelques pot-de-vin, ou bien plus simplement l’organisation du trafic avec la douane.

Sa critique : Longtemps gardé à disposition sur mon étagère, le div. de faste foot Nation me faisait de l’Oiil, mais sans succès, peu emballé que j’étais à l’idée de me retrouver devant un de ces films champignons assurant sur la vague pseudo- protestataire de M. Énorme et puis je me suis enfin jeté à l’eau, de peur de louper quelque chose, on va dire… Et c’est une très agréable surprise qui m’attendait à l’écran !!

En effet, lanterne, sous couvert d’un scénario patchwork , où les destinées se croisent et intériorisent au sein de notre société, nous sert en fait la description de l’hypnose sociale dans laquelle tout un chacun (homme,femme, riche, pauvre, américain, immigré clandestin, jeune, adulte) contribue à cette même société de consommation où le profit a supplanté l’intérêt général.

Et l’hypnose utilisée, Monsieur lanterne nous en donne la recette sans fard: des personnes soumises aux impératifs du quotidien (se loger, manger, travailler), et devant jongler entre leurs idéaux, leurs espoirs, et les petites impressions et lâchetés commandées par le plus simple instinct de survie ce, sans jamais vraiment avoir le choix dès lors qu’ils optent pour ce type de société. Quant ceux qui n’ont pas encore à choisir, qui peuvent encore rêver – à savoir les jeunes, société.

Quant à ceux qui n’ont pas encore à choisir, qui peuvent encore rêver – à savoir les jeunes, leurs actions pour changer cette réalité, ne font que les y précipiter encore plus vite. Et toutes ces personnes, c’est un peu vous, c’est un peu moi, c’est nous. Alors quoi? Pas de solutions proposées par le réalisateur face à un tel constat benne non, tant que tout le dortoir ne sera pas réveillé. (nota: prévoir une session non stop de 1 heure d’écoute de « La Compagnie Créole » avant de redémarrer toute activité) Sa critique : Film choc.

Film coup de poing. Je suis sorti de l en vassalisant plus ou moins tant il s’agit du genre de cinéma que j’adore ; qui développe une réflexion avec minutie et avec des liaisons indirectes entre tous les sujets abordés. Ceux d’entre vous qui ont vu : trafic, Le cauchemar de drain, Bowling for colombier ou Requiem for a drame comprendront qu’ils ne doivent en aucune façon manquer ce film. OUI ce film dénonce. Oui il faut continuer à hurler les horreurs humaines jusqu’ en perdre la voix. OUI il est plus que tant de rentrer en résistance.

Oui l’action est d’abord une initiative individuelle et un choix qui à des implications toujours lourdes de conséquences. Bien sûr on peut refuser d’entendre. Mais les faits sont têtus. Tout ce que je sais désormais c’est que si la prise de conscience est trop tardive, l’esprit ne lâche plus prise et l’on préfère vivre dans le mensonge jusqu’ la fin. Se remettre en lâche plus prise et l’on préfère vivre dans le mensonge jusqu’ la fin. Se remettre en cause est l’exercice le plus difficile pour un esprit basé sur le matérialisme.

Ce film est basé sur un livre « faste foot Nation d’récrie scléroser de. Autrement » et ils ne relatent que des faits précis et très documentés. Il se fonde également sur un autre livre intitulé « La Jungle » publié il y a 100 ans (de. Racial) par le socialiste bouton assainira qui dénonçait les conditions monstrueuses dont étaient victimes les travailleurs pauvres. 100 ans plus tard les choses ont empirées. A noté que ce livre qui date à permis de créer la VIDA (foot & drues administration) aux USA. On le voit savoir mettre en lumière l’inacceptable à encore une valeur et un sens éthique.

Je ne peux que vous recommander les écrits de bourreaux, Serge lima, laïc quant et du grand intellectuel américain (entre autres) nomma chômons pour bien comprendre la manipulation mentale auquel vous adhérez sans le savoir et que ce film met en lumière. Sans un instant travestir la vérité ni la réalité. Un des films qui sera dans mon Top AI des films de 2006. ABBÉ Avec faste foot Nation, Richard lanterne (à qui l’on doit le récent et excellent A Scanner drakkar) réalise sur le hamburger ce que sténo soudoieras avait réussi sur la drogue dans trafic : un film réseau.

trafic épousait de fait son sujet, le circuit de la drogue, dans sa forme, articulaire. Du consommateur au caïd en passant par le t le circuit de la drogue, dans sa forme, articulaire. Du consommateur au caïd en passant par le trafiquant, les films ou le juge interrogée nommé par le président des états- Unis, tous étaient là, se croisaient, chacun apportait sa vie et son histoire. AI en va de même ici puisque tout s’organise autour de cette confidence lâchée par le bois de miches une chaîne simili-macadam) à son salarié, directeur du marketing : « l’on sang éthéré si sait ni thé méat ».

Il y a de la merder dans la viande, et Don endors va devoir y plonger les mains, avant l’intervention des autorités sanitaires, le scandale. Tous les chemins mènent donc l’usine IMPUR (pas celle de saura, celle de code) – trou perdu du colora où se côtoient la serveuse du miches local, les immigrés musiciens venus se frotter à l’loader américain – histoire de perdre une jambe à l’usine, les activistes écoles, etc.. Comme dans un puzzle, les strates s’empilent jusqu’ former système. Et justement le système, c’est celui du bon vieil oncle samba, citoyen de cette nouvelle faste foot nation.

Certes, « L’escalope finnoise » tient toujours. Mais à code, depuis maintenant plus de vingt ans, les chaînes de toutes sortes et en particulier les faste-foot, ont envahi tout ce qui se fait en matière de pignon sur rue. Et on a beau dire, la vision enchantée de la famille qui se retrouve tout sourire au macadam dans une lumière zénith (c’est le plan inaugural de faste foot Nation, en subjectif d inaugural de faste foot Nation, en subjectif depuis un plateau repas), la réalité est moins lénifiante.

C’est la standardisation à outrance, et pas seulement à l’usine : distributrices des jobs, les chaînes « uniformisent » (au sens propre) leurs employés, mécanisent leurs discours (il y a des bonnes et des mauvaises réponses à faire au client), contrôlent leurs gestes (la caisse enregistre la moindre opération). Du côté du marketing, tout est verrouillé, par études, sondages, contrôles du client (l’âge et l’ethnie sont systématiquement enregistrés). La moindre saveur est visée, révisée.

Et plus il ha du contrôle, moins il ha d’éthique – la dignité de l’humain, le respect de la vie ‘effacent devant la cadence et le profit. Oui, on l’aura compris, faste foot Nation donne corps, mais sans jamais déraper dans la leçon ou le message, à un argumentaire intitulerai. La mise en scène oscille entre la « formule zéro » de réalisation [gros plans en champ/contrecarra + plan d’ensemble] – propre entre autre à la série américaine – et le morceau de bravoure.

Retenons en trois : 1) Le survol en hélicoptère du cheptel apaisant – le plan-séquence, extrêmement long, fait défiler de la vache à perte de vue. Dans le même ordre d’idée, lorsque Don endors rend site aux vaches, la confrontation gros plan de l’homme / gros plan de la vache laisse place immédiatement à une confrontation gros plan de l’homme l’homme / gros plan de la vache laisse place immédiatement à une confrontation gros plan de l’homme / plan large des vaches, traitées comme une masse implosant dans le cadre.

Bref, la vache, c’est le nombre, le surnombre. 2) Dan endors visite l’usine modèle qui concentre l’ensemble de la production de steaks pour tout le pays. En musique, et en montage rapide, on assiste une présentation hg-etc., aseptisée, monstrueuse de la création des palets de viande hachée. Cela rappelle e générique de début de lourd Fo arr. qui usait du même procédé pour les cartouches d’armes à feu – d’ailleurs, le générique de fin de faste foot Nation se fait au rythme du passage des steaks.

Mais c’est aussi du tint en homérique : la vache entre par un bout, ressort par l’autre sous forme de steak, prête à être consommée. Par ce quasi-clip où les palets de viande semblent danser sur les bandes déroutantes ou dans les machines à broyer, lanterne nous fait sentir en quoi l’idée d’usine à viande est insupportable. 3) Un final-remake du Sang des bêtes, le documentaire de 2 minutes que égorges franca a réalisé en 1948 sur les abattoirs de La violette. Soudain, la texture de l’image change : du grain, un tremblement, un coloris plus âcre. La n’ a plus de personnage : la séquence est censée être en subjectif, mais on en voit beaucoup trop pour que ce soit vraisemblable. On lit la panique dans es yeux de la bête sur le point d’être tuée, on la voit s’effondrer, lit la panique dans les yeux de la bête sur le point d’être tuée, on la voit s’effondrer, on voit le sang jaillir lorsqu’ l’égorge, on voit les chairs s’accumuler, on voit les machines tirer les peaux, découper les membres, déverser les rassies, entasser les têtes où pendent es globes des yeux.