Extrait de Tragiques Agrippa d’Aubgine.

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es Tragiques est vaste poème, de sept chants, épique et satirique, écrit à l’époque des guerres de Religion par Agrippa D’Aubigné, un écrivain protestant, racontant la persécution subit par les protestants. Nous étudierons un extrait du deuxième chant Princes, un pamphlet de 1616 où D’Aubigné critique alors de manières fortes et violentes, les responsables des terribles tragédies que connaissent la France durant l’époque baroque.

Durant cette étude de cas nous allons nous demander comment le poète perçoit le règne catholique à l’époque des guerres e religions. Pour cela, nous verrons dans un premier temps comment est illustré l’image du Roi, qui est à la tête du pouvoir. Suivie de la violente critique de la religion catholique a la tête du S to n ext peuple, avant d’étudi règne sur le peuple.

Malgré une adresse « Roi, » vers 1, on rema pamphlet OF4 Swipe page équences de se rpellation du u long de ce Tout d’abord, nous observons que le Roi n’est pas maitre de ces propres actions. En effet d’Aubigné fait référence au Roi en le nommant un « Esclaves de péché » vers 2, après lequel on emarque la perte de la majuscule a « rois » vers 2, ainsi ayant perdu son titre et ses droit d divin, il n’ est pas rois de ses affections, vers 3, signifiant qu’il est soumis a une force supérieure.

Par la suite nous verrons alors que ce Roi est dérangé et poussé vers la folie , « Mais ce Roi étant frénétique et plain de manie » d’Aubigné vas décrit de manière métaphorique : le roi étant la tête et le peuple étant le corps, vers 9 à 14, une tête plaine de manie qui vas se mutiler, massacrée son peuple et se etrouver avec un corps tout défigurer, d’Aubigné transforme alors cette folie en une « monstrueuse bête, qui au haut de son corps ne faict devoir de teste » vers 15 et 16 Pour finir après cette révélation d’un roi inapte a régné, D’Aubigné explique le rôle d’un Roi en le comparant a un Tyran avec une suite d’oppositions entre le roi et le Tyran deux êtres opposer, ce parallélisme va alors souligner la différence entre les deux manières de gouverner et dénoncer le roi pour ce qu’il est vraiment, non pas un Roi mais un Tyran un être qui est cruel qui eut être hait. Le Roi est passé d’un être contrôler, à un monstre déformé pour finir un tyran, on remarque alors que dans aucun cas le roi a vraiment été Roi. Cabsence d’un roi a permis alors à un autre pouvoir de prendre sa place, celui de l’Église catholique. En premier temps, dans ce texte d’Aubigné site indirectement la religion extrémiste 2 En premier temps, dans ce texte d’Aubigné site indirectement la religion extrémiste catholiques qui vas prendre le nom d’une « fureur despite », c’est-à-dire une folie puissante qui pousse a des actes violentes.

Cette colères folle sans mesure sera mis en évidence avec la répétions de « vous » vers 4, qui a son tour dévoile l’immoralité de la religion catholique que D’Aubigné veut nous démontre. Ensuite on verra que non seulement elle agit de manière violente, mais que D’Aubigné dénonces l’injustices envers les crimes commis par les extrémiste catholiques de l’époque ; pendant qu’il trempent leur sceptres dans le sang du peuple ( » à tremper dans le sang vos sceptres » vers5), le peuple ne remarque pas et est indiffèrent a ces actes odieux, commit par les catholiques. Le peuple est tromper et trahit tout en restant fidèle au catholicisme, « le peuple poursuit la fin par ces prières ».

Pour finir d’Aubigné illustrera sa dénonciation avec une métaphore, vers 9 à 14, le mots « chef’ (venant du latin caput signifie tête ou chef) ici désigne péglise catholique, a la tête du peuple, qui éliminera et massacrera les protestants lors des guerres de Religions, les protestants ici deviennent des membres que l’en veut amputer. Ainsi ayant une fureur a la tête du pouvoir qui massacre le peuple au lieu de le rass 3 veut amputer. au lieu de le rassemble. On ne peut s’empêcher de parler d’un règne malheureux. Règne misérable. En employant le champ lexical de la misère « odieux », « vicieux », « insupportable », « misère d’Aubigné décrit un règne hideux. Un règne qui est, avec l’opposition « VICIeUX commencer, achever vicieux » en constante abomination, insistant sur la brutalité du règne avec la répétition du mot « vicieux ».

Non seulement ce règne est-il insupportable mais celui- ci est destructif du peuple en les éliminant et les massacrant  » le peuple estant le corps et les membres a couper son corps les ambes et les bras » Pamputation des membres résultant d’une souffrance constante du peuple où la terreur règne. Laissant le peuple en détresse dans un règne qui les trompe, qu’ils maudits, dans une tyrannie. Pour conclure, dans cet extrait de texte des princes d’Agrippa D’Aubigné, on voit se qui semblent être des cris de vérité où le poète dénonce une France indigne, avec un Roi inapte ? règne, une religion catholique corrompue et malsaine avec des persécutions injustes, pour en finir avec la souffrance d’un peuple qu’il partage. 4