Expose D Histoire
Exposé d’Histoire : « Winston Churchill • . Discours de Fulton » Analyse Le discours est divisé en trois grands thèmes qui sont plus ou moins regroupés en trois parties (précédées par Flntroduction du discours) : La dénonciation de la montée du communisme et du fameux « Rideau de fer » par Churchill, les prédictions qu’il fait de ce qui va se passer durant la Guerre Froide ainsi que les solutions qu’il propose face à cette situation et finalement l’entente entre les pays anglophones.
Nous allons concentrer notre analyse détaillée sur la partie qui parle du premier thè de façon plus général Discours – 1er thème communisme et du f lement vous parler Sni* to View montée du par Churchill Comme évoqué dans le contexte, ce discours est surtout resté célèbre car bien que le conflit entre les USA et l’URSS soit déj? bien présent, Churchill y dénonce pour la première fois la situation de l’après-guerre en Europe, séparée en deux blocs par ce qu’il appelle le « Rideau de Fer » Il commence, à la ligne 24, par dire qu’ « une ombre est tombée victoire des Alliés. ? Il évoque déjà ici l’emprise croissante de Staline et l’URSS qui étend, discrètement, comme une « ombre Y, e communisme sur les pays européens, principalement de l’est mais aussi de l’ouest. Churchill rappelle cependant, ainsi que dans tout le paragraphe qui suit (Il 25 – 41), que la Russie, les Etats-Unis et le Royaume-Uni étaient encore « « récemment Alliés Il précise qu’il « admire et respecte Staline » (l. 9-30) et que le Royaume-Uni ainsi que les USA sont toujours ouvert (1 33 — 34) « malgré beaucoup de divergences et de rebuffades, à établir des amitiés durables Il parle également « d’accueillir la Russie à sa place égitime au milieu des nations dirigeantes du monde. ? Il veut en fait montrer par là, que les pays anglophones sont honorables et qu’ils respectent l’URSS, et que c’est elle qui, en quelque sorte, amène les problèmes.
En plus simple, c’est comme s’il disait « Nous, nous faisons pas de problèmes, nous voulons bien rester alliés avec eux, mais c’est eux qui refusent donc c’est leur faute Il évite ainsi que la faute retombe sur les USA et le R-U. C’est dans les deux paragraphes suivants qu’il explique finalement la situation de l’Europe.
Il commence d’ailleurs par la phrase suivante Il est toutefois de mon devoir, car je suis sûr que ous souhaitez que je vous expose les faits tels que je les vois, de rappeler devant vous certains faits concernant la situation présente en Europe. qui exprime le fait qu’il va présenter les faits de façon honnête et réelle.
Il expose donc la situation en parlant du « Rideau de Fer qui est descendu à travers le continent (montrer sur une carte) Ce rideau de fer représente d’abord une frontière idéologique et plus tard une frontière physique, qui sépare l’Europe en deux blocs : ? l’Est se retrouve les pays faisant partis de ce que Churchill appelle ? la sphère soviétique II s’agit des territoires qui étaient occupés par l’armée allemande puis libér sphère soviétique Il s’agit des territoires qui étaient occupés par l’armée allemande puis libérés par FArmée Rouge à la fin de la Guerre.
En effet, Staline ne respecte pas les accords de Yalta vis- à-vis de ces pays : les élections libres qui étaient prévues ne sont en fait pas organisées et le pouvoir communiste s’impose partout. Churchill parle de « soumission au contrôle de Moscou » (1 52), du « gouvernement polonais dominé par la Russie » (1 55) et de ? contrôle totalitaire » (1 61).
Il évoque ensuite plusieurs cas particuliers comme celui de la Tchécoslovaquie qu’il qualifie de « vraie démocratie » ou de la Grèce, présentée comme un pays « libre de décider de son avenir par des élections contrôlées pas des observateurs brltanniques, américains et français. » (Il 53-54) Cette phrase est importante car, en réalité, la Grèce est en proie à situation de guerre civile dans laquelle les communistes affrontent les partisans de la monarchie. Cela nous montre une nouvelle fois que Churchill veut ontrer, en précisant que les élections sont « contrôlées par les observateurs britanniques, américains…. ue de leur côté tout va bien contrairement au pays de l’est. Mais l’on voit bien qu’ici en l’occurrence ce n’est pas réellement le cas puisque la Grèce est menacée par les communistes. La Tchécoslovaquie en revanche, est elle ce que l’on peut effectivement appeler pour l’époque une « vraie démocratie ». En effet, en 1946, un gouvernement d’union nationale est formé, composé de ministres de différentes tendances politiques, y compris des communistes. Mais ils gouvernent en c