Europe
On s’accorde à dire aujourd’hui que l’idée d’identité européenne est bien plus prononcée à l’intérieur de l’EUE mais malgré cela on observe certains faits qui pourraient venir nier l’idée d’identité commune. Donc quels sont les traits dentaires européens ? Quelles sont les contestations ? Y-a-t’il différent européen premier boy jardinera harpe 03, 2009 8 pages et de l’Acier (CECI), a Communauté économique spire toi vie nées page différents degrés dans le concept d’identité européenne ? Au final, quelle identité pour l’européen ?
Ceci constitue un réel problème pour l’EUE aujourd’hui qui, malgré des traits dentaires européens indéniables (I), se confronte à la primauté des identités nationales qui altère ainsi le concept d’identité européenne (2). L’EUE doit alors regrouper les pays sans les étouffer avec le concept de supranationale (3). Sur quelle identité peut se baser l’européen ? Il est vrai que l’européen, au sens continental, partage une identité commune forte, aussi bien au niveau culturel, historique et économique.
AI n’ a aucune contestation possible sur le fait qu’il puisse exister une culture européenne, et même une forte identité puisque l’européen et sa culture fait figure de effrénée aux yeux du monde : ceci traduit la pensé du président français encollais sarraus lorsqu’ interroge son auditoire à jérémiades en demandant « où en serait le monde sans espionna, sans fraude, sans insistent ? ». Il est vrai que l’européen est considérée comme le berceau de nombreux principes fondateurs de la civilisation actuelle.
Les européens peuvent donc se vanter d’avoir inventé la philosophie, les sciences, la technique, la médecine, le droit, la politique ou même l’économie. L’européen c’est la démocratie, mais aussi les droits de l’homme, véhiculés par a Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen en 1789 en France. C’est bien en européen que se développent les principes d’individualisme et de libéralisme avec l’école Classique angle développent les principes d’individualisme et de libéralisme avec l’école Classique Anglaise de smash, richard, asa et malus.
Il est également impossible de ne pas parler de dessertes, ghetto ou bétonnée. Et que dire des pensées philosophiques ou sociales de l’incontrôlable siècle des Lumières. Tous ces principes, en gagnant toute l’européen, font qu’il existe différents traits dentaires européens aujourd’hui. Cette idée est notamment reprise en 1 997 par le sociologue français hennir mèneras lorsqu’ publia L’européen des Européens. L’identité européenne se voit donc, dans un premier temps, à travers sa culture.
Si la culture est un facteur important dans la reconnaissance d’une identité européenne, l’histoire est également déterminante. En effet, les pays européens ont un passé commun. Du fait de l’expansion d’empires comme l’Empire Romain, l’Empire de chargement, ou de ‘Empire d’autruche-hongre, pour ne citer qu’eux, les pays du vieux continent peuvent se trouver des liens entre eux. Mais l’histoire européenne montre également que cette civilisation a put s’enrichir, financièrement et intellectuellement, au fil des siècles.
L’européen a donc put diffuser son modèle à travers le monde, c’est le temps des colonies. Cette période, qui débute par la conquête de l’homérique Latine dès la fin du sève siècle et qui s’achève au milieu du axe siècle, permet aux Européens de se créer une histoire commune et donc une identité commune fortes. Mais l’histoire commune de l’européen passe aussi par les différentes gué commune fortes. Mais l’histoire commune de l’européen aise aussi par les différentes guerres.
En effet, elle est le théâtre des deux guerres mondiales de 1914-1918 et 1939-1945 ainsi que le triste symbole d’un monde divisé par la Guerre Froide, jusque a chute de l’Union des Républiques Socialistes Soviétiques avec la démission de grabataire le 25 Décembre 1 991. Cependant, ceci constitue une souffrance que se partage cette européen meurtrie, on émet alors l’envie de pérenniser la paix en s’appuyant sur des échanges, ce qui joue donc, encore une fois, en faveur de l’idée d’identité européenne commune.
L’identité européenne passe donc par l’histoire commune es pays européens. Il est incontestable que l’européen s’est constituée une identité commune grâce à la culture et l’histoire. Mais ces deux notions impliquent indéniablement l’idée d’échanges et notamment l’idée d’échanges économiques donc de commerce. Le commerce en européen n’est pas nouveau, il prend tout son sens à partir idéaux siècle avec le Mercantilisme, développé entre autre par Jean-baptisée colvert pour la France, par Robert alpage en engrangèrent ou encore par philtre V d’espagnoles en espagnoles.
Pour revenir sur la problématique contemporaine,l’économie est la voie choisie pour fédérer es états européens autour de la paix, pour rapprocher les peuples. Mais au fil des années, des élargissements et des approfondissements, on peut dire que l’européen se créé une identité économique et on parle même de communauté Européenne. L’EUE rassemble aujourd’hui 27 pays Européenne. L’EUE rassemble aujourd’hui 27 pays autour d’une identité commune, mais l’élargissement n’est pas achevé pour autant.
On pense par exemple à l’adhésion de la croître qui, prévue dans un premier temps en 2009, devrait être effective en 2011. De même, l’approfondissement de l’EUE au fil des années, bien que loin ‘être achevé, a permis de rapprocher chaque fois un peu plus les nations et donc de forger une identité européennes forte. Un des exemples les plus frappants est la création en 1 962 de la Politique Agricole Commune (PACK) chargée de gérer les agricultures des pays membres.
La PACK constitue désormais un lien commun pour ces pays ; comme ils parviennent à se mettre d’accord sur la question agricole on peut considérer l’existence d’identité commune. Les échanges, surtout économiques, particulièrement visibles avec l’EUE, sont donc également des vecteurs de l’identité européenne. L’européen se forge donc une identité du fait qu’elle est le berceau de nombreux principes primordiaux aujourd’hui. Elle partage une histoire commune et se base sur des économies similaires.
Cependant, l’européen reste un ensemble hétérogène dans lequel les particularismes culturels, les nationalismes et de fortes réticences s’expriment, remettant ainsi en question la notion d’identité commune que le Vieux Continent tente de diffuser. En effet, la culture, de nombreuses réticences et les élargissements sont des freins à la construction d’une identité européenne. Les Les réticences concernant le principe d’une instance supranationale vont à l’encontre d’une identité européenne unique.
Malgré les tentatives d’effacer les frontières et de réunir les états depuis environ un demi siècle, de fortes réticences se font entendre en vu de la construction d’une instance au dessus des pays. En effet, contrairement à ce qui aurait pu être attendu, l’européanisation a eu pour conséquence une vague de revendications, et ce, à de multiples échelles. Les différences s’expriment et les identités régionales s’affirment sous la pression qu’exercerait une identité européenne.
En effet, par crainte de voir leurs cultures étouffées, certains pays se soulèvent, créant ainsi un conflit entre la culture à l’échelle régionale, nationale et supranationale. Qu’est ce qui explique cette réaction de repli sur soit de la part des états ? Ils cherchent tout d’abord à conserver ce qui fait leur identité, c’est dire, leur histoire. Propre à chacun, elle est le fondement de l’état dans lequel se trouvent actuellement tous les pays européens. Du point de vue de certains, l’euro se substitue aux monnaies nationales ; il vient donc effacer une partie de l’histoire des états.
La mise en place d’un hymne et d’un drapeau européens est également l’expression d’une supranationale, effrayante et injuste pour les pays qui la condamne. Les nationalismes qui ont permis la construction européenne après la fin de la guerre froide sont nationalismes qui ont permis la construction européenne après la fin de la guerre froide sont aujourd’hui une cause de sa politisation et de sa désunion. Il s’agit en effet d’affirmer ses particularités face aux autres pays européens pour limiter le processus d’uniformisation culturelle. C’est pourquoi, actuellement, la président
Tchèque, vacilla kulas, refuse de ratifier le Traité de lesbienne : de nature ultrasensible, il dénonce « les penchants socialiste » de l’Union Européenne et bloque ainsi toute possibilité d’avancer sur la question d’un approfondissement au sein de l’EUE. Avec les élargissements, à combien de divisions l’européen doit elle faire face? Lorsque le 25 mars 1957, les six pays fondateurs de la CECI signent le traité de orme, le niveau de vie de la Communauté économique Européenne (CE) créée est alors très homogène. Il existe ainsi une forte identité européenne, autant du point de vue culturelle, économique ou politique.