Enigma

Mais l’idée fit son chemin et la marine de guerre allemande reprit le projet en 1925 et en confia son évolution au service de chiffrèrent (chèvrefeuilles) du ministère de la guerre allemand. Le modèle énigme MM fût finalement adopté par la remâcher (armée Allemande) le 12 janvier 1937. Ce que les Allemands ignoraient, c’est que les services de contre-espionnage français et Polonais travaillaient également depuis 1 930 sur une méthode de déchiffrement. Le Commandant gustative aberrant des services secrets français, recruta pour cela ans toile schisme (dont le nom

premier boy kakis empara 23, 2011 | 5 pages techniques de chiffrèrent existaient déjaunis fort de code était esche), qui travaillait à l’époque pour le chèvrefeuilles. Lorsque la seconde guerre mondiale éclata en 1939, les savaient décrypter les messages d’énigme. Le 24 juillet 1939, marina rejetées ( responsable du bruir souffrez – service européen e plus avancé dans les recherches sur le chiffrèrent allemand ) remit un modèle de la machine énigme au Commandant aberrant et à laissait démission, chef du service de déchiffrement de l’Intelligence Service (SI) britannique.

La guerre s’est ensuite intensifiée et la cadence de déchiffrement augmenta. Ainsi, entre les mois d’octobre et juin 1939, plus de 4000 messages chiffrés furent décédés par les services secrets français. Ces opérations portaient désormais un nom : Opération Z pour les français et Code lutta (pour lutta Secret) pour les Anglais. En Août 1 939 les Anglais installèrent à blanche para (80 km de longées) les services du Code et du Chiffre. Ce n’étaient pas moins de 12000 scientifiques et mathématiciens Anglais, Polonais et français qui travaillaient à casser le code d’énigme.

Parmi ces mathématiciens, on retrouve l’un des inventeurs de l’informatique moderne : élan taurin, qui dirigeait tous ces travaux. Les messages décrypter à blanche para arrivaient par tapis roulant à la hauts 6, puis, au poste pour être traduits (2 postes par équipe) : un pour les messages en retard un pour le matériel urgent Les messages traduits de la louveteau étaient transmis aux HA et ceux de l’armée aux MM (A= aviation; M- militaire). On attrait étaient transmis aux HA et ceux de l’armée aux MM (A= aviation; M= militaire).

On attribuait ensuite des Z en onction de l’importance des messages (1 Z: peu important; UZ: extrêmement urgent). Les renseignements étaient résumés et envoyés en 3 exemplaires : un au SIS de abordera ; un au service de ministère approprié ou à dialectal ; un au général concerné sur le terrain. Les Anglais réussirent ainsi à déchiffrer ces messages codés. Seulement, la cartésienne ( Marine de guerre Allemande), utilisant des mesures de crêpage différentes, le déchiffrement s’avéra plus difficile. La capture sur le U-1 AI d’une énigme et surtout de ses instructions permit une avancée importante.

Ceci permettant de connaître les positions de sous-marins et de réduire le tonnage coulé par les U-bot (cf. : Le film U-571). Le er février 1942, le modèle énigme MM fut mis en service. Pendant onze mois, les alliés ne réussirent pas décrypter ces messages. Durant toute la guerre, plus de 18 000 messages par jours furent décrypter, et permirent aux forces de l’alliance de connaître les intentions de l’allemande. Le dernier message chiffré fut trouvé en norvégien, signé par l’marrai donniez : « Le ferrer est mort. Le combat continue ».

Les Allemands e se sont jamais doutes que leur précieuse machine pouvait être décrypter. Source : Mémorial de Caen : top://ai. Mémorial-Caen. Far/ Le fonctionnement Le fonctionnement de énigme énigme possédait un fonctionnement particulièrement simple : l’objet était équipé d’un clavier pour la saisie du message, de différentes roues pour le codage, et enfin d’un tableau lumineux pour le résultat. A chaque pression d’une touche du clavier, une lettre du panneau lumineux s’illuminait. Il y avait ainsi 3 roues de codage, appelées « brouiller Rotor », qui reliaient le clavier u panneau lumineux.