Emotions et expériences d’achats
Es émotions et les expériences d’achats Le comportement d’achat des consommateurs a évolué au cours des périodes. La consommation d’aujourd’hui n’est pas celle qu’elle était lors des Trente Glorieuses. Afin de comprendre le consommateur et ses envies, il est necessaire d’examiner ses différents états affectifs. Ces émotions étant classées par catégorie, on distingue les émotions « choc », les sentiment particulièrement reli des responsables ma – Swipe v n’apparaisse dans un sont des émotions n motions sont ommation.
L’objectif e anxiété rprise et la nostalgie nostalgie donnera lieu à un rétro-marketing, renvoyant l’individu à ses racines. Toutefois le consommateur sera méfiant quant à l’authenticité du produit, celui-ci devra donc respecter certaines dimensions : origine, symbolique et unique. La première impression d’un individu face à un objet sera purement affective, par la suite, une évaluation cognitive sera réalisée. Les émotions participent donc à la prise de décision des consommateurs.
Le contexte joue fortement sur le processus de décision et nteragit avec les émotions que ressent le consommateur. Même si celui-ci e to next page est considéré comme un être purement rationnel, l’offre d’achat qui s’offre à lui joue désormais sur les émotions. Les publicités les plus efficaces parviennent à associer aux marques un bénéfice émotionnel, c’est-à-dire à nous toucher ou plus précisement nous sensibiliser avant de nous faire réfléchir.
Bien évidemment, le rôle des émotions dans le processus de persuasion varie d’un individu à l’autre en fonction de ses caractéristiques cognitives et affectives. II apparaît cependant que les individus qui sont dans de bonnes dispositions vont mieux acueillir le message des publicitaires et laisseront de côté certaines réticences qu’ils pourraient éprouver. En effet, le contexte joue sur l’état affectif du consommateur et ses émotions agissent ensuite sur les comportements qu’ils soient d’évitement (anxiété et stress) ou d’approche (défini par des émotions plaisantes et stimulantes).
Le comportement du consommateur dans les lieux de vente sera alors influencé par les éléments du contexte: la foule, l’ambiance, a lumière, la musique ou les odeurs… Enfin certains états affectifs comme la frustration ou encore l’ennui favorise la réalisation d’achats impulsifs. Le « cadeau à soi » est alors vu comme une forme de compensation affective. La consommation dite « expérientielle » est un nouveau type de consommation. Cest le consommateur qui cherche 2 consommation dite « expérientielle » est un nouveau type de consommation.
C’est le consommateur qui cherche du bonheur, des émotions, des sensations, du plaisir et des expériences ouvelles pour « vivre Dans l’approche expérientielle, on s’intéresse aux activités de consommation plutôt qu’au processus de choix qui conduisent à rachat. On parle d’une implication émotionnelle plutôt que rationnelle. On s’intéresse plus à ce que ce produit signifie pour le consommateur, plutôt qu’à son usage ou ses performances (ex : sauter en parachute). Les contraintes des consommateurs évoluent : Avant, c’était le revenu, aujourd’hui, la grande contrainte du consommateur est le temps.
Le marketing a donc évolué avec les consommateurs : Les campagnes publicitaires utilisent de moins en moins le texte. L’émotion occupe toute la place. Les actes d’achat sont donc réalisés en fonction de l’état d’esprit du consommateur, de l’envie que suscite les publicités, de l’animation créée tout autour du produit pour pouvoir le vendre. Pour toucher le plus de clients l’information en elle-même se doit d’avoir un but précis, un message clair et facile à capter pour tous les consommateurs. Il faut réussir à stimuler l’envie chez le consommateur, créer un besoin dont il ne pensait pas.