Economie politique
Conséquence: la firme se substitue au marché. Tenir soi-même la comptabilité une fiduciaire -+ Se procurer ses matières premières ‘extérieur les produire soi-même Faire sa propre pub. Une firme grandit à chaque fois que de nouvelles internationalisons sont possibles. ? Limites de la croissance d’une firme. ? Direction de l’entreprise: décisions prises. – Risque – Incertitude – inefficaces du gigantisme La croissance de la firme cesse lorsque les coûts d’intériorisation sont supérieurs aux coûts des transactions en vigueur sur le marché. Comme sur le marché): il y a des interactions entre les agents économiques qui sont reliés par un système de rapport hiérarchique. Les informations peuvent yeux circuler au sein d’une firme que sur le marché où il y a des risques et des incertitudes. FI ARM E intériorisation de transactions passées sur un marché imparfait La collaboration des facteurs de production La croissance et le rythme d’expansion sont limités ? Selon cosse, la spécialisation (la division du travail ) peut aussi se faire au sein de la firme processus de production: travail, sol, capital Résultats de l’activité productrice.
Quantités produites de biens et de services. Pour produire, il faut combiner plusieurs facteurs: travail, sol, capital. Dans l’idéal, il faut des facteurs complètement oboles. Dans la réalité, il y a des limites à cette mobilité. – Des limites spatiales: les facteurs de production sont liés un cadre géographique. – Des limites fonctionnelles: certains facteurs ont divers usages possibles, d’autres ont un usage exclusif. – Des limites temporelles: tous les facteurs ne peuvent pas être adaptés en même temps. Tous les facteurs ne sont pas substituées. Chaque producteur peut définir sa solution de production: comment les inputs sont transformés en toupets. Mais toutes les solutions ne sont pas bonnes. Il faut seulement considérer les transformations efficaces. Si il n’est pas possible d’augmenter l’toupet d’un bien sans diminuer celui d’un autre, la condition d’efficacité est respectée. Ces relations techniques sont représentées par des fonctions de production. 2 économie politique: RÉSUME CH.:2 PRODUIRE: COFFRE FLEXIBILITÉ COMBINATOIRE Facteurs substituées Les facteurs de production se remplacent mutuellement tout en arrivant au même résultat.
agirai tuer extensive: beaucoup de terre et de capital peu de travail. -5 Agriculture intensive: beaucoup de travail, sur peu de terre. Rapport fixe. On ne peut pas les substituer. Une seule proportion est utile (un peu des 3). FLEXIBILITÉ DANS LE TEMPS Courte période Une partie des facteurs de production est fixe. Leur quantité ne peut pas être modifiée (ni plus ni moins. Comme ces facteurs sont rigides, ils demandent des périodes d’adaptation plus longues -+ Bâtiments, installations Longue période Les quantités de facteurs peuvent varier parce que le laps de temps est assez long.
On t ajuster les facteurs. LA FONCTION DE PRODUCTION = combinaisons de facteurs techniquement efficients. Relation entre les quantités d’inputs (ce qui entre dans la production) et la quantité de l’toupet (ce qui sort de la production. Produit total = Quantité globale du bien obtenu grâce à l’engagement de quantités croissantes des facteurs de production. Produit marginal = Quantité additionnelle produite grâce à l’emploi d’une unité supplémentaire de facteur variable. Produit moyen = Quantité produite par unité de facteur variable 2. . 1 . LA LOI DES RENDEMENTS NON PROPORTIONNELS Cette loi s’inscrit dans l’optique à court terme: certains facteurs sont fixes seule une partie des ressources est flexible: la quantité de travail est variable, le capital est fixe. La loi des rendements non proportionnels = Si on ajoute es unités d’un facteur variable (travail) à une quantité fixe de facteurs de production (sol, capital) le produit physique total s’accroît plus que proportionnellement (+ 5% de sol + 7% de travail) mais ensuite moins que proportionnellement.
Agriculture: les terres et les immobilisation travail) mais ensuite moins que proportionnellement. Agriculture: les terres et les immobilisations sont des facteurs fixes auxquels on peut ajouter des quantités de travail. On ajoute du travail (facteur variable): les rendements s’accroissent car il y a une meilleure division du travail. Mais plus on ajoute du travail moins il a d’effets ensablés (ne sert à rien): il peut même être néfaste -+ trop de fertilisant peuvent être nocifs. On parle aussi de loi de rendements décroissants. Certes la le phase est un supplément de productivité, mais la productivité décroît dès que point d’inflexion de la courbe du produit total. De plus, ce qui a de l’importance, c’est le phénomène des rendements décroissants à court terme. 2. 2. 2. L’ÉGALISATION DES UTILITÉS MARGINALES Tous les facteurs sont variables en longue période. Les quantités de tous les moyens de production peuvent être adoptées à la situation: l’entrepreneur dispose d’assez de empesé.
En courte période, on ne substitue pas un facteur pour un autre, puisque un facteur (input) est fixe. Ces seulement le choix de la quantité du facteur variable qui compte. Par contre, en onguent période, il faut trouver le rapport idéal entre les facteurs puisque ils sont tous variables (ils peuvent donc se substituer les uns aux autres). En longue période, le producteur est soumis à des contraintes: ? Une contrainte technique de la fonction de production – Une contrainte économique des coûts de production. Il faut combiner ces contraintes.
Une solution d contrainte économique des coûts de production. AI faut combiner ces contraintes. Une solution du point de vue technique n’est pas forcément une solution d’un point de vue économique. AI faut donc choisir une solution technique rationnelle qui engendre les coûts les plus bas: minimisation des coûts. AI faut obtenir à partir d’un coût donné (budget), la meilleure solution technique possible: maximisation de l’toupet. A) L’OPTIMUM DE PRODUCTION L’entrepreneur doit réaliser une production donnée avec un minimum de dépenses.
En longue période, il peut améliorer le résultat en remplaçant un facteur inefficace par un facteur p lus productif. AI faut procéder ainsi chaque fois que la substitution d’un facteur permet de réaliser des économies. La substitution des facteurs de production dépend certes de leur efficacité physique mais aussi de leur prix. Lorsque l’entrepreneur combine les facteurs de production, il doit se demander quel sera l’effet sur la production totale s’il réduit les dépenses d’un facteur pour un autre facteur -5 il réduit le capital pour l’affecter au travail.
Si le produit total augmente, la substitution est bénéfique (bon effet). Les facteurs de production sont combinés au mieux lorsque le produit total ne varie plus. Plus aucun remplacement d’input par un autre ne permet d’améliorer le résultat. L’entrepreneur a un avantage substituer le facteur dont l’efficacité par unité de budget est supérieure aux facteurs dont l’efficacité est moindre, tant que le produit total varie. (mieux vaut substituer un facteur qui coûte X et produit peu que le produit total varie. Mieux vaut substituer un facteur qui coûte X et produit peu à un facteur qui produit beaucoup et qui coûte X). Si le facteur capital est moins efficace que le facteur travail pour un même coût, l’entrepreneur doit substituer une partie de ses ressources e l’un vers l’autre. Toutefois, ce processus de substitution a des limites. Plus on pousse loin la substitution, plus les productivité marginales s’égalisent (lois des rendements décroissants). L’optimum de production est atteint lorsque les possibilités de substitution sont épuisées.
B) LES RENDEMENTS D’ÉCHELLE ET SENTIER D’EXPANSION 4 Pour analyser la rationalité d’une entreprise, on peut donc rechercher la combinaison idéale des facteurs de production. Mais on peut aussi étendre l’échelle de sa production, accroître les moyens disponibles. – Quantité produite – Proportion idéale des facteurs de production. ) Les rendement d’échelle Ils expriment l’évolution, la variation du volume produite (quantité) à la suite d’une variation, accroissements simultanés de tous les facteurs de production dans la même proportion.
Si on double les inputs, de combien varient les toupets. Les rendements dimensions peuvent être – Proportionnels: rendements d’échelle constants. La quantité produite varie dans la même proportion que les inputs (inputs + 5% production + 5%) ex plus de travail et de capital ex plus de production. – Plus que proportionnels: rendements d’échelle croissants. La quantité produite augmente plus q ? Plus que proportionnels: rendements d’échelle croissants. La quantité produite augmente plus que proportionnellement aux inputs (inputs + 5% production + 70/6). Ex plus de facteurs ex plus de production. Explications: Une production en grande quantité a des avantages; le travail et mieux divisé; la spécialisation et l’habileté sont augmentées grâce à l’entraînement; moins de pertes de temps et de gaspillage,? on peut engager des machines plus puissantes et plus perfectionnées. ? Moins que proportionnelles: rendements d’échelle décroissants. La quantité produite augmente moins que proportionnellement aux facteurs (+ 5% inputs 3% production) ex plus inputs 1,5 x plus d’toupets. Limite de la production en grande série.