E Criture
Suis-je normal ? Vous n’aurez certainement jamais de réponse pourtant c’est la première question que vous poserez chez un psychologue. Le normal existe-il vraiment ou est- il simplement une création de l’homme ? Être normal signifit répondre à des normes, être conforme à une moyenne, rentrer dans un rang correspondant à un ensemble d’individu partageant les mêmes principes. Le normal est temporel, et change constamment selon les époques, les générations, les périodes de nos vies ; par exemple un adsolescent rejetera les normes qu’on lui à inculqué dans son enfance pour suivre celle d’un autre groupe.
Il a une dynamique ?volutive dans les no comportements en potentiel de diffusion opposition à la folie, individu ne voudrait ors. Sni* to View duler des possedant un fort e normal serait en ue ce terme est péjoratif et qu’il définit un tre d nu de toute cohérence, non fiable, ainsi qu’instable. Freud disait : « Nous sommes tous névrosés » , le normal est une obsession, parfois nous voulons rentrer dans le rang afin de nous rassurer, parfois nous voulons nous en éloigner afin de nous en démarquer.
Le normal est un choix, on choisit ses normes, on choislt d’appartenlr à un groupe d’individus, nous ne pouvons pas vivre sans normes pour la ajorité d’entre nous. On voudrait être comme les autres, comme ceux qu’on à choisit d’ être, nous pouvons même ressentir de l’angoisse si l’on s’en éloigne pourtant aucun de nous n’a les Swlpe to vlew next page mêmes chromosomes, nous sommes tous différents.
La normalité peut-être un miroir, nous nous observons à travers elle, nous nous jugeons afin de nous améliorer; La jounaliste Isabelle Taubes exprime dans son article « êtes vous normal» le rapport entre normalité et téléréalité, elle nous montre que l’observation de ce phénomène n’est pas seulement du voyeurisme mais ussi une comparaison de nous même vis à vis des participants. On peut aussi observer cette comparaison à travers la publicité et c’est là tout le sujet de ce mémoire. La publicité met en scène un produit afin de le vendre, pour parvenir elle n’hésite pas à l’intégrer dans un contexte idyllique.
Celle-cl joue avec les normes jusqu’a créer un normal inatteignable, un fantasme et rend le consommatteur rêveur mais quand pouvons nous dire que la publicité franchi les limites de la normalité ? 1/1 La norme au service de Pindividu et de la société. Bonjour, Actuellement étudiante en master ? Bordeaux, je cherche une location dans e quartier des Chartrons. Je voudrais avoir plus de détails sur ce bien. Cordialement Sophie Pulat Il La norme au service de l’individu et de la société. Qu’est que le normal et pourquoi peut-il nous aider dans notre quotidien ?
Prenons l’exemple du téléphone portable, son usage c’est rapidement généralisé. Il a fait apparaltre de nouveaux comportements légitime vis à vis de l’individu comme appelé pour prévenir d’un retard, fixer un rendez-vous. Des régles ce sont aussi établie pour le res ect d’autrui dans la société comme éteindre son télé PAGF OF société comme éteindre son téléphone portable au héatre, dans des salles de concert… L’individu qui choisit de suivre les normes de société devra respecter les Ilmltes imposés. pourquoi un indivldu choissirait-il de suivre les normes de société ?
A partir des valeurs de tous se construit une morale qui se traduit elle- même par différentes normes. Le normal est un facteur de structuration, de cohésion, d’organisation sociale, de repère, de guides comportemental sociale. On voit que les normes orientent l’action sociale ou prescrivent des comportement conforme à une morale sociale. Les normes sont d’aprés Émile Durkheim l’une des dimension sociale de la société et les ormes sont le produit de la vie organisé de différents groupes. Les normes sont pour l’individu un moyen de régularisation et d’intégration sociale.
Un groupe ce construit en effet, par une certaines coordination des fonctions sociales, un besoin de partage et de but commun. Pour Durkheim les normes construite de valeurs et de limites sont une force exterieur qui permet ? l’individu de garantir son équilibre et donc celui de la société. Durkheim s’appuie sur la théorie de Spinoza comme quoi la définition de l’Homme est faite de passions est de désirs sans limites. pour lui, les normes de société sont la seule force supérieur ? l’homme capable de le canaliser.
Les individus eux, ont une vision différentes de celle de Spinoza ils ne sont pas toujours concsient de suivre la norme pour obtenir des limites. Ils souhaitent se relié au normal, pour plusieurs raisons mais surtout car pour eux il participe à la construction du liens soci plusieurs raisons mais surtout car pour eux il participe à la construction du liens social dans tout les domaines. Pourtant on observe qu’à l’inverse de Spinoza et du points de vue des individus, ce sont les individus qui définissent les normes à partir d’intérractions sociales.
Ce sont les individus ui entretiennent ce phénomène à partir des bases du normal. En effet, le normal résulte des interprétations, des lectures du comportement d’autrui. La dimension de la norme est aussi exterieur qu’interieur. Pour cela, Il existe des grille d’interprétation de la norme. Les individus qui choissent les norme sont chacun un rôle social et répondent donc à des normes. Comme nous [‘avons vu la normes se créer par l’interraction d’individus par exemple se conduire comme un père induit une interraction avec son enfant.
Les normes permettent aux individu de les guider dans leur comportement, il peuvent créer leur identité ociale et s’adapter à leur milieu. Pour cela les individus font références aux représntations sociales. Ce sont ces représentations sociales auquels on fait appel spontanément pour nous repérer dans notre environnement. Elles définissent de nombreux concept qui font partie de nos vies comme le beau, le vrai, le faux, le juste, la culture vestimentaire, la culture, les bonnes manières.. e l’objet à ‘humain les utilisons sans cesse. Elles sont même présente dans la relion, la politique, la pensée scientifique, ou même la supertitions. Ce sont comme des shémas cognitif mis au point par des groupes d’individus. Elles sont issues d’un environnement plus spontanée que les pensée scientifique d’individus. Elles sont issues ou philosophique. Elles ne néccessite pas de preuve pour ce créer des normes sociales et c’est pour cela que le concept du normal ne peut être véritablement prouvé.
Le processus se met en place par l’individu qui créer ses propres images sur ce qu’il l’entoure à partir de bases d’images qu’il possède depuis l’enfance. Par exemple, les contes inculquent dés l’enfance des comportement d’interraction et des représentation sociales culturelles. L’homme adulte ne se sépare pas toujours de ces représentations, d’ailleurs la remière représentation qu’il perçoit sont celle de ces parents, c’est en se représentant autrui qu’on construit ses propres représentations dés l’enfance. Ces images comportent des cohérences d’ informations , de représentations et de mémoire sémantique.
Pour J. Jodelet «les représentations sociales doivent être étudiées en articulants élément affectif, mentaux et sociaux et en intégrant à côté de la cognition, du langage et de la communication, la prise en compte des rapports sociaux qui affectent les représentations et la réalité materielle, sociale et idéelle sur laquelle elles ont à intervenir». Les représentations sociales sont donc construites par les individus et participent en retour aux quotidiens de ces derniers. Elles s’incrivent au coeur d’une dynamique de logique sociale, de normes sociales.
Le langage occupe une place importante dans ces interractions, il existe un comportement verbal de normes pour chaque catégorie social. J. Cumperz propose une théorie du langage qui pour lu PAGF s OF normes pour chaque catégorie social. J. Gumperz propose une théorie du langage qui pour lui serait plus issu d’une question social que d’une question de communication. Il met au point le concept «d’activités angagières» c’est « l’ensemble de relations sociales qui s’effectuent selon des shémas articulés dans un but communicationel donné».
C’est à dire des normes social présente dans la shéma de communication lors d’une interraction entre individus comme des appels, des signaux, des échanges d’information, des salutations, des entretiens, des negaciations. Tout ces actes de langage sont différents pourtant ils ont un but commun celui d’utilisé des normes sociales de langage afin dêtre apprécier, d’obtenir un emploi, une information ou un accord. Pour Gumperz pour que ces actes soit éfficace ils necessites une connaissances e codes culturels et donc des normes sociale attribué à chaque cas de figure.
Aprés cette aperçu du fonctionnement des normes nous pouvons dire que pour un l’individu être normal peut-être ressenti comme une sécurité, une stabilité. Le normal est rassurant, réconfortant il n’ est pas synonime de solitude. La normalité fuit la solitude ; si je suis normal alors personne ne me jugera différent, je serai comme vous et donc jamais exclus. La majorité des êtres humains n’aiment pas être rejetés, nous voulons plaire et être aimer de plus en plus dans notre société. ?Etre normal c’est aimer t travailler» Freud, afin de répondre à ce désir nous répondons à des normes, nous devenons normal, l’ anormalité peut effrayée et nous empêcher de plaire aux autres. Se sentir normal c’est se se OF l’ anormalité peut c’est se sentir soutenu par les autres, avolr l’impression de suivre le bon chemin, un chemin concret, déjà expérimenté et validé. Un proverbe anglais dit « Assiduity makes all things easy. », il signifit en français que «l_’habitude rend tout facile», être normal c’est limiter l’inconnu et le danger. Nous sommes tous conditionnés par la nécéssité d’ être normal.
Pourquoi on se sent bien lorqu’on est normal ? On peut mettre en avant le livre de Alain Ehrenberg «La fatigue d’être soi : dépression et société» 1998. Il expose la difficulté entre le domaine privé et le domaine public. Chaque individu est lié à ces deux domaines et la norme impose un changement dans ses rapports. La reussite prend une place importante dans la vie d’un individu et ce mêle au privée et au public. On parle de «culte de la performance» dés les années 80 avec trois faits, synonime de reussite et de domination : les champions sportif, la consommation et le chef d’entreprise.
Le chef d’entreprise qui était assimilé à une forme de domination devient en fait un modèle de société « Ce culte inaugurait ainsi de nouvelles mythologies permettant à chacun de s’adapter à une transformation majeure : le déclin de la discipline au profit de l’autonomie. Épanouissement personnel et initiative individuelle sont les deux facettes de cette nouvelle règle du jeu social ». Chacun doit croire en lui-même pour construire sa vie, réussir et briller aux yeux de tous. Ce phénomène créer le contraire. C’est une pression constante que PHomme subit. Ce phénomène forme une 7 OF hénomène créer le contraire.
C’est une pression constante que l’Homme subit. Ce phénomène forme une boucle ; L’ individu trouve un soutien auprés des normes, elles lui permettent de suivre un chemin tracé, respecté de tous comme elles le pousse ? rentrer dans le rang de ce qui représente une performance social. Le normal se retrouve dans tout les domaines; dans notre vie privé, public, on doit incarner le normal jusque dans notre apparence. En effet, la norme sociale implique également une pression socioculturelle engageant à se conformer par diverse forment de réprobation qui peuvent aller jusqu’a l’excluslon. r exemple, la norme de beauté dans les sociétés occidentales contemporaines est associée à la minceur. Les personnes qui ne correspondent pas à la norme sont exposées à un rejet des autres, à un moins grand succès social, on peut même parler de discrimination. Il n’y a qu’a travers la discrimination positive que l’individu hors norme sera accepté, on se sert de la différence de l’autre pour un intérêt particulier mais on a toujours conscience de la différence de l’autre. – ‘influence de l’attrait physique est étudié depuis des décennies.
En effet, elle occupe une place importante et il est difficile de ejeter l’idée qu’elle ne joue pas un rôle dans notre inssertion au sein de la société. On voit ce facteur apparaitre dans un liens qui se créer entre le privée et public comme l’image que ron se renvoit par l’image que les autres nous donne de nous même. Cette influence est aussi omniprésente dans le travaille, il est présent par exemple dans la selection du personnel. une étude mené par BOF le travaille, il est présent par exemple dans la selection du personnel.
Une étude mené par deux chercheurs américains Reingen et Kernan confirme l’existence d’une influence physique. En effet, ‘étude mettait en scène des hommes et des femmes qui devaient solliciter des passants pour obtenir de l’argent pour une association en faveur des maladies cario- vasculaires. Les hommes et les femmes avaient été sélectionnés au préalable pour leur physique avantageux et d’autres pour leur physique atypique. Les résultats sont plus élevés pour les invidus ayant un physique avantageux.
On constate qu’une personne juger comme attrayante à plus de chance d’obtenir ce qu’elle désire. -Pourquoi ces personnes nous influence plus que d’autres ? Penser que ce qui est beau est bien est une norme sociale omniprésente dans notre société. ne personne attrayante vendant un produit attrayant vendra plus de produit. Quelqu’un de beau est de soigner augmentera la confiance du client envers un produit ou un service, l’esthétique et le qualitatif sont liés car il apporte tous deux un sentiment positif, être beau c’est bien, être efficace c’est bien.
L’attrait d’une personne influence notre comportement a son égard. Pourtant on met en avant que chacun à ses propres gouts comment en aimant différent physique nous arrivons à parler de beauté lié à la société ? «Ce n’est pas mon genre mais elle est jolie» prenons l’exemple ‘une poupée Barbie. Au cour de l’évolution humaines les morphologie ont changées du à une alimentation, un mode de vie différent. Certains chercheurs pensent que certaines morphologie seraient préféré ? d’autres PAGF g OF de vie différent.
Certains d’autres et celle qui serait les favorite seraient à l’optimum de l’évolution. Barbie ayant les atouts de l’évolution poussé à l’extrême serait l’idéal et le prototype de la beauté physique. Elle à des jambes longues, un cou long, une flexion de la voûte plantaire, des épaule carrées, des dents blanches, un petit nez ,de grand yeux, une taille trés ine, une potrine proportionnel à son Corp. Sa blondeur serait également un avantage, des études montrent dans notre société que les blondes seraient mieux payés, qu’elles reçevraient plus de pourboire.
On remarque que certaine poupée plus proche de la réalité qui correspondraient moins à l’extrême de révolution physique ait moins de succées au niveau des ventes. La poupée Barbie représente ce que nous aimerions c’est à dire une évolution parfaite. Ce phénomène ce produit car ce stratagème est ancré dans l’esprit des individus. D’aprés plusieurs études être beau permettrai même d’avoir oins de condamnation par les tribunaux, plus de clémence dans féducation, un salaire plus élevé ou encore un atout pour trouver un emploi.
La beauté est un stéréotype. C’est toute une société influencé par divers avantages, par la publicité, par la gloire qui est poussé à suivre cette «normalité esthétique». On parle d’influence sociale normative :pour ne pas être exclus il est préférable d’être mince ou encore d’être tendance. La mode prend une place importante dans notre quotidien. Elle nous permet de montrer ce que nous sommes en apparence, ou plutôt ce que nous voulons être aux