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Dossier d’économie mondiale : Le Sénégal Sni* to View Sommaire 2013. L’économie est essentiellement agricole (mil, arachides,sorgho et coton) avec des secteurs de pêche le long de l’Atlantique. Pendant longtemps, le Sénégal exportait prlncpalement des arachides et des produits secondaires, ce qui lui rapportera le titre d’économie de monoculture. Ses principales recettes proviennent de la pêche et du tourisme. par rapport à sa situation géographique et sa situation politique, le Sénégal est l’un des pays africains les plus industrialisés avec la présence de multinationales majoritairement d’origine française.

Il fait également parti des PMA ( Pays les moins avancés ) et ses principaux partenaires économiques sont la France, l’Inde, l’Italie, la Chine et les États-Unis. En effet, depuis son indépendance, le pays a su profiter des conditions climatiques favorables et de l’introduction de nouvelles semences qui ont augmenté les rendements. De plus, la progression des échanges extérieurs de biens et services est très fluctuante au fil des années. Elle dépend donc du climat, des cours mondiaux et plus particulièrement ceux des exportations.

Le Sénégal est dans une situation peu enviable des échanges ue à différents facteurs qui sont les conséquences de la crise pétrolière, le renchérissement des prix des biens d’équipement, le tassement des cours mondiaux et la prédominance des produits agricoles dans les exportations. Par ailleurs, grâce aux trois schémas ci-dessous nous pouvons constater que le pays importe plus qu’il exporte. Grande catégories Importations Exportations Produits agricoles 1 691440000 25. 16 0. 09 799439000 34. 35 0,05 Pétrole, produits miniers 21601 70000 32. 3 0. 05 485721000 20. 87 0*01 Produits manufacturés 2872260000 42. 72 0. 02 1042170000 44. 78 0,01 Totaux 723870000 100 2327330000 du Sénégal est atypique car son économie tourne essentiellement autour du secteur primaire et celui-ci peine à s’intégrer dans cette nouvelle ère de la mondialisation. 4 Il ) LA BALANCE DES PAIEMENTS 2007 2008 2009 2010 Transactions courantes -628. 8 -843. 7 -403 -374. 3 Balance commerciale -1 193. 3 . 1522. 5 -957. 7 _941 . 5 Balance des services -18. 1 -54. 1 -60. 8 -56. 7 Balance des revenus -35. PAGF pétroliers dont la valeur des achats s’est accrue de 12,9%. Au total le solde global de la balance des paiements démontre un excédent de 129,4 milliards de francs CFA en 2010 Ill ) LE SYSTEME MONÉTAIRE DU SENECA Le système monétaire sénégalais regroupe essentiellement la Banque centrale, des États de l’Afrique de l’Ouest ( BCEAO ), des banques de second rang et des établissements financiers. En ce qui concerne la BCEAO, il s’agit d’un établissement public international dont le siège se trouve à Dakar.

Créée en 1 962, elle se compose de 8 États membres dont le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée-Bissau, le Mali, le Niger, le Sénégal, et le Togo. Ses fonctions sont les suivantes : les missions monétaires (billets et pièces de monnaie) a gestion de la politique monétaire (règlement des contrôles du système bancaire sous régional) l’organisatlon et la surveillance de l’activité bancaire l’assistance aux États membres de l’Union La Banque centrale recherche en permanence une authentification des signes monétaires afin de renforcer la sécurité des billets qu’elle émet.

En revanche en 1999, il est important de souligner qu’un projet de réforme et de modernisation des systèmes et moyens de paiement dans la sous réglon Ouest Africaine a fait son apparition avec la mise en place de la monétique. Pour ce qui est des banques de second rang et des ?tablissements financiers, ils ne cessent d’augmenter au Sénégal et se compose de 21 banq lement concentrés ? ( capitale du pays 6 TAUX DE CHANGE DU FRANCS CFA ALJ SENEGAL I $ 433CFA 1 US$-645 CFA 1 CFA 1 cour. orvégienne= 80,71 CFA 1 cour. danoise= 88,20 CFA dalassi 54 CFA 1 couronne de Suède= 75,07 CFA 1 ouguiya IE CFA I F suisse= 408,50CFA Le franc CFA ( communauté financière afrlcaine) est la monnaie commune de plusieurs pays d’Afrique. Il représente un avantage considérable pour ces pays pauvres car le fait d’avoir une monnaie commune leur permet d’éviter des frais d’impression et de change et empêchent une dévaluation.