Doit civil

essay A+

Cette interrogation opposait à l’époque deux conceptions de la nation, dont la première (celle des opposants à l’allemande) consistait à privilégier une vision raciste, ethnique, linguistique et géographique de la nation; la seconde, partagée par l’auteur de ce texte héritée des Lumières et de la Révolution, reposait sur l’abdication de l’individu au profit d’une communauté ». Une nation, comme nous l’explique errent rénal, est un principe spirituel, immatériel mais avant tout une institution composée d’homme, libre d’appartenir à la communauté, dont il choisit les critères sociaux et linguistiques.

ces cette idée de la nation qu’errent rénal expose dans un premier temps en tentent d’établir sa propre conception de la nation (bases de cette institution, principes, visions humaine à lui consacrer), avant de proposer, lors du règlement des frontières, une consultation directe de l’avis des populations concerné, loto qu’une démarche traditionnel préconisant une certaine diplomatie et la guerre. I. La conception de la nation d’errent rénal premier boy kola I HOF16pFl 13, 2009 10 pages C’est cette idée de la nation qu’errent rénal expose dans A.

La réfutation de la thèse d’une nation définie sur l’appartenance « auto automatique » à une communauté errent renard dresse rapidement un premier tableau de la nation à laquelle il lui octroie une âme et un principe spirituelle. Cette nation est inévitablement construite autour d’un passé, par un ensemble d’événement perçu comme un héritage mais aussi d’un présent afin de répéter le souvenir des événements passés et l’héritage commun. errent rénal souligne en particulier l’importance du sentiment de communauté.

Pour l’auteur, la nation n’est qu’un seul corps représentant « l’aboutissent d’un long passé d’efforts, de sacrifices et de dévouement ». Effectivement, il montre que ces sacrifices et dévouement sont des mots forts qui servent à représenter l’oubli de l’individualisme au profit de la nation. La notion de « culte » n »implique pas ici un rite religieux mais plutôt une marque de respect offerte aux ancêtres, aux personnes nous ayant précèdes. La notion « d’ancêtre » est caractérisée par un ensemble de personnes qui ont une influence dans le devenir d’une nation.

Cet hommage aux hommes fondateurs de notre présent est considéré comme « légitime », ce qui l’associerait presque à un devoir. Dans ce sens, le philosophe illustre la nation grâce aux ancêtres qui « ont faits ce que nous sommes », c’est pour cela qu’il faut leur rendre hommage. errent rénal défend alors ici l’idée d’un devoir de mémoire, d’hommage qui s’avère être des plus légitimes qu’il soit, que l’on doit à nos ancêtres. De plus, plus le passé de la nation est riche en lui soit, que l’on doit à nos ancêtres.

De plus, plus le passé de la nation est riche en événement, plus le sentiment de nation devient fort. Le « passé héroïque, des grands hommes, de la gloire » constitue dès lors, le capital sociale et part de là, le sentiment de nationalisme. En ce sens qu’il se développe chez les hommes une pensé commune ainsi qu’un sentiment d’appartenance à un groupe. C’est alors le moment, pour errent rénal de préciser d’avantage sa conception de la nation qu’il défini ; dans un premier temps comme le peuple, c’est-à-dire un ensemble d’individus qui ratage un passé commun, une langue commune, des racines et intérêts commun.

lorsque’ errent rénal affirme que « l’homme n’est esclave ni de sa race, ni de sa langue, ni de sa religion, ni du cours des fleuves, ni de la direction des chaînes de montagnes », il fait bien entendu la critique des opposants à l’allemande (dans le cadre de son annexion de la Lorraine et de l’Alsace), qui soutiennent cette conception de la nation qui consiste à la considérer comme une somme de critères raciaux, ethniques, géographiques ou encore linguistiques.

Selon eux, le seul fait de répondre ces critères suppose l’appartenance « automatique » à la ôtions, sentiment causé par la gloire de nos ancêtres, un certain honneur attaché à nos racines. Un peuple se doit, outre le devoir de mémoire, de vouloir faire encore de grandes choses (dans le futur) avec sa communauté comme nos ancêtres se sont battus pour e faire, j grandes choses (dans le futur) avec sa communauté comme nos ancêtres se sont battus pour le faire, jadis.

L’historien fait alors une métaphore en comparant la nation avec une « maison qu’on a bâtie et qu’on transmet » à ces descendants en guise d’héritage pour monter l’amour que l’on porte a la nation. L’hymne, le chant patriotique est lors vu par l’auteur comme un moyen de faire naître une certaine cohésion au sein du peuple. B. L’affirmation de la conception élective de la nation errent rénal rappel la possession d’un passé d’une nation qui se base sur un ensemble de souvenir parfois douloureux, mais aussi parfois glorieux.

D’ailleurs « les deuils valent mieux que les triomphes car ils imposent des devoirs, ils commandent l’effort en commun ». Les moments difficiles peuvent, grâce à cette dernière, plus facilement surmontable, en ce sens que l’union des individus et la solidarité qui en découle rende plus fort la ôtions ce qui renforce la cohésion sociale et donc qui nourrit l’idée de la nation. D’après errent rénal, « la nation est donc une grande solidarité » ce qui montre un certain principe d’unification, puisque c’est cette solidarité qui est construite par le sentiment des sacrifices qui ont déjà été fait et ceux qui reste à venir.

Elle existe dans le passé et ce corps immatériel, ce concept qu’est la nation doit perdurer, poussé par la volonté de perpétuer ce lien invisible entre les hommes. Ce lien invisible entre les hommes. La nation est à la fois vue comme moins métaphysique que e droit divin, et moins brutal que le droit historique ‘ La métaphore du plébiscite est une manière de répéter jour après jour leur volonté d’unification. Celle-ci s’oppose deux visions des détracteurs : la vision métaphysique du « droit divin » ou le « droit historique ».

Dans une nation, c’est l’habitant qui choisit s’il venait appartenir à cette nation, l’auteur insiste d’ailleurs sur ce point en disant que « si quelqu’un en cette affaire a le droit d’être consulté, c’est l’habitant « , car ce sont les habitants qui constitue cette nation. Pour errent rénal, l’appartenance à la nation repose sur n critère plus subjectif, qui la rend moins immédiate que dans la thèse de ses contradicteurs.

En effet, il définit la nation comme « une grande agrégation d’hommes saine d’esprit et chaude de écru », « une conscience morale », « l’abdication de l’individu au profit d’une communauté ». Toutes ces expressions impliquent une part importante de la volonté individuelle: chacun choisit les critères de son appartenance la nation. Ce n’est donc que quand elle est considérée sous cette vision que la nation est « légitime » et « a le droit d’exister ».

La thèse d’errent rénal, qui affirme que la volonté individuelle de chacun joue un rôle important dans la légitimité de la nation, a des conséquences dans les de chacun joue un rôle important dans la légitimité de la nation, a des conséquences dans les relations internationales (entre les nations), notamment quant aux problèmes de frontières qui peuvent les opposer. Il. Le règlement des conflits entre les nations A. La diplomatie et la guerre, méthodes traditionnelles rénal s’attelle ensuite à l’homme, qu’il définit par son essence, ses caractères propres : désirs et besoins, double postulions humaine.

Ainsi rénal anticipe un argument de on public, auquel il s’adresse comme des détracteurs: ce sont les désirs et les besoins des hommes, dans leur unicité, qui participent à désagréger l’institution qu’est la nation. C’est en faisant la critique des méthodes traditionnelles des règlements des conflits frontaliers que l’auteur propose ses propres « modestes solutions empiriques » ! Pour cela, errent rénal s’est préoccupé à la vision humaine de la nation. En effet, l’homme est ici définit par l’auteur comme un être de désirs et de besoins qui détruise la nation.

Ces besoins possèdent une importance capitale en se sens que s’ils ne sont pas suffisamment empesées ils peuvent être la direct conséquence de la division du peuple d’une même nation. En effet, s’ils ne sont pas tempérés, modulés, ils participent à la division du groupe composé d’hommes, au sein d’une même nation. L’auteur s’oppose très clairement aux « transcendants de la politique, ces infaillibles qui passent leur vie à se tromper comme il nomme les d transcendants de la politique, ces infaillibles qui passent leur vie à se tromper », comme il nomme les dirigeants politiques.

En effet, leurs « principes supérieurs » que sont « la diplomatie et la guerre », ne sont pour E. rénal que es « tâtonnements infructueux », consistant à prendre des décisions sur l’avenir des populations sans leur avoir au préalable demandé leur avis. C’est sur cet aspect de la part de la volonté individuelle dans les prises de décisions d’une pope ôtions qu’errent rénal insiste en proposant sa propre méthode « terre à terre » de règlement des problèmes de frontières entre les nations.

L’auteur en profite alors pour préciser que, c’est grâce l’assistance des nations est la garantie de la liberté, qui serait perdue si le monde n’avait qu’une loi et qu’un maître.  » Une nation est issue du travail du peuple à cet effet, et en aucun cas, une seule et même personne ne pourrait établir cette nation. Une nation est une institution commune faite par le peuple en entier, et cela pour son propre intérêt. errent rénal compare alors toutes les nations à « un concert de l’humanité « en ce sens que les nations, malgré ours différences, apportent toute leur note afin de former le concert qu’est le peuple.

errent rénal prend alors, en quelque sorte la défense de la nation qui à temps souffert dans le passé et qui souffrira encore tant dans l’avenir » Pauvre humanités, que tu as souffert ! Que d’épreuves l’attendant encore ! En effet, il constate que tu as souffert ! Que d’épreuves l’attendant encore ! En effet, il constate au sein de sa réflexion sur la nation, que l’humanité fut victime de terribles épreuves comme par exemple la guerre, le génocide…. Mais hélas tant d’autres restes à venir. B. Consulter les populations » Il est vrai que la nation est indispensable à l’homme dans sa vie de tous les jours, bisexuelle assure à ce dernier une bonne vie. Mais l’homme doit pouvoir s’extirper du principe nationaliste, pour dépasser des idées discriminatoires comme la race, au risque d’être esclave et donc de an pas voir son libre arbitre, englué dans la masse. rénal, pour cela, utilise des arguments aussi riches que la géographie, l’identité religieuse, raciale etc.. Ce qui permet, généralement, de catégoriser les hommes.

C’est cette série d’énumérations négatives qui lui permet de définir, cette fois clairement, ce qu’est une nation : une réunion d’hommes, qui est « saine d’esprit et chaude de c?Ur », qui sont à la cause d’ « une conscience morale », autrement appelée une « nation ». Si cette  » conscience morale » consiste à faire passer l’intérêt général avant celui de l’individu, alors elle a le droit d’exister. rénal déclare même qu’il est légitime, sinon c’est un devoir de s’en remettre à l’avis des populations.

Cet argument lui permet d’attaquer les politiciens, les « transcendants de la politique », hommes méprisants qui se pensent supérieurs car armés de principes qui semblent plus viables alors, hommes méprisants qui se pensent supérieurs car armés de principes qui semblent plus viables alors, qu’en réalité, ils se trompent à longueur de temps. « Consulter les pope ôtions » est pour errent rénal « d’une simplicité enfantine ». Cette « modeste solution empirique suppose que « les populations disputées » « ont bien le droit d’avoir un avis dans la question » de leur appartenance à une nation.

errent rénal, rappelons-le, explique dans sa conférence, que la nation soit doit d’être légitime et que l’habitant doit être consulté en cas de litige. Ceci lui permet de s’en prendre aux politiciens que l’auteur nomme les « transcendants de a politique » dans l’optique d’appuyer l’idée que ces politiciens font seulement c’est qu’ils veulent, ce qui, selon l’auteur, ne donne pas de grandes prouesse: errent rénal qualifie ces résultats de « tâtonnement infructueux ».

L’auteur revendique alors, l’héritage des Lumières et de la Révolution, avec l’expression « ces chétives idées françaises » désignant la souveraineté populaire, qui est la capacité pour les pope ôtions de décider de leur avenir librement et souverainement. La diplomatie consiste à tempérer ses paroles, faire des accords qui permettent une bonne entente entre les nations, mais au-dessus des peuples, dans le secret des couloirs des palais.