Dissertation Philo

Le bonheur est-il une affaire privée ? Introduction Le bonheur, la quête secondaire de fHomme à l’état naturel après la survie de son espèce, le bonheur, défini par le plaisir et l’absence de douleur et de contraintes, la quête absolue de l’Homme moderne car l’instinct grégaire de sa survie n’entreprend plus sa pensée première.

Cette question du bonheur va être même une des grandes questions de l’homme, pourquoi donc être heureux lorsque la mort est la trace finale qui régit notre existence, cette ques les hommes recherc or 5 toutes les actions de us Sni* to View neKtÇEge un si grand nombre n’est arrivé à ce poin pascal, pensées (1670). qu’Hommes « Tous Cest le motif de endant, depuis e, sans la foi, Ilement Blaise Le bonheur est donc une quête entreprise par chacun et au même temps par tous.

On peut ainsi parler d’un bonheur vu sous deux écoles différentes. La première, celle du bonheur relatif aux individus, le bonheur privé qui va relever de ses expériences et entreprises personnelles, la deuxième, celle du bonheur partagé, celui du bien-être collectif qul va dépendre des mouvements de roupe : l’opposition entre une affaire privée e Swipe to View next page et une affaire publique. L’opposition entre une occupation, un bien personnel relevant de l’intime et le public relevant de l’état, de la politique.

L’état doit-il se soucier de rendre les Hommes heureux ? Le bonheur est-il une quête personnelle ou régie par l’état ? Le bonheur est une question privée relative à chaque individu. Cette question reste intimement liée au domaine du public et du partage avec autrui. Ainsi le bonheur est paradoxalement privé en mesure d’être public. I Le bonheur est une affaire privée a) Le bonheur est une affaire privée relative aux indlvidus.

Morale épicurienne Epicure=ermitetl sagesse qui va induire le bonheur : ce qui relève strictement d’une affaire privée Carpe Diem : profiter individuellement de ce qu’offre la vie. Opposition avec le repli sur soi. b) L’oubli de ses actions passées relève du bonheur de chacun et du domaine privé. Si L’homme n’oublie pas ses erreurs passées, il y restera ancré et ne pourra être heureux. L’Homme seul pourra oublier ses actions antérieures. La pensée collective ne sera pas n mesure de faire cela. En effet un acteur tentera toujours de nuire à l’oubli collectif. ? Celui qui ne sait pas se reposer sur le seuil du moment pour oublier tout le passé, celui qui ne se dresse point, comme un génie de victoire, sans vertige et sans crainte, ne saura jamais ce q ne se dresse point, comme un génie de victoire, sans vertige et sans crainte, ne saura jamais ce que c’est que le bonheur, et, ce qui est pire encore, il ne fera jamais rien qui puisse rendre heureux les autres » — Nietzsche, Considérations inactuelles, Il, 874 c) Le bonheur est un sentiment intime et personnel dépendant de soi-même, des gouts et des préférences de chacun, incommunicable.

II s’agit d’un état relatif à chacun. Chacun ayant sa propre conception du bonheur et étant heureux différemment. « Le bonheur est un concept si indéterminé » E. Kant, Fondements de la Métaphysique des Mœurs, deuxième section, traduction V. Delbos, éd. Delagrave, 1969. il est permis à chacun de chercher le bonheur dans la voie qui lui semble, à lui, être la bonne », Théorie et Pratique, 1793. Il) Le bonheur relève aussi du public a)Le bonheur est non-égoïste.

L’action d’un individu peut être partagée en de donner un sens commun de quête de groupe. Le bonheur a besoin d’être partagé pour être pleinement vécu « l’ami, qui est un autre soi-même, a pour rôle de fournir ce qu’on est incapable de se procurer pas soi-même Aristote, Ethique à Nicomaque, 1990. Le partage avec autrui est essentiel au bonheur. En effet on peut à nouveau évoquer Aristote par son propos selon lequel l’homme est un « animal social b) Le bonheur peut être