Dissertation Fran Ais
sur Les Perses d’Eschyle, le livre I De la nature de la guerre de De la guerre de Clausewitz et Le Feu de Barbusse, nous verrons en quoi le motif idéologique rend la guerre extrême, ce qui la rend violente mais elle rentre dans une dimension politique. La violence guerrière est d’autant plus forte que Pintérêt Dissertation Fran Ais Premium gy chacla MapTa IS, 2015 8 pages Dissertation : Carl Schmitt, La Notion de politique « Sois proche de tes amis et encore plus proche de tes ennemis » de Francis Ford Coppola.
Nous allons étudier « Les concepts ‘ami, d’ennemi, de combat tirent leur signification objective de leur relation permanente à ce fait réel, la possibilité de provoquer la mort physique d’un homme. La guerre naît de l’hostilité, celle-ci étant la négation existentielle d’un autre être. » Lors d’une guerre, un ami est un allié et un ennemi est un adversaire. Une guerre est provoquer lorsqu’il y a une tension entre deux êtres ce sont alors des ennemis. Donc cette tension entraine un combat, l’homme ? la possibilité de donner la mort. Ainsi il y a présence de violence.
Swipe Lo nexL page Donc le principe d’a ar l’ami peut donner rn org est une possibilité au Sni* to En quoi la guerre qui pousser les hommes eue t sont forcement lié me l’inverse ce qui est un acte violent. et ennemi peut ? En nous appuyant se voit accompagner d’un motif idéologique. Comme il s’agit d’idéologie l’ennemi n’est qu’une erreur. On rejettera sur lui toutes les fautes, on niera son humanité. On peut ainsi distinguer des formes de guerre en fonction de leur violence qui n’est pas toujours la même. Ainsi, les grands types de guerre selon Clausewitz sont les degrés.
Le motif de la première st le fait d’être intriqué par un autre monde. La seconde ? un caractère plus fort chez notre auteur il dit des « motifs de guerre grandioses et puissants ». Dans Eschyle, il oppose les guerres de Darios à la guerre de Xerxès à la fois lorsque l’ombre du roi apparait et dans le dialogue finale entre le chœur et Xerxès revenu vaincu. Cette opposition montre des degrés dans la guerre. pour les perses, la guerre permet d’avoir plus de richesse, on le voit par les craintes de la reine sur l’enrichissement de son mari.
S’il y a donc bien des degrés de violence dans la guerre, en uoi sont-ils liés à des motifs différents ? Le motif le plus puissant est bien celui qui met en jeu des notions morales ou politiques. On le voit dans la violence contre les allemands dans le roman de Barbusse. Ainsi le caporal Bertrand qui, d’un côte met l’homme au même stade que la bête et justifiant cela par l’avenir. Le peuple tout entier d’Athènes est menacé de disparltion comme l’a été le peuple de Milet, vaincu par les Perses et réduits en esc avage en 494 av. J. -C. ? l’inverse, la différenc peuple de Milet, vaincu par les Perses et réduits en esclavage n 494 av. J. -C. À l’inverse, la différence entre les deux femmes du rêve de la reine montre que la liberté contre la tyrannie est défendue par les athéniens. Eschyle montre que se sont les Perses qui ont fait une faute mais alors Eschyle les rejeter ce qui les amène aux massacres qu’ils ont subis. Dans Clausewitz, il ne peut y avoir la guerre que si l’adversaire à un ennemi. Et donc il faut une hostilité entre les deux. Ce qui peut le déclencher c’est que les deux ennemis n’ont pas le même point de vue.
Cependant, que l’autre soit un ennemi même pour des motifs déologique ne suffit pas pour aller jusqu’à une violence extrême. Le persuader, voire le convaincre est plus essentiel. Dans la violence guerrière, les motifs, l’intérêt, passion, morale, ne sont qu’accidentels. C’est pourquoi, il n’y a pas de différence quant à la violence dans la guerre. En effet, la guerre est pure violence lorsqu’elle est pure selon Clausewitz. Il faut regarder plus particulièrement la première analyse car, elle nous énonce trois monté de la violence qui sont l’emploi de plus en plus de violence, le désir vaincre l’ennemi et l’usage des forces.
Dans ces trois interactions les ennemis font la même chose. Autrement dit, la guerre admet des degrés mals pas sur les motifs de faire la guerre mais sur l’intensité de la violence. On peut comprendre que la guerre est alors une agitation in l’intensité de la violence. On peut comprendre que la guerre est alors une agitation inhumaine dans Barbusse. La guerre serait le retour à l’état primitif. Elle est donc bien l’arrêt chez l’homme de la clvilisation. Chez Eschyle, on voit dans les dire du messager qu’il y a des massacres qui ne sont pas du aux courages des ombattants. L’arc est plutôt Farme des Perses, par opposition ? la lance.
D’un côté les Perses sont achevés « comme des thons b. D’un autre, ils sont tués avec des armes de jet. Ainsi les grecs ne sont pas différent des Barbares. Mais alors qu’elles sont les raisons ou motifs que les hommes donnent à la guerre ? Ce ne sont pas les motifs qui enclenchent la guerre car il y a une grande différence entre la guerre et les motifs de celle- ci. Dans Barbusse, les soldats français et les soldats allemands ont des rencontres qu’on peut dire pacifiques, on peut le voir orsque Poterloo et le narrateur recherchent la région d’origine du premier sur le front.
Il lui raconte lorsqu’il a sympathisé avec des allemands et des alsaciens, ceux lui avait permis de passer de l’autre coter et de découvrir la trahison de sa femme et sa fille. On peut alors se demander comment des hommes qui peuvent faire la paix peuvent-ils se battre ? C’est surement car la violence est première devant les motifs. Chez les Perses on peut voir que les massacres ne viennent pas que du vouloir de défendre car ils sont devenus inoffensifs. Le concept PAGF