Deuxi me partie fr
1 . Analyse de la forme : 1. Ily a le champs lexical de la guerre : – Hitler/Pétain – Chambres à gaz – Résistants/Collabos – Guerre mondiale – Libération 1945 = Le 8 mai 1945 symbolise l’armistice entre les deux pays. Mais dans la comparaison que Hugo fait entre cette guerre la et la société actuelle est que tout cela n’a jamais cessé.
Il y a le champs lexical de l’immigration : – Nouvelle génération d’ghettos en rapport avec les quartiers construits juste pour eux ou les conditions de – On parle de limitati t extrême droite vo comme une menace. – Cités dortoirs ou I ors olitiques de droite n , considérant cela gement où sont placées les étrangères et [trottoir car beaucoup d’immigrées lorsqu’elle ne trouve pas de travail ou comment se faire de l’argent , elles finissent souvent dans la prostitution. Des bananes autour d’Ia taille en référence à Joséphine Baker qui est une meneuse de revue afro américaine qui a fait le buzz dans son show en portant une ceinture de banane autour de sa taille. Ni complètement français , ni étrangers , des genres de prototypes. – C’est foutu plus l’droit d’taffer , une Swipe to vlew next page vie quasi gachée pour dénoncer que les enfants d’immigrés ne bénéficient pas d’une bonne éducation. 2.
Relever le niveau de langage : le niveau de langage dans cette chanson est très clairement familier car il emploie différent mots qui renvoient vers ce langage tels que « merde encule , cul ,bicrave , keufs » et parle également en « verslen » ce qui eut dire qu’il inverse l’ordre des syllables dans les mots tels que « gué-dro » ou emploie des mots aussi tels que darons qui est un mat du langage familier qui signifie « père D. On peut donc bien en déduire qu’il n’utilise que le langage familier dans cette chanson. 3.
Expliciter le rôle du refrain : Dans les deux premières lignes du refrain Hugo explique en quelques mots que en France , les français se sont toujours déclarés être un pays libre ils le disent ême dans la devise de leur pays « Liberté , égalité , fraternité » alors que cela ne restent que des belles paroles ou des écrits mais pas des actes , les militants ont toujours été réprimés par la police d’ou sa phrase « Ce pays là où la police règne » Dans la troisième et la quatrième ligne , il explique très clairement que la France n’assume pas ses jeunes qui viennent des cités et qui y ont grandis , elle les délaisse pour les enfants venant de famille française de pure souche il dénonce