Description du magasins du bonheur des dames
Es petites boutiques pâtissent de cette nouvelle notoriété, car Au Bonheur Des Dames s’agrandit et rafle la clientèle parisienne. chapitre IV, grande vente des nouveautés d’hiver. La recette est de 87742. 10 francs et Mouret regarde son magasin animé, puis encombré. Deuxièmement : 14 mars 1867, chapitre IX, grande vente des nouveautés d’été, à l’occasion de l’inauguration des nouveaux magasins. La recette est de 587742. 30 francs. En fin d’après midi, une cohue envahit le magasin embrasé par le soleil couchant.
Troisièmement : février 1 869, chapitre XIV, grande vente de lanc et inauguration recette est de plus d’ mil Swip ta next page été nécessaire pourf e cis envahi le magasin. enfin achevé. La n piquet d’ordre a dès le matin, a Le sujet du roman est d’abord la guerre sans merci entre le petit et le grand commerce. La vie de ce magasin de nouveautés, l’attirance fascinante qu’il exerce sur les femmes, furent des prétextes pour montrer l’expansion des grandes entreprises, la ruine où elles entraînent les petits commerçants et la prodigieuse fièvre de luxe et de frivolité qu’elles sont capables de déchaîner. Bou Swipe to Wew next page Bourras, Robineau, Gaujean) mais aussi un déclin inéluctable. « Au bonheur des dames » est une colossale entreprise qui, peu a peu, dévore tout le pâté de maisons et tue les petites boutiques du quartier De nouvelles techniques de vente apparurent, faisant appel à la publicité (la réclame), à la baisse des prix (baisse à la production, pratique des prix d’appel, vente avec un profit réduit, rotation du capital), à la concurrence, à la vente de produits nouveaux. à la haute finance. , ce prodigieux travail d’aménagement, de transformation et dagrandissement qui fut exécuté sous la direction du baron
Haussmann La bourgeoisie est représentée en particulier par Octave Mouret qui, après la mort de sa femme, hérita du magasin, ce qui fit de lui un homme riche. Octave Mouret est un homme possédant la joie de vivre, intelligent et élégant, un garçon pratique et actif qui va, en quelques années, faire du modeste commerce de sa femme, Mme Hédouin, «un grand magasin» moderne. Séduire et affoler les femmes n’est qu’une stratégie de vente Elle lui suggère un certain nombre de mesures visant à améliorer les conditions de travail des employés et aussi… leur efficacité.