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CM-9 L’ART DE L’HISTOIRE Ghirlandaio, Mantegna La norme définie par Alberti devient un modèle et s’étend pour les commandes de chapelles ou d’Eglises. On voit apparaître des compositions structurées avec des représentations de figures qui permettent de comprendre ‘ »Histoire. La perspective assure le passage au modèle Albertien. A travers le Depictura, le spectateur est amené à comprendre l’histoire en analysant l’œuvre. Une des caractéristiq or7 récit : animation pon ell animation générale d éci Utilisation du cadre q de la Storia, c’est un st l’animation du qui donne une ns la représentation
Storia. Ensemble décoratif de la partie basse de la chapelle Sixtine Cet ensemble décoratif est l’expression de ce nouvel art de peindre. Produit entre 1481-1482. Fonction théologique. (Chapelle privée du pape) mais aussi fonction de mise en scène de cette peinture humaniste du XVa siècle. Ambition de magnifiée cet art pictural. Voulue par le papa Sixte IV – théologien franciscain. Il imagine le programme symbolique, relativement classique, de la chapelle. Correspondance entre rancien et le nouveau testament qui permet d’affronter la loi écrite, mosaïque et la loi évangélique) Sur a gauche : épisodes de la vie de Moïse et sur la droite : épisodes de la vie du Christ. la vierge. ). Idée d’une généalogie dont hérite le pape. Généalogie des ancêtres du Christ et généalogie des papes. Regroupe la plupart des peintres florentin : pérugin, Botticelli, Cosimo Rosselli, Ghirlandaio… La conception figurative choisie, de la théorie Albertienne, assure une unification du cycle malgré la diversité des styles.
Il y a une unité stylistique : usage commun : unité décorative. (Cette norme, (unique) va être contestée vers 1509 à partir de Michel Ange. : Changement d’échelle. Ily a un système d’encadrement, avec des pilastres, qui assure une unité visuelle et narrative. Titulus : titres, qui accompagne la visibilité des tableaux, qui vont éclairés sur la portée symbolique des œuvres. Les artistes ont optés pour une mise en scène de la représentation, que prônait Alberti.
Par exemple, la dernière Cène de Rosselli : adaptation concrète de la théorie Albertienne : en plus de la Cène elle – même : redoublement du cadrage. Dans le lieu du repas du christ représentation du jardin du christ, arrestation et crucifixion : Développement narratif. Cosimo Rosselli use des arguments Albertien en plaçant au premier plant, des figures extérieures d’un point de vue historique, au récit : anachronismes entre les vêtements de ces figures et ceux du Christ, et aussi au niveau de l’espace.
Ils ont un geste expressif qui permet d’accueillir le regard du spectateur dans la Cène et donne une mise en garde sur la discrétion et le respect que Hon doit avoir devant cette dernière Cène conception d’une c PAG » rif 7 sur la discrétion et le respect que l’on doit avoir devant cette dernière Cène : conception d’une composition artificielle qui a permettre la vivacité du récit, de s’intéresser à la Storia. Les flgures étaient au préalable, de dos = intérêt porté à la Storia : amener à se tourner vers la Storia = c’est ce que permet l’animation des figures.
Donne accès à une bonne compréhension du récit. Quel que soit le peintre, il y a le respect de ces normes narratives. Dans le baptême peint par le Pérugin par exemple : différents épisodes historiques représentés. A gauche ; St jean Baptiste annonce la venue du Christ et à droite : la prédication (zaction de répandre la parole divine) du Christ. La varietas : variété, permet d’offrir à la composition de la Storia, une grâce supplémentaire. Le pérugin, redispose ses figures en passant par cette norme qu’est la variété. dimension symbolique nouvelle qui développe ce que l’iconographie nous dit.
Idéalisation des portraits. Visages, expressions très marquées. Représentation de spectateurs à la Storia. Comme vu précédemment avec Rosselli. (Ecart temporel comme si les figures ne participaient pas à ce qui se déroule mais qui ont accès à la représentation. ) Figures d’admoniteur à gauche, qui parlent entre elles et qui ésigne le sujet central. Figure de dos (de cadre) qui accueille le spectateur et une autre qui indique du doigt, la lecture du spectateur. Cet accompagnement par ces figures secondaires nous dévoile la dimension llttéraire de fœuvre.
Ces figures com PAGF3C,F7 par ces figures secondaires nous dévoile la dimension littéraire de l’œuvre. Ces figures commentent ce qu’elles voient. La fresque de Botticelli, à laquelle Filippino Lippl (fils de Filippo) à participer. Arrières scènes : les trois tentations du Christ. A gauche : changement des pierres en pain, au centre : offre la ville u christ et lui propose de sauter dans le vide, à droite : Représentation d’un épisode postérieur à gauche : révélation aux anges de l’incarnation du fils de dieu et au centre premier plan : sacrifice de purification pour guérir un lépreux.
Composition complexe, qui mêle épisodes historiques et liturgiques. Mouvement général du récit assuré de différentes manières mais principalement par les figures secondaires qui accompagne le lecteur de la Storia. par exemple ici, figure qui semble danser, tissu volant, mouvant, à côté, un enfant embêté par un serpent qui porte des grappes de raisons qui semblent exercer une horégraphie = mouvement.
Portraits fortement individualisés, par exemple ‘homme avec le grand vêtement rouge (figure de cadre) que l’on retrouve aussi chez le Pérugin, dans la remise des clés à St pierre, figures qui ont des instruments permettant d’identifier leur identité mals qui n’ont aucun rapport historique avec la scène principale. Dans le tableau de Botticelli, cet homme en rouge semble ne pas être représenté totalement dans l’œuvre, car son pied déborde sur le cadre : artifice, fiction. De même pour le Baptême de Pérugin. Figures d’intersession qui communique e