Croyez vous qu’une bonne histoire est celle qui propo
Une bonne histoire, c’est un vocabulaire exploité, de l’imagination, et une intrigue accrochant. Malgré tout, certains pensent que la qualité du récit est en fonction de la fin. Si une bonne histoire est celle dont la fin est calculé, il est tout aussi possible qu’une bonne histoire puisse se terminer par une chute inattendue, voire même que la fin ne soit pas l’élément dessins pour déterminer une histoire « bonne » ou pas. En tout premier lieu, ce sont les histoires dont la fin n’est pas inattendue, quelles on s’intéressera. Plus recensement aux histoires dont la fin est connue.
Les récits autobiographiques tels que Les Confessions de rousseur ou Mémoires d’outre-tombe de Chateaubriand sont des très bons exemples. Le lecteur en connaît l’issu puisque ces eue au 11 boy nouées I chopper 06, 2009 | 6 pages ouvrages ont été pu spire toi vie nées page publié après la mort des auteurs. Le but de ces livres n’étaient donc pas de terminer en beauté, mais de faire une description de leurs époques, de leurs sociétés sans être pour autant objectif. On peut donc connaître la fin, sans que le désir de savoir comment cela va se réaliser soit affaibli.
Puis, il ha les histoires dont la fin est logique. Ces le cas pour es contes ou les fabliaux, car la fin se termine toujours par une morale, où en quelques sortes, les « méchants » sont toujours punis. Ces le cas dans « Du prud’homme qui sauva son compère ». Ce fabliau met en scène une injustice, dont la solution est trouvé par « un fou » qui mit d’accord tout le monde. Il a aussi le cas du théâtre tragique. Rien qua l’énonciation du mot « tragique » on sait que l’histoire se terminera mal. Comme par exemple dans anatomique de Racine, où presque tous es personnages périront ou seront malheureux.
Enfin, il ha es histoires dont la fin est préméditée. C’est en effet le cas pour Le Rêve de sala. Dès le début les ressemblances entre les légendes que lit l’héroïne, et sa vie, se confondent. C’est comme cela qu’on sait qu’Angélique tombera amoureuse d’un prince, que celui-ci l’épousera, et qu’elle mourra heureuse, comme une martyr. On peut se demander alors pourquoi le lecteur continue de lire s’il sait la fin. En fait, il y a deux solutions. Soit il veut voir les péripéties continue de lire s’il sait la fin. En fait, il y a deux solutions.
Soit il veut voir les péripéties qui mèneront à la fin, soit il espère que la fin soit inattendue. Quoiqu’ en soit, une fin invraisemblable fera perdre de la valeur à l’ensemble de l’ouvre, car le lecteur restera sur sa mauvaise fin. On a bien vu que les auteurs ont souvent choisi la fin attendue. On va maintenant voir l’intérêt de ceux qui ont choisi une fin imprévu. On explique ce choix pour, dans un premier temps, garder l’attention du lecteur jusqu’ la dernière ligne. Ainsi le suspens est gardé, le mystère est complet.
Cette optique est ?audacieuse notamment pour les romans policiers home Le Mystère de la chambre jaune de gestion loueur. Lorsque le reporter rouillaient annonce qui est le vrai coupable, le lecteur tombe des nues. AI était presque impossible de le deviner et il fallait donc lire jusqu’ la fin. Dans un deuxième temps, c’est pour provoquer un effet de surprise. C’est à dire que le lecteur s’attendait à tout autre chose. Le meilleur exemple pour illustrer ceci est « happa mêla » d’an gavials. Un homme emmené une fille qu’il aime au mica adonna, et jusqu’ l’avant dernière ligne e lecteur pense que c’est sa compagne.
La dernière haras apprend au acteur que ce n’est pas sa femme mais sa fille, de sept ans. AI y avait quelques indices, l’auteur a donc finement manipuler le lace fille, de sept ans. AI y avait quelques indices, l’auteur a donc finement manipuler le lecteur. L’effet de surprise est réussi. « L ‘Enfant » de victoire auge se termine aussi en une belle chute. Le narrateur propose un monde merveilleux à un enfant, mais celui-ci voudrait de la poudre et des balles. Le lecteur est donc choqué, c’est une mauvaise surprise. Dans un troisième temps, une fin imprévue provoque plusieurs émotions aux lecteurs.
Cela peut provoquer de la peine, voire de la frustration comme dans Ondine de Chateaubriand, car la fin est triste et insoupçonné : La jeune Ondine va oublier son amour et celui ci va mourir. Mais Ondine avait imaginé que cela puisse arriver alors elle fait tout pour ne pas oublier. Il y a aussi Le Rouge et le Noir de shetland, où la fin se termine par l’exécution du personnage principal. Là encore, le lecteur sera touché car il « connaissait » le personnage depuis le début. Plus la fin est choquante, plus le lecteur s’en souviendra. Car l’histoire aura suscité de réels émotions.
Une fin annoncée, une fin surprenante, ne dépend que de la préférence de l’auteur. Mais une histoire ce n’est pas seulement une fin. Une bonne histoire est donc un ensemble de chose. En premier, c’est la manière dont est raconté l’histoire qui va influencer sur la qualité du récit.. Pour expliquer ceci, l’ouvre de bords vain, l’écume des jours, convient par la qualité du récit.. Pour expliquer ceci, l’ouvre de bords vain, l’écume des jours, convient parfaitement. bords vain montre un jeu d’écriture époustouflant. Il utilise de nombreuses inventions lexicales tel que les contrepèteries, ôta-valise, anglicismes, néologismes.
Il emploie de nombreux mots rares, ou à double sens. Il fait parler ses personnages de différentes manières, du soutenu au vulgaire, avec des sous-entendu, ou encore avec des marques d’réalités. Deuxièmement, c’est la qualité de l’intrigue, des personnages, du décor qui va jouer. Car effectivement, si le personnage est touchant, le décor effrayant, le lecteur sera d’autant plus concerné. C’est le cas pour le petit garçon nommé Gavroche dans Les Misérables de victoire auge. L’enfant, après avoir évité des coup de feu, se prend trois allés, et il y succombe.
Le fait qu’on puisse tirer sur un enfant révolte le lecteur, cela lui fait éprouver un sentiment. Le secret d’une bonne histoire est de susciter des sentiments chez le lecteur. Troisièmement, la qualité d’une histoire, dépend du publique visé. En effet, les histoires se terminant mal et faisant référence à champ lexical de l’horreur, ne conviendront pas à des enfants, voire même à des adultes. Pour exemple il y a Le Chat Noir, de épée ; c’est une histoire retraçant un homme fou qui assassinera un chat et sa femme. En réalité, c’est une histoire de goût.