Contexte historique: l’histoire des chevaliers
A partir du femme siècle, l’église ne rejette plus la guerre et intégré celle-ci dans un système de valeurs (la guerre juste et injuste de Saint augustes : 350 à 430) afin de pouvoir servir ses intérêts. L’église sacraliser donc la notion de guerre et de guerrier et donne une mission spirituelle au soldat qui était jusqu’ présent considéré comme une simple brute. Le Christianisme vint donner une direction plus utile à cette ardeur guerrière.
C’est vers l’an Mil que le terme latin « miles » qui signifie guerrier se répand et désigne le chevalier. A cette époque la chevalerie est une fraternité qui a pour but de maintenir ‘ordre et la justice au sein d’un royaume. Elle est sous les ordres d’un seigneur et fait ses premières armes contre les paysans libres en imposants Contexte historique: l’histoire des chevaliers premier boy Lille I harpe 11, 2009 3 pages swaps toi vie nixe page imposant le système féodal et le respect par la force.
Les chevaliers entretiennent des rapports plutôt complexes avec la noblesse. En effet, ils ne sont pas tous nobles mais tout les nobles se prétendent chevaliers (se sentant touchés par l’idéal chevaleresque et par leurs valeurs, ‘aristocratie s’identifie peu à peu à la chevalerie). De plus, la cavalerie lourde (qui apparaît grâce à l’arrivée de l’étrier en européen) se développe et devient l’arme a plus convoitée.
Il s’agit alors de posséder une bonne monture (ce qui est peu coûteux) et d’être un combattant talentueux pour aspirer devenir le serviteur armé d’un seigneur. La plupart des chevaliers vivaient en groupe dans des « maisons fortes ». La chevalerie a donc permit à de nombreux hommes de gravir les échelons sociaux bien que celle-ci soit de plus en lus composée d’hommes issus d’anciennes familles nobles.
Mais, par la suite, l’équipement du guerrier devient de plus en plus important et donc plus coûteux, rendant peu à peu la fonction de chevalier inaccessible aux plus modestes. Cela privilégie les riches et leur permet d’offrir un métier honorable aux fils issus de familles nobles qui n’étant pas les aînés, n’avaient aucun héritage (à cette époque le système de succession offre tout au premier n et rien aux suivants).