Conjoncture économique du canada
ANALYSE DE LA CONJONCTURE ÉCONOMIQUE INTRODUCTION La conjoncture économique canadienne est assez complexe, elle comporte plusieurs données et est influencée par un grand nombre de facteurs. Dans la première partie de cette analyse, la théorie d’une relation entre le PIB, l’inflation et la sltuation de l’emploi sont abordées et analysées aux travers de graphiques, dévolutions et de liens. par la suite, la deuxième partie traite des composantes formant le produit intérieur brut. Celles-ci sont évoquées avec les facteurs ayant une influence et les relations qu’elles ont entre elles.
La troisième partie, quant à elle relate les politiques monétaire et budgétaire mises en place par les to nextÇEge gouvernement et la PREMIÈRE PARTIE 1 . Tableaux et graphi es _ chômage, d’inflation Tableau 1 or 11 ées du taux de Évolution du PIB, du taux d’int ation et du taux de chômage au canada % de du PIB réel % de de l’IPC % de chômage 2008 2009 2010 d’inflation et du taux de chômage au canada 2. Définition des indicateurs Premièrement, le PIB, soit le produit intérieur brut, est utilisé ? titre d’indicateur économique.
Il sert à mesurer la production de biens et de services produits sur un territoire national. Le PIB représente donc l’activité et le taux de croissance de l’économie d’un pays, par année donnée. Deuxièmement, l’inflation, c’est-à-dire l’IPC ou l’indice des prix à la consommation, est un indicateur visant à permettre la comparaison entre le prix d’achats de certains biens et services au travers du temps. Plus concrètement, il permet de mesurer le cout de la vie. Troisiemement, le taux de chômage est le rapport entre le nombre d’individus au chômage et le nombre d’individus faisant partit de la population active. . Évolution du PIB L’évolution du produit intérieur brut débute, sur le graphique, n 2008 ou le pourcentage de ce dernier (en fonction de l’année précédente) se situe à 1. 18%, ce qui est relativement haut lorsqu’on le compare avec l’année suivante, en 2009, ou il descend à Q. 71%. Par la suite, le pourcentage monte jusqu’? 3. 37% en 2010 et crée une hausse remarquable comme ont peut robserver sur la figure 1, le pourcentage diminuera par la suite à 2. 53% en 2011 et continuera sa chute en 2012 et 2013 avec 1. 71% et 1. 13%.
Ont peut observer sur le graphique plus haut que la courbe de l’évolution du PIB de 2008 à 2013 est plutôt sinueuse, cette dernière monte et redescend de manière ignificative comparativement au autres pourcentages tels que l’IPC et le taux de chômage. PAG » 1 tels que l’IPC et le taux de chômage. 4. Évolution de l’inflation La courbe de l’IPC, comme nous pouvons voir sur le graphique de la figure 1, commence à 2. 42% en 2008 avant de chuter jusqu’? un pourcentage de en 2009. par la suite, celle-ci remonte ? 1. 84% en 2010 et continue d’augmenter pour arriver à 2. 2% en 2011. Elle diminue en 2012 et se rend à 1. 50% et atteint 0,82 en 2013. Comme les données l’indiques, l’inflation est elle aussi une courbe qui varie beaucoup d’années en années puisqu’elle touche es pourcentages tels que 2. 42% en 2008 et atteint 0. 26% à son plus bas en 2009, ce qui crée une variation de 2. 68 % dans les données. 5. Évolution du chômage Le taux de chômage est une variable plutôt stable dans le graphique de la figure 1, ses données se situent entre 6. 10% en 2008 et 8. 30% à leurs plus haut, en 2009. évolution du chômage constitue une augmentation en 2009 suivie d’une diminution de 8. 30% à 7. 20% en 2012. Par la suite, la courbe augmente jusqu’? un taux de 7. 30% en 2013. 6. Liens entre les différents indicateurs Plusieurs liens peuvent s’établir entre les indicateurs. Premièrement, entre le PIB et l’inflation. Il est possible de constater que lorsque le PIB augmente, l’IPC fait de même. pour expliquer le phénomène, il faut comprendre que lorsqu’un pays augmente sa production de biens (PIB), le prix demandé pour ceux-ci est aussi augmenté.
Donc, plus le cout de production d’un pays augmente, plus le prix de l’article en question va être élevé. PAGF30F11 possible d’établir une relation entre produit intérieur brut et le taux de chômage. Comme il est illustré sur le graphique de la figure 1, lorsque le PIB augmente, le taux de chômage diminue. Cette diminution s’explique grace au fait que lorsque la production (PIB) augmente, les industries ont besoin de plus d’employés, ce qui diminue alors le taux de chômage. pour terminer, il est aussi possible d’observer un lien entre le taux de chômage et l’IPC.
Lorsque le taux de chômage diminue, l’inflation augmente. Tel que l’on peut l’observer sur la courbe de la figure 1 en 2011. Une explication serait que lorsque les couts augmente, la production augmente aussi, ce qui diminue alors le taux de chômage. Cette dernière relation établie alors un lien entre les trois varlables. DEUXIÈME PARTIE . Définition des composantes principales du PIB Dépenses de consommation finale des ménages (C) : correspond à la somme totale que les ménages ont dépensés en biens et seraices. Dépenses gouvernementales (G) : dépenses assurées par les cotisations sociales et les impôts.
Elles sont administrées par l’état et servent à l’acquisition de biens et services et aux investissements publics. Formation brute de capital fixe des entreprises (lb) : regroupe les dépenses faisant partlt de trols catégorie, les bâtiments résidentiels, les ouvrages non résidentiels et les machines et matériel. Exportations de biens et services X : désigne le montant totalisant l’ensemble des s et sewices à l’extérieur PAGFd0F11 Importations de biens et services (M) : désigne le montant totalisant l’ensemble des biens et services achetés à rextérieur du pays. 8.
Tableaux et graphiques concernant l’évolution des composantes de la demande agrégée au Canada de janvier 2007 à aout 2013 Graphique 2 Source : Statistique Canada, CANSIM (base de données), Tableau 380-0064 – Produit intérieur brut, en termes de dépenses, trimestriel (dollars sauf indication contraire), consulté le 5 novembre 2013. ttp://wvm5. statcan. gc. ca/cansim/a26? Iang=fra 1 = 1 & p2–1&tabMode=dataTable&csid- Tableau 2 Source : Statistique Canada, CANSIM (base de données), ableau trimestriel (dollars sauf indlcation contralre), consulté le 5 novembre 2013. ttp://www5. statcan. gc. ca/cansim/a26? lang=fra p2=-1 &tabMode 9. Facteurs influant les co 11 PIB confiance des entreprises et le taux d’intérêt. La variation de ce concept est très similaire à celle des exportations et des importations expliquées ci-dessous. pour les dépenses des administrations publiques, les décisions sont le facteur le plus influent. Ont peut observer sur le graphique que les dépenses gouvernementales sont plutôt stables pour la période étudiée.
Les facteurs qui influent les exportations de biens et de services sont la situations économique des partenaires commerciaux et le taux de change, tandis que pour les importations de biens et services, les facteurs qui influent le plus son notre situation économque, encore une fois, le taux de change. Lorsqu’on observe le graphique ci-dessus, il ont constate que la courbe évoque une évolution croissante au niveau de toutes les composante du PIB, jusqu’à 2009 où l’ont peut observer une aisse remarquable du nombre d’importation, d’exportation et de formation brute de capital fixe des entreprises.
Cette diminution est caractérisée par la récession de 2008-2009. « Au Canada, ? l’opposé, la récession a été moins profonde et plus courte que dans les autres pays du G7. Entre le troisième trimestre de 2008 et le deuxième trimestre de 2009, le PIB réel au Canada a chuté de 3,6 Ce taux est plus faible que le taux global de 3,8 % aux États-Unis en 2008-2009, et bien plus faible que les baisses qu’ont connues l’Europe et le Japon.
La baisse du PIB canadien que l’on a u observer pendant ces trois trimestres a également été moins longue que les baisses de quatre à six trimestres qu’ont connues les autres pays du G7. » (Cross, 2010 , web). Sourc 6 1 quatre a six trimestres qu’ont connues les autres pays du GI. » (cross, 2010 , web). Source : Statistique Canada, Graphique 3. 1, Variation du PIB réel de sommet à creux en 2008, date de modification : 2010-04-27 htm 10. Relations entre les composantes du PIB et les facteurs.
Les relations présente entre les composantes (C, G, IB , X, M ) et les facteurs (taux d’intérêts, taux de change, situation ?conomque , etc. ) crée soit une augmentation ou une diminution de la demande agrégée. Les facteurs causant une augmentation de la demande agrégée du coté des consommateurs sont la hausse des revenus disponible, la baisse des impôts et des taxe, la baisse des taux d’intérêt, Vanticipation d’une augmentation du revenu et la reprise de l’inflation. Ces facteurs s’expliquent facilement lorsqu’on comprend que les consommateurs augmentent leurs dépenses en fonction de ces concepts.
Pour ce qui est des entreprises, les prlncpaux influents sont la hausse des profits anticipés, la baisse es taux d’intérêt et la baisse des impôts sur les profits des entreprises. pour les administrations publiques, les facteurs apportant une augmentation sont les biens et seNices courants et l’investissement publics. Concernant les exportations, la baisse du taux de change et l’augmentation du revenu réel des partenaires commerciaux sont les principaux facteurs causant la hausse de la demande agrégée.
Dans un tout autre sens, les facteurs causant une diminution de la demande agrégée chez les consommateurs sont la baisse du revenu disponible, la hausse des impôts et des PAGF70F11 grégée chez les consommateurs sont la baisse du revenu disponible, la hausse des impôts et des taxes, la hausse des taux d’intérêt, l’anticipation d’une diminution du revenu et la présence d’une pér10de de déflation. Ces concepts s’expliques aussi facilement lorsqu’on apporte un point de vue contraire à la situation précédente où les ménages disposait de plus d’argent.
Lorsqu’un individus se voit retirer une partie de son revenu ou hausser le prix qu’il doit payer en taux d’intérêt, en impôts ou en taxes, il est fort probable que le montant total de ses achats va diminuer. Du coté des entreprises, les facteurs sont la baisse des profits anticipés, la hausse des taux d’intérêt et la hausse des impôts sur les profits des entreprises. L’influence des ses facteurs est similaire à celle identifiée plus haut. Autant chez un consommateur que chez une entreprise, moins ils font d’argent ; moins ils en dépensent.
La diminution de la demande agrégée est causée, pour ce qui concerne les administrations publiques, par les biens et services courants et les investissements publics. Les facteurs influençant la composante de l’exportation sont la hausse du taux de change et la diminution du revenu réel des artenaires commerciaux. Cette dernière influence s’explique par le faix que lorsque le taux de change est à la hausse, il n’est pas avantageux pour nous de faire affaire avec d’autre pays. D’autre part, lorsqu’un pays est en période économiquement difficile et que son revenu réel diminue, les importations et les achats de celui-ci sont réduites.
TROISIÈME PARTIE 11. Politique monétaire Premièrement, la politique monét B1 réduites. 11. polltique monétaire Premièrement, la politique monétaire est l’ensemble de mesure qui vise à préserver la valeur de la monnaie en maintenant ‘inflation à un niveau bas et stable, et ce, en influant sur les taux d’intérêts – lesquels influent à leur tour sur la dépense agrégée et donc sur la demande agrégée. (Bade, Parkin, Bienvenu, 2013, 197 p. ) Celle-ci est élaborée et mise en œuvre par la Banque du Canada.
Différemment, la Banque du Canada fixe un taux cible d’inflation, qu’elle atteint grâce au taux directeur. Tableau Taux cible du financement à un jour pour la période du 2007-11-29 au 2013-11-29 Source : Banque du Canada, Outil de consultation des taux directeurs, taux directeurs pour la période du 007-11-29 — 2013-11-29, date de modification : (S. D. ) http://vww. banqueducanada. ca/tauwtaux-dinteret/outil-de -consultation-des-taux-directeurs/ (Consulté le 20 novembre 2013). Tel qu’il est illustré sur le tableau si dessus, le taux cible de financement à un jour, > (Bade, Parkin, Bienvenu, 2013, 200 p. ? beaucoup diminué depuis 2008. Cette diminution peut être attribuée à la période de récession économique et aux moyens utilisés par le gouvernement et la Banque du Canada pour replacer le pays en bonne position économique. Supposons que la Banque du Canada voudrait stimuler réconomie canadienne, lle n’aurait simplement qu’à dlmlnuer le taux directeur, ce qui amènerait une baisse du taux d’intérêt, du nombre d’investissement étrangers au Canada, une baisse du nombre d’échanges, une diminution du cout des importations canadiennes et une baisse de l’im ortation.
En canadiennes et une baisse de l’importation. En bref, pour stimuler l’économie la Banque du Canada diminue le taux directeur et par le fait même le cout des exportations canadienne et une baisse d’importation, Ce qui stimule l’économie local. Même chose pour la situation inverse, la Banque du Canada peut prendre des esures anti-inflationnistes en haussant son taux directeur. 12. Politique budgétaire La politique budgétaire est une politique économique avec laquelle un pays utilise le budget de l’état pour influer sur l’emploi, la production et le niveau général des prix.
Plusieurs techniques peuvent influencer les modifications du budget de l’état. pour stimuler la crossance économique aux travers de C, 13, et X-M, l’expansionniste peut être utilisé. Pour la ralentir, l’Anti-lnflationniste peut intervenir avec les mêmes variables que la méthode précédente. Source : Statistique Canada, CANSIM (base de données), Tableau380-0084 – Produit intérieur brut aux prix constants de 2007, en termes de dépenses, annuel consulté : 2013-11-29). 13. erspectives économiques annoncées dans les publications Un article sur le site web des caisses populaires Desjardins traite du récent » shutdown » du gouvernement américain d’un coté économique. L’article indique que malgré les apparences, l’économie américaine ne devrait pas chuter plus bas que son taux actuel. L’économie américaine est très proche et lié à celle du Canada, nos voisins ont beaucoup d’influence sur les variations subvenant sur les taux et les changements dans notre économie. c