Conflits territoriaux en mer de Chine et stratégie du collier de perles chinois
alliés des Etats-Unis, avec entre autre le japon et son domaine maritlme revendiqué, en vert clair l’inde et son domaine maritime revendiqué, puis en vert clair hachuré la possibilité d’extension de la souveraineté indienne sur le plateau continental. -À l’échelle régionale, on observe deux tracés linéaires épais, un vert et un bleu qui représentent les « obstacles géopolitiques » à la Chine. Soit la présence de la marine japonaise en vert, puis en bleu la souveraineté japonaise ainsi que la présence militaire américaine. Toujours à l’échelle régionale, nous observons
Conflits territoriaux en mer de Chine et stratégie du collier de perles chinois Premium By jujujuf I II, 2014 9 pages Conflits territoriaux en mer de Chine et stratégie du collier de perles chinois. Description du document Nous trouvons ici une carte statique qui couvre la région de l’espace maritime d’Asie. C’est une carte sino-centrée, englobant une partie du Moyen-Orient avec l’Afghanistan et le Pakistan, l’Asie de l’Est et l’Asie du Sud-Est. On considérant la Chine comme point central d’analyse, on comprend que cette carte va nous amener à une obseNation des tensions et conflits territoriaux ntre les différents pays.
Swp to page org La légende met en é -Nous avons en pre nationale, avec au ce revendiqué en coule enc rs lie rés naux à l’échelle aine maritime u pastel, les pays observons des figurés linéaires en bleu clair représentant les voix traditionnelles ou alternatives de l’approvisionnement en énergie. En traitillé violet les projets alternatifs de corridors énergétiques des chinois et en violet les projets alternatifs d’oléoducs et de gazoducs terrestres déjà mis en place par les chinois. Nous trouvons également en rouge hachuré (couleur de conflit) es zones maritimes contestées et en gris hachuré la zone commune d’exploitation des ressources. Nous observons maintenant des figurés ponctuels iconiques, qui montrent les exploitations offshore de pétrole et de gaz, les zones de conflits et de tensions majeurs, les principales bases ou facllités militaires américaines ainsi que sa marine de guerre, les flottes militaires chinoises, et pour terminer en orange munit de cercles là ou les bases ou facilités militaires chinoises existent ou sont en projet, nous trouvons le collier de perles chinois.
Les couleurs utilisées sur cette carte ne sont pas anodines, et ous donne des renseignements majeurs quant au point de vu de l’auteur de la carte par rapport aux conflits présents. En utilisant plutôt des couleurs chaudes et agressives pour les chinois, contre des couleurs douces et apaisantes pour les alliés des Etats-Unis, on peut en déduire que l’auteur de la carte veut mettre les chinois du côté des « ennemis On note la couleur verte pour l’Inde, ce les chinois du côté des « ennemis On note la couleur verte pou l’Inde, ce qui montre le fait qu’elle soit « entre deux », ni avec les USA, ni avec la Chine.
On comprend maintenant que la carte est sino-centrée, et va se encher sur la problématique de prise de contrôle et sécurisation des routes maritimes des chinois, des domaines maritimes revendiqués et des conflits que ceci créer. Localisation des informations -On constate que l’Afghanistan, le Pakistan, la Thallande, les Philippines, Taiwan, la Coré du Sud, Palau, les Etats fédérés de Micronésie, la Mariannes du Nord et le Japon, sont alliés aux Etats Unis et encerclent la Chine.
Les USA placent également leur VIIe flotte américaine en Pacifique de l’Ouest, ainsi que la Ve flotte dans l’océan Indien, le golfe arabo-persique et la mer rouge. On observe au niveau de Flnde le fameux « collier de perles mis en place par les chinais. La première base part de Gwadar au Pakistan, pour ensuite relier les Maldives, le au Sri Lanka, le Bangladesh, la Birmanie et finalement le Cambodge. Une volonté d’encerclement et d’isolement de sa rivale l’Inde peut être perçu, et on voit nettement que ce « collier » suit les voies d’approvisionnement en énergie en provenance du Golfe Persique vers la Chine.
On remarque également la création de corridors énergétiques terrestres (Birmanie, Thaïlande, Malaisie) d’oléoducs ainsi que de azoducs terrest énergétiques terrestres (Birmanie, Thaïlande, Malaisie) d’oléoducs ainsi que de gazoducs terrestres reliant le Moyen-Orient et l’Afrique à la Chine. Ces projets ont pout but d’éviter de procéder à l’importatlon des ressources énergétiques par les voies maritimes peu sécuritaires. Ils évitent effectivement l’emprunt des détroits propice a la piraterie, tels que Malacca, Sonde ou Lombok. Un autre aspect intéressant qui ressort sur cette carte est les zones maritimes contestées. On note une grande zone en mer de Chine méridionale. Les iles Paracels et Spratleys sont evendiquées par les six pays riverains ; la Chine, Taiwan, la Malaisie, les philippines, Brunei et le Vietnam. On constate comme par hasard que des gisements offshores de pétrole et de gaz se trouvent à proximité. Plus au Nord, on note une autre zone de conflit entre la Chine et le Japon lié aux îles Senkaku. Là aussi, on note une zone d’exploitation offshore de pétrole et de gaz.
La coré du Nord revendique elle aussi une zone maritime, en invoquant son droit à une zone économique exclusive (ZEE). Au nord de la carte, une relativement grande zone maritime au niveau des iles Kouriles est contestée. Elle met en désaccord le Japon et la Russie. Analyse de la carte -On voit que les Etats-Unis ont relativement bien réussi leur tentative d’encerclement de la Chine. En effet, ils se sont alliés avec les pays cité plus haut dans le b avec les pays cité plus haut dans le but d’avoir un contrôle optimal de la zone, d’être présent et d’établir une sorte de sécurité.
D’une autre part, vu la puissance et l’importance que la Chine prend, ces pays ont tout à gagner à s’allier avec les Etats- unis, étant donné que les USA représente une sécurité militaire conséquente. Cest plutôt une « nécessité » qu’une volonté « d’amicalité » qui créer ces alliances. De plus les Etats-Unis ont peur que la Chine prenne trop de puissance. Une présence ? proximité est donc nécessaire, notamment grâce aux pays alliés et à leur présence militaire conséquente. Mais cet « étau » autour de la Chine, n’est pas sans conséquence, car il engendre une dépendance des chinois, ce qui les pousse ? trouver une stratégie pour « contrer » les Etats-Unis. C ‘est à ce moment que le collier de perles chinois entre en jeu. En effet, il ressort très nettement sur cette carte. Avant tout, il est important de comprendre à quel point les chinois sont dépendants du pétrole. En effet, la Chine est le premier importateur de pétrole au monde, et c’est ce qui lui a permis sa formidable croissance économique.
Une si grande dépendance fait peur, car au moindre problème au niveau des routes maritimes (et donc de l’importation du pétrole) toute l’économie du pays en subira les consequences. En observant la carte du pétrole) toute réconomie du pays en subira les conséquences. En observant la carte, on remarque que les tankers sont presque obligés de passer par le détroit de Malacca, détroit ui, rappelons-le, est sujet à énormément de piraterie. De plus, il est principalement sécurisé par l’Inde, les Etats-Unis et le japon.
Bien qu’il soit peu probable que l’une de ces puissances tentent de bloquer le détroit, il est cohérent pour la Chine de se méfier, étant donné leurs relations plutôt épineuses. La voie traditionnelle d’approvisionnement passe ensuite par la mer méridionale, qui couvre une zone contestée par 6 pays riverains, et qui est donc synonyme d’énormément d’instabilités et de conflits. La Chine se doit par conséquent de trouver un moyen alternatif à ces routes maritimes.
En créant le collier de perles, la Chine veut donc sécuriser les routes maritimes et pouvoir être capable d’intervenir elle-même à n’importe quel moment en cas de problème. Elle en profite pour tenter d’étendre son contrôle en mer de chine méridional, ainsi qu’au niveau des îles Senkaku vu que c’est une zone d’un côté géostratégique (elle relie Pocéan Indien et l’océan Pacifique), et de l’autre, à haut risque pour la sécurité de son approvisionnement.
Elle crée alors des bases ou facilités militaires le long des voix maritimes, afin d’établir un plus grand contrôle et une plus grande sécurlté. Mais la Chine ne s’arrête pas la da d’établir un plus grand contrôle et une plus grande sécurité. Mais la Chine ne s’arrête pas la dans sa tentative de « contournement On note un nombre important de projets alternatifs d’oléoducs et de gazoducs terrestre, qui permettrait d’éviter les zones sujettes aux conflits et tensions, notamment avec la création de corridors énergétiques en Thaïlande, Malaisie et Birmanie.
Ces corridors et pipelines donnent plus d’indépendance aux chinois quant à l’approvisionnement des ressources en énergie, vu qu’ils ne sont plus obligés de compter ur les autres pays pour acheminer en sécurité leurs ressources énergétiques. En diversifiant au maximum les lieux d’origines des pipelines, elle assure un approvisionnement constant de son Par ailleurs, ceci n’est pas vu d’un très bon œil de la part des indiens. En effet, en observant la carte, on remarque une volonté des chinois d’encercler et d’isoler l’Inde grâce à leur collier de perles.
Depuis la guerre sino-indienne en 1962, les deux puissances asiatiques ont développé une rivalité et concurrence conséquente, et les deux pays subissent une forte croissance économique, ce qui, logiquement, les oppose et les met en onflit. En excluant l’Inde, la Chine bénéficie de plus de pouvoir, augmente ses possibilités d’extension et accélère le pas vers le titre tant désiré de puissance numéro un mondiale. -Venons en maintenant aux conflits liés aux zon désiré de puissance numéro un mondiale. Venons en maintenant aux conflits liés aux zones maritimes contestées. En ce qui concerne la zone en mer de Chine méridionale, plusieurs aspects peuvent en être la cause ; la présence de pétrole et de gaz naturel, le fait que la zone occupe des domaines de pêches conséquents et sa position géostratégique. En effet, la zone maritime permet de relier l’océan pacifique de l’océan Indien, zone de transit importante des pétroliers, et donc intéressante à posséder, car elle permet de contrôler l’approvisionnement du nord-est asiatique.
Que ce soit une petite partie des iles Spratleys et Paracels, ou l’ensemble l’archipel, les 6 pays pays riverains contestent l’appartenance de ces îlots inhabités. La question des frontières est particulière, car l’application des zones économiques exclusives (ZEE) de 200 miles marins peut être établit de différentes manières. Chaque pays a on avis sur la matière, et il est difficile de trouver un consensus. La mise en place de zones communes d’exploitation pourrait être une solution à envisager. Plus au nord, au niveau des îles Senkaku, le même problème apparait. Les motivatlons qui poussent la Chine et le Japon ? contester cet archipel sont identiques à celle en mer de chine méridionale. Ces conflits pousse le Japon à augmenter sa présence militaire. On le voit bien sur la carte avec la longue ligne verte qui part des côte augmenter sa présence militaire. On le voit bien sur la carte avec la longue ligne verte qui part des côtes Japonaises pour ensuite raverser la zone de conflit en mer de Chine méridionale.
Mals la Chine, comparée aux autres pays, est (fautant plus motivé, car comme nous l’avons vu plus haut, la possession de ces archipels lui permettrait d’établir un contrôle et une sécurité beaucoup plus accru au niveau des voies maritimes, et cela lui permettrait également d’amplifier son territoire et d’être encore plus présent et important en Asie. D’autres zones de conflits apparaissent, mais ils sont secondaires par rapport à la problématique majeure que veut mettre en avant la carte.
La Corée du Nord espère pouvoir allonger son ZEE, car es gisements de pétrole son présent à cet endroit et concernant les Iles Kouriles, c’est la Japon et la Russie qui s’oppose, avec également le pétrole comme cause principale. Conclusion Pour conclure, on peut affirmer que les conflits que la carte tente de mettre en avant résultent d’un évènement majeur; la crise énergétique. En effet, nous disposons de moins en moins de réserves d’hydrocarbures, et on sait que la Chine est complètement dépendante au pétro e. On peut donc clairement faire un lien entre pétroles, revendications territoriales et présences militaires.