Compo D Histoire La Premi Re Guerre Mondiale Une Geurre Totale

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Composition diHistoire «La première Guerre mondiale, une Guerre totale» or 13 En août 1914, l’Europ nti déclare la guerre à la l’archiduc autrichien triche-Hongrie ssassinat de ajevo et l’Allemagne déclare la guerre à la Russie, tandis que la France ordonne la mobilisation générale. Le conflit se généralisera rapidement avec l’enchaînement des alliances : d’un côté l’Entente composé de la France, le Royaume-Uni, la Russie, la Serbie, le Japon et de l’autre l’Alliance composé de l’Allemagne, l’Autriche-Hongrie et l’Empire ottoman.

La guerre est donc mondiale et se déroule sur plusieurs ronts : à l’Est de l’Europe, à l’Ouest, dans les Balkans, dans le désert d’Arabie, en Italie, en mer du Nord et dans l’Atlantique, sans compter les escarmouches dans les empires coloniaux. Cette guerre que l’on avait imaginé courte et brutale va durée 51 mois, prenant fin le 3 novembre 1918. Elle fera huit millions cinq cents mille morts et près de vingt-et-un millions de blessés, acquérant des caractères inédits.

Cette guerre marque l’entrée de l’humanité dans l’ère de la « guerre totale». En quoi peut on dire mondiale est une guerre totale car elle impose une mobilisation énérale. Le 2 août 1914, un ordre de mobilisation sous forme d’affiche a été affiché sur les murs des mairies et des bureaux de postes. Chaque réserviste savait en consultant son livret individuel de mobilisation, le lieu et le jour auxquels il devait répondre à l’appel.

Des soldats originaires des colonies ont également joué un rôle considérable sur les fronts européens et dans les Balkans, en particulier pour l’armée française qui a recruté près de 158 000 hommes en Afrique du Nord et 134 000 en Afrique noire (sur 8 700 000 hommes qui ont combattu n métropole). En France par exemple, les tirailleurs sénégalais sont employés au front alors que les Annamites d’Indochine sont utilisés pour construire ponts et routes. Du côté anglais, plus d’I million de soldats des colonies sont engagés, dont 600 000 Canadiens et 400 000 Australiens.

Ainsi, en France, 8 millions d’hommes en âge de combattre sont mobilisés de 1914 à 1918 et la majorité connaissent l’expérience du front. De plus, la vie politique se mobilise devant cette guerre car tous les français de toutes les tendances politiques ou religieuses se soudent devant ette guerre, on parle d’union sacrée malgré la double fracture de l’affaire Dreyfus et de la fracture de l’Église et de l’État. B) Des combats d’une violence extrême dans des conditions abominables La Première Guerre mondiale voit apparaître pour la première fois des combats d’une violence extrême.

Elle est marquée d’août à octobre 1914 par une courte guerre de mouvement. Très vite, le conflit se transforma en guerre de position d’octobre 1914 ? mars 1 13 mouvement. Très vite, le conflit se transforma en guerre de position d’octobre 1914 à mars 1918. Il a fallu se faire face t creuser des tranchées pour conserver le terrain conquis. La guerre de tranchées reflète la violence de masse. Dans les tranchées, le soldat côtoie en permanence la mort, celle de ses compagnons d’armes. Les soldats de première ligne sont les plus exposés, aux bombardements ennemis, mais surtout quand ils partent à l’assaut de la tranchée adverse.

L’artillerie détruit le paysage créant un environnement assourdissant et angoissant, et cause 75 % des pertes. Ce sont déroulés pendant cette période des épisodes considérés comme des «boucheries». Cest le cas e la bataille de Verdun, de l’Argonne, de la Somme, d’ Ypres, des Chemin des Dames. En effet, de février à décembre 1916, la bataille de Verdun fait plus de 300 000 morts et ne change en rien la position du front. Au printemps 1917, l’offensive Nivelle au Chemin des Dames est un échec sanglant avec 30 000 morts français en dix jours.

En mars 1918, on assiste à la reprise d’une guerre de mouvement jusqu’au 1 1 novembre 1918. À cette date, la guerre prend fin, au terme de l’armistice signé à Rethondes qui marque la victoire de l’Entente aux dépens de l’Allemagne. Au ours de cette guerre toutes les armées essaient de perfectionner leurs armes pour prendre l’avantage sur l’autre, et les armes sont de plus en plus nombreuses et meurtrière. Si on fait une moyenne pendant les quatre ans de guerre, il y a près de 900 hommes qui meurent chaque jour du côté français, et 1300 du côté allemand !

Durant la guerre de position, entre 1915 et 1918, les soldats allemands dispo allemand ! Durant la guerre de position, entre 1915 et 1918, les soldats allemands disposaient d’un engin meurtrier, la mitrailleuse Maxim (300 coups à la minute), mais aussi du lance- lamme, voire de gaz provoquant l’asphyxie. Et bien sûr de l’artillerie lourde d’une portée de 8 à 12 Km. Les Britanniques, alliés de la France, de l’empire Russe et des Etats-Unis, furent les premiers à utiliser le tank pendant la bataille de Flers dans la Somme le 15 septembre 1916..

Mais pendant toute cette guerre, l’arme la plus redoutable et crainte par les soldats fut l’obus, qui peut anéantir toute une tranchée et donc causer de glissements de terrain qui engloutissent les soldats. Beaucoup de soldats sont morts à cause de l’explosion d’un obus. Ainsi, les soldats, avant chaque assaut avaient peur. Mais ce n’est pas la seule forme de violence : les soldats avaient souvent une haine sanglante envers l’ennemi et lorsqu’ils croisaient par exemple un espion ennemi, ces derniers les tuaient sans aucune pitié.

L’arme la plus importante dans ces combats au corps à corps était la baïonnette, le couteau que l’on mettait au bout du fusil, mais aussi des matraques de tranchées. En plus de ces combats, les soldats vivaient dans les tranchés dans des conditions d’hygiène insoutenables, au mileu des cadavres, des poux, des rats qui empestent les tranchées entrainant des maladies infectieuses raves et parfois mortelles pour les soldats comme la dysenterie, le scorbut , ou encore la Gingivite.

Les conditions climatiques influent sur le moral des soldats au quotidien mais aussi sur l’hygiène puisque lors de fortes pluies, la boue se révèle être un vecteur de maladie 3 mais aussi sur l’hygiène puisque lors de fortes pluies, la boue se révèle être un vecteur de maladie qui aggrave le manque d’hygiène existant. Mais également, et surtout, le froid qui gelait les combattants et empêchait le déplacement des soldats repliés dans les tranchées essayant de survivre par ce temps.

Les ombats sont donc plus difficiles à mener contre l’ennemi. par conséquent, les conditions d’hygiène et les conditions climatiques sont les causes principales de la vie quotidienne très difficile des soldats dans les tranchées. Au total, la Première Guerre mondiale fera plus de 8 millions de morts et 6 millions de blessés. C)L’épuisement physique et mental des combattants Dans un environnement où la mort est omniprésente, des soldats se demandent pourquoi ils sont toujours en vie.

Ils ont alors cherché des refuges, des consolations ou des évasions comme la religion ou encore l’alcool. En effet, l’alcool permettait de réchauffer les corps engourdis par le froid mais aussi de pour calmer les peurs et donner du courage au moment de s’élancer hors des tranchées. Par exemple, l’armée belge pensait que l’alcool avait des effets excitants, stimulants et réconfortants. Les soldats recevaient chaque jours environ centilitre d’eau de vie par jours. Certains soldats se réfugient dans la folie.

Pendant la première Guerre mondiale et pour la première fois au cours d’un conflit, des soldats sont diagnostiqués fous lorsqu’ils présentent des symptômes tels que la stupeur, des maux de têtes, des roubles de la mémoire et du comportement. Ils ont souvent un discours incohérents, le sommeil perturbé et l’organisme affaibli. Cependant, après q PAGF s 3 souvent un discours incohérents, le sommeil perturbé et l’organisme affaibli. Cependant, après quelques jours passés ? l’hôpital, beaucoup de ces troubles mentaux s’atténuent.

Cest pourquoi de nombreux médecins pensent que leurs patients simulent la folie pour échapper au combats mais c’est aussi parce que les soldats n’était pas préparés à se que cette guerre soit aussi longue et violente. Mais la folie n’était pas reconnu par leurs supérieurs. On met tous de même en place pour essayer de leurs améliorer la vie des rotations dans les tranchés , on utilise le sport, les soldats rédigent des lettres et des journaux pour contrer le « bourrage de crâne Apparait également des groupes sociaux pour s’habituer à l’idée de la mort.

Mais rentrés chez eux, la guerre continue d’ hanter les soldats. Des millions d’hommes partagent le sentiment d’avoir vécu une expérience unique et terrible, que seuls ceux de la « génération du feu » peuvent comprendre. Certains sont traumatisés dans leur chair, ils sont 1 million d’invalides et IO 000 gueules cassées. D’autres sont traumatisé dans leur psychisme, ils développent des maladies comme l’obusite du à l’excès de peur et de stresse dus aux bombardements incessants.

D’autres encore ne parviennent pas à retourner à une vie civile et intègrent des groupes paramilltaires, comme les Casques d’Acier en Allemagne. Dans les années qui suivent le conflit, les populations ont tendance ? oublier les atrocités du conflit et des récits exaltent l’héroisme des combattants. En réaction, des hommes qui ont vécu le conflit publient des œuvres dans lesquelles ils montrent l’horreur et l’absurdité de la guerre. C’est dan 6 3