Commentaire Litt Raire Nana D Emile Zola
COMMENTAIRE LITTERAIRE : NANA DE ZOLA L’extrait que nous allons étudier provient du roman Nana d’Emile Zola, publié en 1880. Cest un écrivain et journaliste français né à Paris le 2 avril 1840, il appartient au mouvement littéraire du naturalisme. Nana fait partie de la série des Rougon-Maquart, histoire sociale de cinq générations d’une famille sous le second empire. Dans Nana, il décrit la société des femmes entretenues et de leurs protecteurs. Cette héroïne est une ancienne vendeuse e fleurs.
L’écrivain nous raconte l’histoire de Nana, jeune femme née dans la misère du mande ouvrier qui va connaître une ascension social ors premier temps au th re l’auteur nous présen Nana entre les deux; éléga et la corruption. son corps dans un ant. Dans cet extrait iculier. Il fait le lien ussi le mauvais goût Nana est montrée, au début, comme une femme riche. En effet pour exprimer la richesse de Nana, Zola utilise des adjectifs mélioratifs comme « chic » à la ligne 1.
Cest aussi avec des yperboles que l’auteur montre sa richesse, à la ligne 22 il dit que l’hôtel particulier de Nana a « un air de palais ». Emile Zola nous donne l’adresse de Nana ; elle habite « avenue Swipe to page de Villiers » (ligne 18). Cette avenue est située comme le dit l’auteur, à la ligne 19, dans uns un « quartier de luxe ». Cette expression nous montre encore la richesse de Nana. En parallèle, toute l’élégance et l’opulence de Nana est gâchée par ses origines qui transparaissent à chaque fois.
En effet, l’auteur condamne ‘hôtel dans lequel habite son héroïne, il présente ce lieu d’habitation avec une accumulation aux lignes 25 et 26 : « un mande de bibelots, de fortes belles tentures d’Orient, de vieilles crédences, de grands fauteuils Louis XIII ». Cette description présente un décor riche mais peu harmonieux. Zola nous montre aussi qu’elle est désordonnée grâce à des thermes péjoratifs « tohu-bohu des époques » (ligne 28 Nana connait une forte et rapide ascension sociale.
Zola nous montre une héroïne puissante d’une part grâce à une yperbole qui nous le dit aux lignes 16 et 17 : « en maîtresse toute puissante » ; d’autre part il nous montre sa rapidité à devenir puissante avec un adverbe qui l’exprime, Zola le dit à la ligne 5 « elle régna tout de suite » . L’utilisation du passé simple renforce cette notion de rapidité. Elle est aussi montrée comme une femme majestueuse ; c’est avec une comparaison méliorative : « avec l’émotion d’un peuple saluant sa souveraine » (lignes 7 et 8). Mals même dans cette ascension le passé de Nana revient. En e