Commentaire – Leibniz
Point suffisants pour us – p g sens ne donnent ja vérités particulières Commentaire – Leibniz By Kelly-Nova 21, 2015 pages Leibniz entend à travers ce texte, dénoncer l’empirisme des sciences. Dans son optique, les sciences, pour être universelles doivent dépendre non pas des sens primaires, du ressenti immédiat d’expériences sensibles, mais de la raison et de la capacité à réfléchir. Afin d’étudier ce texte, nous pouvons le décomposer en trois parties.
Dans un premier temps le philosophe énonce la thèse principale, qui serait que les sens n’ouvrent pas les portes des vérités universelles ; Ensuite il émontre que les sens servent d’appui et ne sont simplement que des exemples. Enfin, il conclut sur les vérités nécessaires en Wen next sclence. Notre texte s’ouvre s nécessaires pour tou ns, quoique ctuelles, ne sont puisque les ‘est-à-dire des démontre que les sens sont utiles mais ne sont pas l’unique source de nos connaissances. Les sens, quoique nécessaires pour toutes nos connaissances actuelles, ne sont point suffisants pour nous les donner toutes » Les vérités nécessaires, qui renvoient à des faits ont besoin de s’appuyer sur les sens et ce qu’il en ressort, car ceux-ci rendent la vérité singulière. Les sens renvoient donc des faits, et donc à des vérités fragiles, avec des fondements différents selon les moments, ou n’en n’ayant même aucuns.
Ainsi, pour le philosophe , ces vérités précaires et simples ont besoin de sens, mais tout ce que ron sait n’est pas uniquement composé de sens, nos connaissances doivent s’appuyer sur autre chose que cela. Cauteur l’exprime par ceci : « puisque les sens ne donnent jamais que des exemples, c’est-à-dire des vérités particulières ou individuelles », celles-ci sont subjectives, on ne peut en déduire quelque chose, car ce ne sont que des exemples. Les exemples sont ainsi des vérités particulières ou individuels, ils ne sont donc pas universels.
Aussi nombreux qu’ils soient ils ne sont pas infaillibles. Par la suite, Cauteur confirme que les sens ne fournissent que des exemples, et que même un nombre infini d’exemples ne peut suffire à établir une vérité universelle « Tous les exemples qui fournissent une vérité générale, de quelques nombres qu’ils soient, ne suffisent pas pour établir la nécessité universelle de cette même vérité, car il ne suit point ce qui est arrivé et arrivera de même Enfin, Leibniz tire une con 2 érité, car il ne suit point ce qui est arrivé et arrivera de même ».
Enfin, Leibniz tire une conclusion sur les vérités nécessaires en sciences. Ainsi dans les sciences, il ny a usage que de la raison, on utilise des abstractions que de la réalité. Les exemples venant du sujet sensible et étant donc subjectifs, ils sont des opinions permettant de persuader et non pas des preuves. Les vérités nécessaires comme les sciences pures doivent reposer sur des preuves, des éléments objectifs que l’on peut démontrer avec la raison. « Les sens quoique nécessaires pour toutes connaissances ctuelles quoique sans les sens on ne serait jamais avisé d’y penser. Cette phrase montre tout bonnement que les sens sont nécessaires, non à la construction, mais à la recherche des vérités nécessaires. Il n’en demeure pas moins que les vérités nécessaires répondant aux préoccupations que provoquent les expériences Instantanées, sont donc observables par les sens. C’est ainsi que Leibniz démontre que pour être universelles, les sciences font appel à la raison. Le philosophe élucide donc le rapport qu’entretiennent les sens et les sciences car ces derniers ne sont pas totalement fiables.