commentaire composé acte 1 scène 3
– L’entrée en scène de l’héroïne éponime (sur tous les plans) A. Les facettes de Phèdre. Cette entrèe en scène révèle 5 facettes de Phèdre, ainsi que de nombreux sentiments Une Phèdre « mourrante » : « ma force m’abandonne » (v2) – « mes genous tremablants » (v4) qui expriment la douleur et la souffrance. Le pathétique est exprimé à travers cette première réplique, elle demande qu’on la plaigne et ceci se voit notamment par l’abondance de négations : (« N’allons point » – Une Phèdre « souffrante » (v6 à 9) : qui se distingue par le aractère arrogant de l’héroine (z une reine souffrante avec un côté capricieux).
Oenone lui fait remarquer qu’elle ne peut s’en prendre qu’à elle (c’e lui change ses vêtem tous ces noeuds » (VB) sur les autres. Le 10è me nuit, et conspire Swipe page ervantes pour qu’on main, en formant er le désagrément t : « Tout m’afflige et e tout d’abord mais aussi par l’abondance du ‘i’ tragique (le « i » tragique de la tragédie racinienne = un « i » stridant, le « i » de la douleur). Sa « descendance » : descendante du Soleil. Phèdre est montrée comme une demi-déesse. Le sentiment dégagé est lorgeuil de l’héroÎne. La Phèdre « amoureuse » : (vers 25 à 27) : un amour dél Swige to next page délirant, possédé y est peint.
Cest surtout le bonheur de l’amour qui est dégagé. C’est la manière dont Racine peind la passion amoureuse (comme une folie). La Phèdre « honteuse » : Phèdre est amoureuse et honteuse et montre qu’elle ne contrôle rien par l’accusation des Dieux : c’est un moyen de se déculpabiliser : les dieux m’en ont ravi l’usage » (v30) Transition : Une entrée en scène monumentale car elle présente les cinq facettes de Phèdre que nous retrouverons par la suite dans la pièce (pire encore, Phèdre ira jusqu’à l’autopunition : elle se suicidera).
La jalousie que nous retrouvons plus loin dans la pièce n’est pas exprimée ici mais est sous-entendue dans l’amour fou et passionné qui est incontrôlable. B. Le Language tragique. Se note par La noblesse du registre : « Demeurons chère Oenone » (v1) Les nombreuses périphrases (v1 8) : « Noble et brillant auteur ‘une triste famille » La musicalité du texte avec le rythme tantôt binaire et ternaire avec une symétrie de la construction dans le rythme binaire.
Allitérations nombreuses : « m » (v2) ‘V’ (v17) + une anaphore du « vous’ . Les assonances en « i » notamment (v9). Une déconstruction volontaire de la synthaxe : des phrases interrogatives, exclamatives, nominales > une incohérence de la synthaxe. Des images juxtaposées qui n’ont aucun lien (on assiste à un dialogue de sourd à certains moments entre Phèdre et sa confid 2