Commentaire
Louis Ferdinand Céline est un médecin reconvertie à récriture. Auteur controversé, il appartient au mouvement de l’absurdité du XX ème siècle et à participé à la première guerre mondiale. L’extrait de Voyage au bout de la nuit publié en 1932 relate le désespoir du parcours de Ferdinand Bardamu durant sa vie. Nous pouvons donc soulevez la problématique suivante : en quoi le narrateur à une vision pessimiste de lui même.
Dans un premier temps quels sont les allusions que fait le narrateur par rapport aux différences entre son ami Robinson et lui ? Dans un deuxième emps en quoi le personnage est représenté comme anti-héros ? Et dans un troisième temps qu’est ce qui caractérise le bilan qu’il Swipe laview nextp g fait de sa vie ? Le narrateur se com seul. Il utilise de la lig 3 à. oin que Robinson da garde dans sa mémo st désespérément même pas été aussi tte comparaison, il son, mais aussi il réalise que sa vie à coter de celle de son ami est pitoyable. Tout l’extrait est centré sur la comparaison entre Robinson et lui puisqu’il fait 4 fois la récurrence du mot « moi » qui s Suipe to View next page se compare au brève acquis de Robinson à les siens qui ne sont ue misérable et signifie que lui n’as jamais eu le courage, la bravoure et la chance de la capacité qu’avait son ami.
La ligne 5 et la ligne 12 à 13 montre que Ferdinand se compare encore à Robinson car il y a la présence de l’outil de comparaison « comme il se considère comme un incapable qui n’as jamais pu avoir « d’idée bien solide comme celle qu’il avait eue pour se faire dérouiller » ainsi, le narrateur exprime clairement que lui aussi aurait aimé avoir des idées aussi brave car lui à des idées « [qui] vadrouille plutôt dans [sal tête avec plein d’espace entre » igne 11, il compare ici les idées de Robinson qui était brillante ? les siennes, qui sont dans sa tête et qui le reste car elle ne sont pas en état de sortir des espaces.
Mais aussi il utilise l’ironie en disant qu’il avait eue une excellente idée de se faire « dérouillé » en utilisant le langage famillié. Nous pouvons ressentir qu’il envie Robinson car il avait beau avoir fait des progrès, il ne saurait jamais parvenu au niveau qu’avait son ami puisqu’il se dénigre en exprimant à la première personne qu’il n’a jamais été capable de faire le passé exemplaire de son ami.
Le narrateur ne fait que de constater son échec, 2 capable de faire le passé exemplaire de son ami. Le narrateur ne fait que de constater son échec, c’est pour cela qu’il s’attribue comme étant un anti-héros. Le personnage est perdu, il est en constante hésitation et n’est pas sur de lui car ligne 1 « [il] avait beau essayer de [sel perdre pour ne plus [se] retrouver », ligne 2 il reviens sur lui même et il n’est plus à recommencer sa misérable vie qu’il a enduré.
En utilisant les phrases exclamative et les points de suspensions, il insiste sur l’expression de ses sentiments violents éprouvé tel ue la jalousie et la colère, il renforce son découragement, sa lassitude et sa honte puisqu’il s’apitoie sur son sort en utilisant que son trimbalage était fini ligne 2, mais aussi que c’était raté, il n’aura jamais d’idée plus forte que tout le monde ligne 8.
Le narrateur manque de confiance en lui car il tente de fuir du passé et du futur mais il « la retrouvais partout Cest ainsi que le narrateur fait un bilan de sa vie. e parcours de sa vie est désespérante car Il fait un bilan puisqu’il dit toujours « j’avais » ou « j’étais », il utilise l’imparfait pour insister sur ses actions passé. 3