Commentaire

essay A

Commentaire de français Guillaume Apollinaire est un poète du début du XXème siècle disparut en 1918. Il incarne l’esprit nouveau et chante dans son premier recueil « alcool » datant de 1913, les transformations du monde moderne. un an âpres, la guerre éclate, Apollinaire est engagé volontaire dans l’artillerie. Il devient alors poète soldat, sa situation lui inspire donc le recueil Calligrammes publié en 1918. « Si je mourais la bas » est un poème tiré du recueil Poème à Lou écrit en 1915 lorsqu’il a 35 ans.

Il évoque l’hypothèse de a mort de cet artiste au champ de bataille qu’il partage à sa bienaimée, Louise de mais aussi l’amour q Cet extrait comporte q . en alexandrins, celui calligramme de trois a chaque début de phrases. posant se texte mme. eul, tous formés e. Il y a aussi un re du prénom « Lou » L’explication comportera deux parties, tout d’abord nous analyserons le poète soldat face à sa propre mort puis nous verrons sa peur de l’oubli. Voyons à présent le poète soldat face à sa propre mort qui pourrait être imaginé.

Dès le premier vers, le poète fait une ypothèse en utilisant la conjonction de subordination « si » sur le fait qu’il pourrait mourir sur le champ de bataille, on le voit p Swige to vie' » next page par le vers « Si je mourais sur le front de l’armée ». Ici cette hypothese est envisageable mais improbable alors que dans la derniere strophe la ou il cite la meme hypothese « Lou, si je meurs la-bas, souvenir qu’on oublie », celle-ci est devenue probable grâce au passage de l’imparfait au présent de l’indicatif et Pimpératif, l’hypothèse n’est donc plus irréelle mais réelle.

Apollinaire fait la repetition du verbe « mourrir » qu’il ecrit trois ois dans son poeme, avec « si je mourais Ia-bas », « comme meurt un obus » puis « Lou, si je meurt la bas » on peu alors constaté que le poéte envisage deja sa mort et qu’il en a peur. il nous traduis aussi la fatalité de la guerre en employant les termes « meurt », « sang », « fatal giclement de mon sang ». La citation « Je rougirais ta bouche et tes cheveux sanglants » prouve que le poète ne cesse de penser à son éventuelle mort de façon macabre et obsessionnelle.

On peut donc constaté qu’Apollinaire exprime son angoisse de la mort de façon omniprésente dans son poéme. Dans ce poème, on découvre aussi un décor consacré la premiere guerre mondiale qui a commencé 1 an avant que l’auteur ecrive cette lettre à sa bien aimé dans l’attente de partir au front. Il évoque les armes comme lorsqu’il cite « un obus eclatant sur le front de l’armée ». Il compare poétiquement les obus par des mimosas symbolisant la vie et le bonheur « un bel obus semblable aux mimosas en fleur. . Apollinaire mentionne « le fatal giglement de mon sang » se qu 2 OF s obus semblable aux mimosas en fleur. « . Apollinaire mentionne « le fatal giglement de mon sang » se qui denonce sans plus l’horreur e la guerre avec les blessures que peuvent avoir les soldats au combat. Il prouve aussi la triste réalité de la guerre avec la répétition des mots « le front de l’armée » dans son poéme. le poete montre qu’il a une vision poetique de la mort ce qui est un symbole de renouveau.

Il pretend que s’il meurt au front, ses pensées s’arreterons pour recommencer dans un monde nouveau, il emploi la citation « et puis mon souvenir déteindrais ». Il emploi aussi beaucoup de terme sur la nature qu’il associe a la vie et à la mort comme lorsqu’il fait l’enumeration « la mer, les onts, les vals et l’etoile », quand il indique dans le vers « les soleils merveilleux murissant dans l’espace » ou encore quand il fait une comparaison dans la citation « Comme font les fruits d’or autour de Baratier ». n peut constaté que malgrés Ihorreur de la guerre il pense tout de meme a sa bien aimée en lui rendant un dernier hommage lorsqu’il lui composent sont calligramme maintenant que nous avons analysé le poete soldat face à sa propre mort, etudions maintenant sa peur de l’oubli L’auteur adresse son poeme à sa bien aimée louise de coligny chatillon, dont la rencontre et trés recente mais dont il st tombé trés vite amoureux alors que le retour de cette amour n’est pas vraiment reciproque.

Le poete nomme sa bien aimée par son prenom « l 3 OF s de cette amour n’est pas vraiment reciproque. Le poete nomme sa bien aimée par son prenom « loul’ mais aussi par des termes comme « ma bien aimée », « mon unique amour » ou bien « ma grande folie » on les retrouve dans les citations « tu pleurerais un jour, o Lou, ma bien aimée »,  » o mon unique amour et ma grande folie ». Ces appelations montre ainsi la nostalgie du poete soldat. r lorsqu’il cite « mon unique amour » on ne peut pas pretendre ue c’est bel et bien son seul amour puisque Apollinaire n’a pas eu comme pretandante que Lou mais aussi annye playden. il utilise des termes valorisants qui font reloge du corps de sa maitresse comme « la plus jolie »  » tu ne vieilliras point » et fait une anaphore avec le verbe « je rougirais » lorsqu’il parle de certaines partie de son corps comme ses cheveux, sa bouche ou encore sa poitrine.

L’amour compromis entre apollinaire et madame louise de coligny chatillon est un amour compromis par la guerre, en effet apollinaire doit partir au front en tant que soldat, leur amour doit onc etre mis de coté, l’absence de l’autre créé donc le manque. le poete fait le reproche a Lou de l’oublier et de n’y penser qu’un jour il dit « Tu pleurerais un jour ô Lou ma bien-aimée » cela prouve que d’un côté il y a une plainte et de l’autre une déclaration d’amour.

On retrouve le « ô qui exprime de l’admiration envers Lou, meme si celle si n’est pas vraiment reciproque. On peut apercevoir que malgrés que le jeune soldat soit partit au 4 OF S n’est pas vraiment reciproque. front, lou reste malgré tout presente et aimante meme lors des plus grandes tristesses et angoisses meme cachée, comme c’est e cas dans le calligramme qu’il ecrlt a la fin de son poème  » La nuit descent, On y pressent, Un long, un long destion de sang ».

En composant ces trois vers d’une profonde tristesse et d’une fatalité resigné, il rend un dernier hommage a sa bien-aimée. apollianire evoque ses souvenirs heureux comme remede a la fatalité de la guerre, il indique que son souvenir de la guerre se situe dans le temps et dans l’espace avec la citation « et puis ce souvenir eclaté dans l’espace ». le poete créer ici un oxymore « souvenir oublié » qui signifie qu’Apollinaire veut que Lou se ouvienne de lui-même si elle l’oublie.