Commantaire ie de marriane
La jeune fille apparait comme une figure e la résistance aux tentations. Centre d’intérêts+an naissance obscure et conduite à porter sur , – que sur sa route se roman dresse t’il un t qu’elle tire d’une Imagine noble la ique alors même déchoie. Ainsi le 18 éme siècle aux mœurs relâchées aux apparences hypocrites des plus critique. l) une orpheline fière Marianne se présente en tant que type d’orpheline mais un type d’orpheline spéciale (variation d’un type). L’isolement de la jeune fille est apparente, elle est pauvre et le corollaire (logiquement) est qu’elle doit travailler.
Le philanthrope (M. de Climal) résume n quelque sorte la situation dès le début (« … comme vous n’avez nulle fortune dans ce monde, il faut voir à quoi vous vous destinez : la demoiselle qui est morte n’avait-elle rien résolu pour Swige to vie' » next page vous ? »L’orpheIine est triste (présence du champ lexical de la tristesse) paragraphe 3. Ce type de la jeune fille abandonnée à elle-même. Le topos de l’orpheline de Marianne en larme, abandonnée. La personne qui raccompagne est un religieux.
La religion est présenté de manière directe à travers le religieux et dieux dès le début du paragraphe 1« … rosterné devant les dieux » Topos=scène récurrentes, motif Marivaux récupère le topos de l’orpheline mais il lui donne d’autres caractéristiques. Le dispositif de la scène fait partie du topos(bonne âme mais d’apparence ressort du coté caché). Cependant elle s’écarte du topos puisqu’elle ne se montre pas du tout soumise, elle se montre chrétienne. Marianne exprime ses gouts et surtout un refus.
Elle apparait rebelle à la proposition qui lui est faite (devenir la servante de la belle-sœur de M. de Climal). ElIe manifeste une fierté de classe assez étrange. Elle est convaincue d’être noble mais elle confirme sa naissance obscure. Marianne revendique sa liberté, ce qui est étonnant au 18 ème siècle, Monsieur de Climal le lui rappelle. Avoir du cœur signifie avoir du courage au 18 ème siècle. On a un effet d’insistance, de dramatisation (avec le superlatif : « le plus » —paragraphe 3) de sa fierté.
Marivaux prête à son héroïne une forme de lucidité sur le monde extérieure, très loin de ce qu’on dénoterait à une orpheline, perdu, naive… Le sentiment de honte que connait Marivaux est connu comme Immédiate, elle nalyse ses sentiments(« Je voudrais bien pouvoir vous dire tout ce qui se passait dans mon esp 2 elle analyse ses sentiments(« Je voudrais bien pouvoir vous dire tout ce qui se passait dans mon esprit, et comment je sortis de cette conversation que je venais d’essuyer, et dont je ne vous ai dit que la moindre partie, car il y eut bien d’autres discours très mortifiants pour moi. )ElIe à une aptitude à juger le monde extérieur (« Les bienfaits des hommes sont accompagnés d’une maladresse si humiliante, pour les personnes qui les reçoivent ! »)C’est une phrase exclamative avec du présent de érités générale, elle montre une lucidité qui est contraire au type d’orpheline. On a l’impression que c’est une sentence. Dès le début du texte on a l’impression qu’elle manifeste une sorte de mépris : «Je sortis de cette (cette : démonstratif) conversation ».
Elle met une sorte de distance méprisante. Elle revient sur l’entretien avec une vision critique ce qui est justifié avec son niveau physiologique. Cette espèce de mépris est un décryptage de la réalité. Le philanthrope va être passé au crible du jugement de Marianne et on débouche sur une critique assez cerbe (violente/dure) de la charité chrétienne, de la fausse dévotion (avec un masque). Il) Un philanthrope de façade.
On a dans l’ensemble du passage un portrait de Monsieur de Climal peu flatteur. Il insiste sur son absence total de fortune et sur les sentiments de Marianne («… Comme vous n’avez nulle fortune dans ce monde »). ll pointe du doigt ce qui fait mal en l’occurrence son état dépendant du travail. La première chose qu’il lui propose est de devenir domestique (de sa belle-sœur). 3 du travail. La première chose qu’il lui propose est de devenir omestique (de sa belle-sœur). ll l’a pousse à la raison.
En outre ce philanthrope insiste sur le coup supplémentaire qu’est de la mettre en tant que lingère, ce qui signifie qu’elle lui doit reconnaissance et comme sa lui pourra en profiter pour des reconnaissances mais ton de Monsieur de Climal est dévot, il a des bontés c’est-à-dire des bontés sexuels). On note également que Monsieur de Climal est soutenu par le religieux, qui lui est censé représenté l’institution religieuse. Le religieux renforce sur l’obligation émise par Monsieur de Climal « Profitez-en, mademoiselle, dit alors le religieux »).
Ce prétendu philanthrope est présenté comme particulièrement insistant sur ce qui peut humilier Marianne. Cette façade de dévotion, cette piété apparente est dénoncée dans la deuxième partie du texte sans comprendre qu’il y a une dimension sexuelle. On a donc un récit double pour démontrer que la philanthropie de Monsieur de Climal est apparente et non réel (ligne 61-67) —c’est un discours indirect libre sans guillemet ou Marianne nous cite une autre partie du discours de M. de Climal. Le mot « compassion »est n terme chrétien. Cest une manière, de type de discours, de jouer un rôle.
Le discours Indirect libre lui permet de donner une deuxième version, marqué par l’ironie car elle joue à se mettre dans les paroles de Monsieur de Climal. Ily a une critique très vive de la charité chrétienne(« Jamais la charité n’étala ses tristes devoirs avec tant d’appareil ,Tavals 4 charité chrétienne(« Jamais la charité n’étala ses tristes devoirs avec tant d’appareil ;j’avais le cœur noyé dans la honte puisque j’y suis, je vous dirai que c’est quelque chose de bien ruel que d’être abandonné au secours de certains gens »).
La charité est un faux défaut, une apparence de faire du bien aux autres. La charité doit se dissimuler normalement. Cela conduit à une critique qui passe « sur la prétendu plume de Marianne », elle définit la véritable charité. Il dit à Marianne qu’elle doit être raisonnable. Marivaux finit par donner une véritable définition de la charité Est-ce qu’on est charitable à cause de qu’on fait des œuvres de charité ?
Il s’en faut bien ; quand vous venez vous appesantir sur le détail de mes maux, dirais-je à ces gens-là, uand vous venez me confronter avec toute ma misère, et que le cérémonial de vos questions, ou plutôt de l’interrogatoire dont vous m’accablez, marche devant les secours que vous me donnez, voilà ce que vous appelez faire une œuvre de charité ;et moi je dis que c’est une œuvre brutale et haiSsabIe, œuvre de métier et non de sentiments »)et le fait que c’est une leçon est clairement dit : « J’ai finis ;que ceux qui ont besoin de leçons là-dessus profitent de celle que je leur donne ».
La méthode expérimental se développe :Une chose est vrai que si elle peut être expérimentée u si elle a déjà été prouvée. Ill) Une leçon ambigüe Le texte s’organise ici en sorte de théâtre, sorte de spectateur. En effet en redoublement le récit on à des effets de théâtralisation exagères. Monsieur S spectateur. En effet en redoublement le récit on à des effets de théâtralisation exagères. Monsieur de Climal est accusé d’être un acteur. Quand Marivaux dit « Imaginer » on est supposé imaginer la scène, c’est pour la rendre la plus vivante possible.
Ce qui conduit le lecteur à une véritable critique, elle nous rend complice de son analyse. Le lecteur du 18 éme siècle est conduit à décoder certains aspect du texte, que Marianne ne nous décode pas même si nous sommes censés être plus fin d’esprit qu’elle. On a compris que M. de Climal à des intentions sexuels envers elle alors que Marianne elle ne l’a pas compris. Les indices fonctionnent pour avertir les lecteurs pour leur dire ce qu’il va se passer. Marivaux prête a M de Climal le rôle de tenteur de par ses paroles (« Fort bien, reprit-il, j’approuve ses vues ; sont-elles de votre gout ? t ses phrases s’allongent exagérément. À la ligne 40 n peut voir qu’il y a une périphrase qui signifie que l’on veut sexuellement quelqu’un. Marianne est naiVe sur le coté séduction alors qu’elle n’est pas du tout naiVe concernant la société. Marivaux à ici un souci de vraisemblance important, il lui prête une capacité un peu exagérante. Conclusion : Il s’agit d’un début de roman épistolaire qui verse la vie de Marianne dans le genre du roman d’apprentissage. L’habilité de Marivaux consistant à laisser présager les lecteurs des expériences dont le personnage à ce stade ne peut pas encore analyser les enjeux.