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La Boétie utilise des arguments qui sont suivis d’un exemple il fait une critique virulante du pouvoir et on a un porté universelle En effet , on remarque qu’il y a trois arguments et trois exemples qui nous font penser a un raisonnement mathématique , on peut dire qu’il y a un sillogisme dans cet extrait car il y a une figure logique de raisonnement a 3 propositions. En premier lieu on remarque que l’amitié entre un tyran et les méchants existe seulement par crainte, il insiste sur le faite que leur amitié n’est as basée sur les valeurs d’une vraie amitié comme il l’a définit plus tôt dans le texte.
Ensuite pour montrer que le tyran a des amis par intérêt il p et on a aussi un paral ne s’aiment pas mais complices » qui est so insiste sur le faite qu or2 Sni* to entre les voleurs s la phrase » Ils t pas amis mais pas » et « mais » qui érét comme dernier argument il réfute les deux derniers en montrant que le tyran ne peut pas être l’égal de quelqu’un en prennant l’exemple du renard de la Fable d’Esope.
Dans la question rhétorique » N’est il pas déplorable que , algré tant d’exemples éclatants , sachant le danger si présent , personne ne veuille tirer leçon des misères d’autrui et que tant de gens s’approchent encore SI volontiers des tyrans page ? » Il critique les gens qui le courtisent , ensuite il dénonce le mutisme autour du tyran en prennant l’exemple du renard de la Fable d’Esope ou (accent) La Boétie s’identifie clairement au personnage du Renard.
Implicitement il explique que le lion est méchant par essence et donc c’est dans sa nature même de tyran. On remarque que elle cache un vrai engagement de La Boétie , il donne son avis et critique implicitement la fonction du tyran et qu’il y a une impossibilité de s’en approcher. On voit que l’article « le » a une valeur générique et que La Boétie ne désigne pas un type de tyran précis mais il parle de n’importe quel tyran , on voit aussi qu’il y a un présent de vérité générale dans » n’aime jamais « qui appuie sur cette valeur générique.
Dans la phrase » Certainement le tyran n’aime jamais , et n’est jamais aimé » il y a un effet d’insistance avec le mot « jamais » , il y aussi un parallélisme syntaxique avec un tournure avec la voix active et une tournure avec la voix passive et il y a une réciprocité sentimentale. Conclusion En conclusion , il approuve que le tyran n’est pas capable d’avoir une amitié sincere car il ne remplit aucune condition nécessaire ? l’amitié. On peut considérer ce passsage important car La Boétie nous explique la place du tyran dans le peuple . Les i’voeux » de La Boétie vont être exaucés deux ans apres avec l’abollition de la monarchie.