coca cola
Le Supply Chain Management, cas de coca cola l- Introduction The Coca Cola Company Notre mission : offrir Procurent du plaisir The Coca Cola Comp boissons rafraîchissa milliard de fois par jo orn Sni* to View ants qui slon d’offrir des aisir. Plus d’un hoisissent nos boissons pour se rafra chir et se d salt rer et, à chaque fois, ils attendent une qualité optimale. Pour les satisfaire, nous devons leur garantir des prestations parfaites d’un bout à l’autre de la chaîne logistique. n votre qualité de fournisseur du système Coca Cola, vous avez un rôle essentiel à jouer pour garantir ainsi a qualité et l’intégrité de nos boissons. A propos de The Coca Cola Company The coca cola company est le leader mondial de la fabrication, de la commercialisation et de la distribution de boissons non alcoolisées en concentré ou en sirop, utilisées par un réseau entier de partenaires embouteilleurs pour produire plus de 400 marques de boissons. le siège social est implanté à Atlanta, en Géorgie (Etats unis), et déploie des activités dans plus de 200 pays de par le monde.
Elle fournit à ses marchés locaux une très vaste gamme de des préférences dans les activités de travail, de loisir et de on contents de produire des boissons de qualité optimale, nous apportons aussi une précieuse contribution aux communautés du monde entier en participant activement à des programmes de promotion de l’éducation, de la santé, du bien être, de l’environnement et de la diversité. Nous mettons un point d’honneur à faire figurer de bon voisin en nous efforçant dans la moindre de nos décisions, d’améliorer la qualité de vie dans les communautés que nous observons.
Pour conclure, première entreprise mondiale de boissons, la société Coca Cola (cotée à la bourse de New York) propose plus e 500 marques de bolssons pétillantes et non gazeuses. outre Coca Cola, label le plus connu du monde, possède un portefeuille de marques de 14 milliards de dollars, leader mondial des boissons gazeuses, la société dessert plus de 200 pays à travers le plus grand réseau de distribution de boissons au monde, et réalise 1,6 milliards de doses par jour.
Attachée de longue date au développement durable des communautés, elle privilégie les initiatives visant à protéger l’environnement, à présen,’er les ressources et à promouvoir l’essor économique des collectivités où elle exerce ses activités. l- la gestion de la chaîne logistique fournisseur producteur grossiste et revendeurs client coca cola company et ses filiales produisent le concentré de Slrop les embouteilleurs fabriquent le produit fini en canette et en bouteille à partir du mélange du concentré et d’eau filtré. ls commercialisent et vend PAGF OF et en bouteille à partir du mélange du concentré et d’eau filtré. ils commercialisent et vendent et distribuent les produits coca. les restaurants, les grandes surfaces, les Pizzerias, les grandes distributions Consommateur final Schéma de la chaine logistique de coca Processus de planification : Bulwhip effect : A l’heure actuelle, les entreprises du monde entier cherchent ? optimiser leur gestion de la chaine logistlque à l’aide de logiciels sophistiqués. Pour exemple, Coca cola avec son minute ménage et marques Simply Orange.
Pour coca cola, la production du jus d’orange dans une qualité constante nécessite un processus compliqué, coca cola utilise un système informatisé appelé Black Book. Ce système utilise un algorithme pour produire des informations sur la façon de mélanger des lots de fruits orange pour répliquer certains goûts et la consistance. ne autre fonction de black book est également à intégrer les facteurs externes tels que les conditions météorologiques, les rendements attendus et les pressions sur les coûts d’aider les plans de l’entreprise sur les approvisionnements pendant 15 mois a venir.
Prévisions des ventes : Pour gagner en réactivité face à la demande, Coca Cola France a délaissé les fameux tableaux Excel et s’est doté d’une nouvelle structure de prévisions des ventes du logiciel Azap en juillet 2004. Ce logiciel calcule automati uement une projection des ventes sur 14 semaines pour les ards, sur la base d’un a base d’un historique nettoyé d’évènements exceptionnels. Côté innovation, une rencontre avec les comptes clés, le service Marketing et la direction commerciale permet d’estimer les volumes par référence durant la phase de lancement. ? du temps, la prévision fournit par le modèle est juste, car elle est proche des ventes finales « précise une prévisionniste de chez coca cola. En termes de résultats, la fiabilité des prévisions qui mesure par SKU (stock Keeping Unit) l’écart en valeur absolue entre les ventes et les prévisions est passée en moyenne de 68%à 80 % grâce au ogiciel AZAP. Coca cola a gagné un jour de stock, passant de IOjà 9j en moyenne. L’amélioration de la disponibilité des produits en usine a réduit les coûts de transport de plus de 3% et les coûts de distriction ont été devisés sur 3.
L’opération est donc largement bénéficiaire pour le roi de soda. processus de production : cas des embouteilleurs européens Afin de garantir aux consommateurs une qualité des produits irréprochable, coca cola et l’ensemble de ses embouteilleurs mènent une politique de maitrise de la qualité tout au long de la chaîne de production. Ce processus s’illustre à travers des règles rigoureuses de sécurité alimentaire, un renforcement continu des mesures d’hygiène, ainsi qu’un développement de la communication sur la sécurité alimentaire et le partage systématique et fréquent des bonnes pratiques à appliquer.
Le processus de production de coca cola, c’est aussi des exigences qualité très élevées, des contrôles réguliers effectués par des cabine cola, c’est aussi des exigences qualité très élevées, des contrôles réguliers effectués par des cabinets d’audit nationaux et internationaux, ainsi qu’une multitude de certification ‘organismes indépendants afin d’appuyer ce processus. Le processus de production est en grande partie automatisé et se déroule de façon extrêmement rapide. Le produit fini doit répondre aux attentes du consommateur et à des normes très strictes, notamment en matière de sécurité et de santé.
Le respect de ces normes est donc contrôlé en permanence et une correction systématique est apportée si necessaire. Il y a plusieurs étapes qui sont inclues dans le processus de production : Le traitement des matières premières : Les sodas sont un mélange de plusieurs matières premières. Ils se composent systématiquement des ingrédients suivants : eau, sucres et/ou autres édulcorants, éventuellement du gaz carbonique, concentré de fruits ou de plantes, arômes et additifs comme les colorants, agents conservateurs, acidifiants, antioxydants, stabilisants et autres.
Les matières premières destinées à la fabrication des sodas sont stockées dans des conditions particulières. La température et le taux d’humidité relative entrent en ligne de compte. Ce stockage est soumis au principe FIFO : les produits livrés en premier sont utilisés avant les autres. a- L’eau : Les sodas se composent de 90 à d’eau, d’où l’importance accordé à sa qualité. Ils utilisent exclusivement de l’eau de source ou de Peau de distribution, qui subiront chacune un traitement approprie.
L’eau de source PAGF s OF de l’eau de distribution, qui subiront chacune un traitement L’eau de source peut présenter un goût métallique dû à la présence de fer. Il suffit de déferrer l’eau par la méthode de ventilation qui permet d’éliminer toute substance par filtration. Ils filtrent également l’eau de distribution. L’eau de source, comme l’eau de distribution, présente un utre inconvénient : la dureté. Cela signifie qu’elles contiennent beaucoup de calcaire, ce qui altère leur goût et les rend troubles. Ils adoucissent ces eaux à l’aide d’un échangeur d’ions qui fonctionne lui aussi comme un filtre.
Les embouteilleurs désinfectent l’eau pour s’assurer qu’elle ne contienne plus aucun micro-organisme. Ils utilisent à cet effet du chlore ou des rayons ultraviolets. Le chlore sera bien entendu éliminé par la suite. Les aromatisants, parfois présents dans ces eaux (mais pas dans les eaux de sources), sont également éliminés parce qu’ils isquent d’influencer le goût des boissons. Enfin, ces eaux contiennent une certaine quantité d’oxygène et c’est la raison pour laquelle elles sont purgées lors de leur préparation. b- Le sucre : Les sodas sucrés contiennent 8 à 12 % du sucre.
Les embouteilleurs utilisent principalement le saccharose, extrait généralement en Belgique des betteraves sucrières. Il est acheminé par camions citernes. Ils vérifient si la citerne est correctement scellée et contrôlent si le sucre répond aux normes exigées. Le sucre est transféré dan PAGF 6 OF st sensible aux écarts de transféré dans des silos. Il est sensible aux écarts de température. Ils évitent autant que possible toute fluctuations de température pendant le stockage. Le sucre solide est ensuite pompé par transport pneumatique.
A Anvers et à Grand, il est amené directement via aspiration dans une cuve de stockage. Il est ensuite mélangé à l’eau et se transforme ainsi en sirop de glucose. Les produits light ne contiennent pas de sucre mais des édulcorants artificiels. Il s’agit principalement de l’aspartame, de la saccharine, de l’acésulfame Ket du cyclamate. Ils sont livrés en poudre, en sac ou en vrac. c- Le gaz carbonique : Le gaz carbonique ou C02 remplit plusieurs fonctions. Il contribue à étancher la soif, renforce l’arôme et prolonge la durée de conservation. La plupart des sodas contiennent 5 à 8g de C02 par litre.
Le C02 est amené sous forme liquide et est stocké sous pressions à température peu élevée. Avant utilisation, il est gazéifié dans un échangeur thermique. d- Le concentré : La fabrication des sodas aux fruits, aux extraits de fruits ou végétaux requiert des jus de fruits. Ceux-ci proviennent en majeure partie de l’étranger, ce qui explique qu’ils sont épaissis en concentré avant expédition. Cet épaississement, qui consiste à évaporer l’eau, procure un grand avantage : le concentré se conserve mieux que le jus. Le concentré est amené en fûts ou éventuellement par des carmons citernes.
Il est ensuite stocké dans des silos. Tant le transport que le stockage du concentré sont soumis à des procédures de protection et de contrôle rigour 7 OF le stockage du concentré sont soumis à des procédures de protection et de contrôle rigoureuses. Le consommateur s’attend à retrouver toujours le même goût. Or la saveur des fruits peut varier considérablement d’une région t d’une année à rautre. Afin de garantir la constance du goût, il convient donc selon les cas de mélanger des concentrés de divers régions, soit d’ajouter des arômes.
La préparation d’un soda Généralement, le soda est fabriqué en deux étapes : la préparation du sirop de soda, suivie de la préparation du produit a- La préparation du sirop de soda : Le sirop de soda contient au moins 55% de sucre. Pour délayer une telle quantité de sucre, celui-ci doit d’abord être dissous en sirop de sucre. Ce sirop est ensuite filtré pour éliminer toute impureté éventuelle. Lorsque le sirop de sucre est prêt, on passe à la préparation de sirop de soda. Toutes les matières premières destinées au sirop sont dosées et mélangées dans des cuves.
Le concentré de fruits est ensuite pompé vers la cuve à sirop. D’autres additifs sont ensuite ajoutés après avoir été soigneusement dosés. Les substances en poudre sont dissoutes et les arômes liquides dilués avant d’être dosés dans la cuve à sirop. C’est le sirop qui va déterminer le goût du soda. Le rapport sucre acide par exemple est très important. Le sirop subit donc des contrôles stricts avant d’être traité. – La préparation du prod 8 OF mélange de sirop de soda et d’eau auquel du gaza carbonique est éventuellement ajouté.
L’eau devra d’abord être traitée. pour un dosage correct, reau et le sirop sont mélangés au moyen d’une pompe mélangeuse, dans une installation appelée Intermix. Le gaz carbonique est généralement ajouté au produit fini mais, selon certaines spécifications de l’Intermix, parfois seule l’eau sera carbonisée. La carbonisation se produit lorsque la boisson rafraichissante est pulvérisée par un Intermix mais sous pression. Avant le démarrage de la production, on vérifie la qualité du C02.
Le conditionnement de la boisson Le centre de production d’Anvers compte 5 lignes de remplissage pour le Soda ayant chacune sa spécificité en fonction du volume et du matériau d’emballage. Grand possède également 9 lignes de remplissage pour sodas. Les centres de production traitent un grand nombre d’unités en un temps record. par exemple, Anvers remplit quelques 25 500 bouteilles de 1 . 5L par heure, pour éviter que le gaz carbonique ne s’échappe et que le produit ne perde de sa saveur, le conditionnement se fait de manière très posée, à l’aide d’une tireuse à contre pression.
L’entrée : L’emballage, acheminé par une bande transporteuse, est inséré correctement dans le remplissage. L’évaluation . L’air est éliminé de l’emballage. Si l’emballage présente un point faible, il peut se briser. Pour éviter que des éclats de verre n’atterrissent dans d’autres bouteilles, les bouteilles sont séparées par des parois. bouteilles sont séparées par des parois. Le remplissage : La pression à fintérieur de l’emballage et celle de la tireuse doit être pratiquement identique. Ainsi, le robinet peut s’ouvrir et l’emballage se remplir.
Ce processus s’arrête dès que le niveau ouhaité est atteint. Pour éviter la formation soudaine de mousse, la pression à l’intérieur de l’emballage et la pression ambiante doit être égale. Dès lors, l’emballage peut s’extraire de la tireuse par le bas. La fermeture : Le processus de fermeture suit directement le remplissage, aussi la bouchonneuse se trouve-t-elle très près de la tireuse afin d’éviter toute infiltration d’impuretés ou tout échappement de gaz carbonique. Les cannettes sont pourvues de couvercles tandis que les bouteilles sont munies de capsules ou de bouchons ? visser.
L’emballage et la palettisation : L’emballage implique plus d’étapes que le simple remplissage. Le contrôle de niveau • Les emballages rigides sont remplis à niveau. Celui-ci est contrôlé à l’aide de caméras pour les bouteilles en plastique et de rayonnements pour les bouteilles en verre et les cannettes. Si le niveau est trop haut ou trop insuffisant, l’emballage sera automatiquement écarté. Le symbole « E » : Résultat d’un accord européen, ce signe indique que l’emballage contient en moyenne le contenu indiqué. Les producteurs doivent ainsi embouteiller selon les normes légales. Le rinçage :