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essay A

Que la sagesse n’ait pas d’importance, la plupart le comprennent bien avant, qui ne sont sages qua cette condition. La sagesse n’est qu’un rêve de philosophe, dont la philosophie doit aussi nous libérer. La sagesse n’existe pas : il n’ a que des sages, et ils sont tous différents, et aucun bien sûr ne croit à la sagesse…  » (Indre Comte-sponsorisé / né en 1952 / L’amour la solitude / 1996) « Si, comme je le crois, la mort c’est le néant, il n’en est rien : le néant ne fait pas sens. Donc, de ce point de vue, la vie n’ pas de sens : nous n’allons vers rien d’autre que le rien.

C’est pourquoi il nous faut profiter de là où nous sommes. Telle est la dimension tragique de l’existence.  » (Indre Comte-sponsorisé / né en 1952 / Interview par déjeune carré étager pour « Actualité des Religions ») La philosophie doit prendre le relais de la religion, sans textes sacrés, sans le coron, la Bible ou le livre du bouda.  » (Indre Comte-sponsorisé / né en 1952) (Indre Comte-sponsorisé / né en 1952) « Philosopher, c’est penser sans preuves, mais point penser n’importe quoi, ni n’importe comment.  » « La philosophie n’ donc pas en vue le bonheur. Elle a en vue la seule vérité.

Or, il est très possible que la vérité soit douloureuse, soit pénible, soit destructrice du bonheur ou le rende impossible. La religion, à la différence de la philosophie, est sous la catégorie de l’utile. Elle promet le honneur et dit ce qu’il faut faire et ce qu’il faut être pour mériter ou pour l’obtenir. Dès lors, l’illusion est plus importante que la vérité si elle procure le bonheur.  » (marche conçue / né en 1922 / Le sens de la philosophie) « Seule la philosophie a en vue la vérité pour elle-même, au risque de la souffrance, peut-être du désespoir.

Or, la vérité, qui est le tout de la réalité, enveloppe aussi bien le rationnel que l’irrationnel. La philosophie a donc affaire de l’irrationnel. Cet irrationnel n’est pas le sacré, lequel suppose l’expérience religieuse et l’ouverture au armatures, mais le démoniaque. Certes, la philosophie est l’?ouvre de la raison, « du bon sens », comme dit dessertes. Mais, au contraire de la raison scientifique qui passe à côté du merveilleux et du mystère sans le voir, la rasons philosophique reconnaît, identifie l’irrationnel, le merveilleux, le mystère. « Le mépris des sciences humaines était un des premiers caractères du christianisme. AI avait caractères du christianisme. Il avait à se venger des outrages de la philosophie ; il craignait cet esprit d’examen et de doute, cette confiance en sa propre raison, fléau de ouates les croyances religieuses. La lumière des sciences naturelles lui était même odieuse et suspecte ; car elles sont très dangereuses pour le succès des miracles ; et il n’ a point de religion qui ne force ses sécateurs à dévorer quelques absurdités physiques.

Ainsi le triomphe du christianisme fut le signal de l’entière décadence et des sciences et de la philosophie.  » (concrète / 1743-1794 / Esquisse d’un tableau historique des progrès de l’esprit humain / 1 795) « Toute société qui n’est pas éclairée par des philosophes est trompée par des charlatans.  » (concrète / 1743-1794) Ce qui caractérise le philosophe et e distingue du vulgaire, c’est qu’il n’admet rien sans preuve, qu’il n’acquiesce point à des notions trompeuses et qu’il pose exactement les limites du certain, du probable et du douteux. (dénis dédieront / 1713-1784 / Lettre à sophistes voulant – 26 septembre 1762) « AI n’appartient qua l’honnête homme d’être athée. Le méchant qui nie l’existence de Dieu est juge et partie ; c’est un homme qui craint et qui sait qu’il doit craindre un vengeur L’homme de bien au contraire, qui aimerait tant à se flatter d’une rémunération future de ses vertus, hutte contre son propre intérêt. L’un p aide pour lui-même, l’autre plaide contre lui ; le premier ne peut contre son propre intérêt.

L’un plaide pour lui-même, l’autre plaide contre lui ; le premier ne peut jamais être certain du véritable motif qui détermine sa façon de philosopher ; le second ne peut douter qu’il ne soit entraîné par l’évidence dans une opinion si opposée aux espérances les plus douces et es plus flatteuses dont il pourrait se bercer.  » (dénis dédieront / 1713-1784 / rapporté dans « Mémoires pour servir à l’histoire de la philosophie au suivie siècle, de

Jean philtre damnions) « Il faut à la fois rire, vivre en philosophe, diriger sa propre maison, et encore nous servir de tout ce qui nous est propre, et ne jamais cesser de prononcer les formules issues de la droite philosophie.  » (épicière / 341-270 avant JUCHÉ / Sentences vaticiner) « Les théologiens et les philosophes, qui font de Dieu l’auteur de la nature et l’architecte de l’univers, nous le font paraître absurde et méchant. Ils le disent bon parce qu’ils le craignent, mais ils sont forcés de convenir qu’il agit d’une façon atroce.

Ils lui prêtent une malignité rare, même chez l’homme. Et c’est par là qu’ils le rendent adorable sur terre. Car notre misérable race ne vouerait pas un culte à des dieux justes et bienveillants. Sans le purgatoire et l’enfer, le bon Dieu ne serait qu’un pauvre sire.  » (natale France / 1844-1924 / Les dieux ont soif, 1912) « lorsqu’ s’agit de questions de religion, les hommes se rendent coupables de toutes les malhonnêtetés possibles. Les philosophes étirent la signification des mots jusqu’ ce toutes les malhonnêtetés possibles.

Les philosophes étirent a signification des mots jusqu’ ce que ceux-ci conservent à peine quelque chose de leur sens d’origine, ils épellent Dieu quelque vague abstraction qu’ils se sont créée et les voilà désormais, à la face du monde, déistes, croyants en Dieu, ils peuvent s’enorgueillir d’avoir reconnu un concept de Dieu plus élevé plus pur, bien que leur Dieu ne soit plus qu’une ombre sans substance…  » (signons fraude / 1856-1839 / L’avenir d’une illusion) « Du moment où une religion demande secours à la philosophie, sa ruine est inévitable. … ] La religion, comme toute espèce d’absolutisme, ne doit point se justifier.  » (enrichi haine / 1797-1856 / De l’allemande) « Rien ne paraît plus surprenant à ceux qui contemplent les osées humaines d’un ?il philosophique, que de voir la facilité avec laquelle le grand nombre est gouverné par le petit, et l’humble soumission avec laquelle les hommes sacrifient leurs sentiments et leurs penchants à ceux de leurs chefs. Quelle est la cause de cette merveille ? Ce n’est pas la force ; les sujets sont toujours les plus forts.