chute du mur de berlin
‘existence puis la chute du mur de Berlin a été un événement phare dans la continuité de la guerre froide, tant au niveau national qu’international. Wolfgang Becker, un réalisateur et scénariste allemand, retrace ainsi la chute du mur puis la disparition de la RDA dans son œuvre « Good Bye Lenin ! » (sortie le 10 septembre 2003). Ainsi nous nous proposons d’étudier ce fait historique à partir de l’œuvre cinématographique allemande.
Dans ledit film, le personnage principal, Daniel, a 21 ans et vit dans la partie Est de Berlin. Ce Berlin là, celui de rex-RDA, fait encore partie du bloc soviétique. La mère de Daniel défend le régime d’Erich Honecker avec ferveur, surtout depuis que son mari a fui à l’Ouest, et écrit moult lettres à l’administration en vue d’améliorer le s se fissure, et le choc l’ordre lors d’une ma son réveil, tout a cha de l’Est. Les voitures Swipe v tMais le système r les forces de r dans le coma.
A s, les Allemands es rues, les publicités envahissent les murs et la mère se réveille alors dans un univers qu’elle ne peut reconnaître. Etant donné sa fragilité, elle ne supporterait pas le moindre choc. Ses enfants décident alors de reconstruire autour d’eux l’environnement de l’ex-RDA, ux normes socialistes. Le mur de Berlin (en allemand Berliner Mauer)l « mur de la honte » pour les Allemands de l’ouest et officiellement appelé par le gouvernement est-allemand « mur de protection antifasciste », est érigé en plein Sv. ipe to plein Berlin à partir de la nuit du 12 au 13 août 1961 par la République démocratique allemande (RDA)2, qui tente ainsi de mettre fin à l’exode croissant de ses habitants vers la République fédérale d’Allemagne (RFA)2,3. Le mur, composante de la frontière intérieure allemande, sépare physiquement la VIIIe en Berlin-Est et Berlin-Ouest pendant plus de vingt-huit ans, et onstitue le symbole le plus marquant d’une Europe divisée par le rideau de fer.
Plus qu’un simple mur, il s’agit d’un dispositif militaire complexe comportant deux murs de 3,6 mètres de haut4 avec chemin de ronde, 302 miradors et dispositifs d’alarme, 14 000 gardes, 600 chiens et des barbelés dressés vers le ciel. Un nombre indéterminé de personnes sont victimes des tentatives de franchissement du mur. Cependant, il apparait que les gardes- frontière est-allemands et les soldats soviétiques n’hésitent pas ? tirer sur les fugitifs. Vestige du mur de Berlin, 2004
Panneau indicateur de l’ancienne division allemande L’affaiblissement de l’Union soviétique, la perestroïka conduite par Mikhaïl Gorbatchev, et la détermination des Allemands de l’Est qui organisent de grandes manifestations, provoquent le 9 novembre 1989 la chute du « mur de la honte suscitant l’admiration incrédule du « Monde libre » et ouvrant la voie à la réunification allemande. Presque totalement détruit, le Mur laisse cependant dans l’organisation urbaine de la cap tale allemande des cicatrices qui ne sont toujours pas effacées aujourd’hui. Le mur de Berlin, symbole du cliva e idéologique 2