Chirugie rnaxillo-faciale
La guerre que la France a connu avant la Grande Guerre c’est la guerre Franco-Allemande en 1870 où ils se battaient encore avec de simples fusils et des canons, on se déplaçait encore à cheval Pendant la Première Guerre Mondiale on se bat avec des chars d’assaut, des mitraillettes et l’arme la plus dévastatrice, apparue à cette époque, c’est la grenade qui même après avoir explosé envoie beaucoup de morceaux de métal dans toutes les directions. Les chiffres montrent l’ampleur de cette guerre : il y a eu 2 800 000 Français blessés sur les 8 000 000 de mobilisés, 300 000 ont été mutilés, 200 000 invalides à plus de .
Certains blessés l’ont été à plusieurs reprises car ils étaient obligés de retourner au front si le service de santé considérait que les blessures le permettaient. La guerre de tranchées était très dangereuse notamment pour a face parce que c’est la partie du corps la plus exposée aux explosion émis. Cela provoque PAGE 2 FO 21 que beaucoup de « dé élues cassées » reviennent de guerre. C’est à ce moment que les médecins ou « gueules cassées » reviennent de guerre.
C’est à ce moment que les médecins et les chirurgiens commencent se pencher sur l’art de la chirurgie plastique et reconstruction de la face : la chirurgie maximal-faciale est née. Pendant la guerre il existe 3 « zones » : La zone au front qui comportait des petits postes de secours et des centres d’évacuation. Les postes de secours servaient à faire le « Triage », qui est le nom donné à l’organisation dans ces centres, puisqu’ faut savoir quelles blessure sont considérées comme graves et doivent être opérées instantanément ou si l’on peut laisser un blessé patienter quelques heures pour s’occuper des cas plus graves.
Les centres d’évacuation conditionnaient les blessées avant leur transport pas ambulance vers des hôpitaux situés à l’arrière. La zone dite des armées hospitalisait les blessés graves ou légers, cette zone se trouvait généralement proche d’un moyen d’évacuation rapide : fleuve, carrefour ferroviaire, refoula routier . La troisième zone comportait l’hospitalisation des blessés à l’intérieur du pays. Pour les blessés graves on distinguait deux cas : Tout d’abord les blessés graves mais ayant de bonnes chances de survie, eux doivent être traités avec haute priorité.
En revanche si le pronostic vital est sombre, il ne faut pas monopoliser le personnel et le matériel consommable. (ex: sang). Enfin les blessés léger peuvent assurer eux mêmes leurs que si des personne restent blessées pendant plus de AI heures avant l’hospitalisation, la mortalité peut atteindre 75 % chez les blessés relevés vivants. D’où l’importance des remises heures : « thé Golden ours ces pour cela que le ramassage rapide des blessés était très importants, l’idée du brancardier avait déjà été prononcée par larder, au début du sexe siècle, mais elle a seulement été mise en ?ouvre pendant la Grande Guerre.
Ces brancardiers ont donc dû être formés très rapidement ainsi c’était très difficile pour eux de faire la différence entre un mort et un vivant. Comme par exemple albâtre goujon qui, sur le terrain, a été considéré comme mort pendant plus de 2 jours par les brancardiers qui passaient régulièrement à côté de lui, alors qu’il était gravement lésée à la face. Puis plus tard il fonda « l’Union des Blessés de la Face ».
Après la guerre ces blessés de guerre assez particuliers, avec des blessures encore inconnues jusque là, n’ont plus de vie sociale et ne veulent plus sortir de chez eux car la honte est omniprésente. Donc les médecins se posent la question : « Comment redonner à ces hommes une vie sociale ? » À cause de cette terrible guerre il faut rapidement mettre en place des centres pour le soin de ces personnes gravement blessées. De petits centres maximal-faciaux sont donc établi à l’arrière des combats.
Puis si les cas sont trop raves, les « gueules cassées » sont transférés dans les grands hôpitaux comme par exemple l’hôpital du Val-de- hôpitaux comme par exemple l’hôpital du Val-de-Grâce, Paris, qui existait déjà avant la guerre. Et qui, pendant la guerre, est réaménager et agrandi en fonction des besoins dévolus à la guerre, ce qui fait de lui, le premier centre de chirurgie maximal-faciale de France. En 1914, un écrit annonce la création de deux autres centres de chirurgie maximal-facial, à Bordeaux et à Lyon.
Ces deux centres internationaux apparaissent en 1915. Ils se multiplient de plus en plus et sont déjà 17 en 1918. Bien sûr ces centres sont plus ou moins grands selon les villes et les régions. Dans ces centres travaillent de « nouveaux » chirurgiens qui pour accéder au métier doivent suivre un cursus difficile et très rigoureux. La première école de Stomatologie française ouvre juste avant la guerre, en 1910, à Paris. En 1932, la Faculté de Médecine de Bordeaux fonde une filière « Stomatologie ».
Seulement la chirurgie maximal-faciale n’aurait pas connu cet essor sans de grandes inventions dans d’autres domaines de la médecine, notamment l’anesthésie générale qui rend le travail beaucoup plus facile pour les chirurgiens. Pilotée mortiers (1869-1919) était l’un des chirurgiens maximal faciaux les plus connus avec lion défoulent. Lors d’interventions, pour empêcher le sang de pénétrer dans les voies aériennes, mortiers constate que la pompe salive des dentistes utilisées auparavant ne suffit plus bisexuelle est beaucoup trop faible.
Donc il conçoit en 1902, pour aspirer le sang et la salive, une pompe électrique puissante, branchée sur une canule. Avec l’aide de imberbe, il a également proposé la « greffe cartilagineuse » comme traitement contre la postdaterons (qui est une absence de consolidation de deux fragments osseux survenant après une fracture. Il y a alors à cet endroit des mouvements anormaux. ). Cette méthode consiste à prélever un bout de tissu cartilagineux à un endroit non porteur puis de le réimplanter à l’endroit atteint. Cette technique fut bientôt remplacée par les « greffes stéréoscopiques » du dur.
délaieriez, cette méthode s’appuie sur la fonction sécrétant du persiste (membrane fibreuse qui entoure l’os et seule partie de l’os véritablement active), et consiste à prélever un greffon sur la face interne du tibia du blessé et de le poser sur la région blessée. Ensuite le greffon changeait de forme, jusqu’ ce qu’il ait atteint une forme adapté, et ainsi reformait la partie osseuse abîmée. Lorsqu’ ne pouvait pas effectuer de greffes il fallait recourir à la méthode de la prothèse, dont l’esthétique évoluera avec l’introduction en prothèse maximal-faciale de l’achète de cellulose.
En 1917, box soumet l’achète de cellulose aux même manipulations que le celluloïd et confectionne une oreille de remplacement qui répondra tous les critères esthétiques. La suture par simple rapprochement ne suffit plus pour les grosses pertes de sang ; maintenant il faut utiliser des ambiguë locaux : le lambeau de dégringolait, qui oblige opérer en plusieurs temps, il va plus tard laisser sa p lambeau de dégringolait, qui oblige à opérer en plusieurs temps, il va plus tard laisser sa place à une série de plastics locales qui seront omniprésente dans la chirurgie modelant moderne.
ces ainsi que lion défoulent eu l’idée de prendre de la peau frontale pédicures pour la réimplanter aux endroits perdant beaucoup de substances ceci fût surtout fait aux régions mentonnière, et si le cas était très grave on pouvait également y envisager une reconstruction osseuse. En 191 6, le médecin Chef casanier propose une position semé-assise sur le brancard pour éviter l’asphyxie ou l’inhalation de sang. Cette découverte permet de sauver beaucoup de vie humaines.
De 1 939 à 2000 plusieurs événements ont permit une avancé de la chirurgie maximalisais. Pour commencé , en 1939 nous sommes dans un contexte de guerre (la and guerre mondiale ). Celle-ci tout comme la première voit des blessés graves de la face. De cette époque on commence à s’intéresse plus a la chirurgie du visage. C’est bien après les conflits mondiaux qu’il eu le besoin de pratiquer une telle chirurgie pour aider es défigurés après-guerre. En effet plusieurs analyses montrent que plus les conflits sont modernes plus le nombres de plaies s’aggravent.
Suite a ça ce rajoute d’autres guerres tels que la guerre de vite maman (1959) ou encore la guerre israélien-arabe , qui augmentent le nombre de la chirurgie de blessé qui auront besoin de maximalisais . Il ne faut pas oublier que la progression de cette chirurgie pas oublier que la progression de cette chirurgie a également été favorisée par l’avancée technologique du Emme siècle. L’avancée du Emme siècle a permis l’amélioration des afférentes techniques de chirurgie ; des outils de plus en plus perfectionnés et des prothèses ont permis aux blessés graves de guerre de retrouver un visage avec une forme plus structurée.
Ces prothèses,initialement destinées à dissimuler une infirmité ou une malformation du visage ;ont connu une évolution au cours d’un siècle grâce à l’amélioration de différents matériaux. Les matériaux utilisés actuellement sont élaborés lors du Emme siècles comme le titane pur trouvé au milieux du siècle. Le principal problème de ces prothèses est la bactériologiste avec les éléments biologiques du corps. Le risque est qu’en cas de corrosion ,ces prothèse peuvent s’avérer dangereuse pour le patient.
Par la suite la recherche permettra de mettre en place d’autres implants de plus en plus adaptés, mais ceux-ci reste encore mal développés car on cherche encore à les améliorer pour les perfectionner. Donc nous pouvons dire que ces alliages restent encore la solution la plus sure. Donc c’est un environnement de guerre moderne , et de recherche scientifique qui ont favorisé l’avancée de cette discipline chirurgical. Mais qu’elles sont ces évolutions effectuées ? Cette chirurgie a évoluée en plusieurs points. Nous en élèverons que les plus capitales dans notre période : Pour commencer l’anesthésie a beaucoup progressé.
Celle- ci a été découverte au Emme siècle, mais elle a tout l’anesthésie a beaucoup progressé. Celle-ci a été découverte au Emme siècle, mais elle a tout de même subit une évolution durant le Emme. Effectivement la plante servant à l’anesthésie (curare) c’est avéré être un paralysant baissant tout tonus musculaire et provoque une immobilisation des poumons ce qui a pour conséquence d’arrêter l’alimentation en 02 dans les tissus et le cerveau. Cette découverte réalisée en 1844 ne profita une 1942.
A partir de là un produit dérivé plus saint fut crée l’endoctrine qui est issu de la même plante. Dès les années 50 le nombre d’anesthésique par intraveineuse sont développés. AI y a cependant une seconde méthode d’anesthésie, par inhalation. Ont utilise en premier temps en 1847 le chloroforme mais celui-ci c’est avéré toxique et cédé sa place a l’éther qui lui même a été remplacé par le peroxyder d’azote qui n’eut son autorisation de mise sur le marché qu’en 2001 malgré son utilisation courante au Emme siècle. Ensuite fut mis au point l’haletant par charges
succions en 1951 et ne fut utilisé qua partir de 1956. Jusqu’ milieu des années 80 il a été utilisé avant de ce faire remplacé par l’insinuera même si le désulfurer se verra préférer dans les pays occidentaux pour sa bonne tolérance clinique et permettant un réveille rapide. Ce sont l’évolution de ces anesthésiant qui ont permis une avancé de la chirurgie maximalisais et même de la chirurgie général dont le principal frein était la douleur. D’autres évolutions majeurs ont également eut lieux tel l’évolution des prothèse qui sont une avancé importante.