Chapitre 3

essay A

Chapitre 3 : Les décisions des agents économiques Introduction La prise de décision des agents économiques nécessite une analyse Coût/avantage/rlsque et repose sur Finformation. Les agents ne disposent pas toujours d’informations de manière équivalente. 1) Définition de l’information : L’information est le moyen de réduire la complexité et l’incertitude, elle peut alors se définir comme tout élément susceptible d’augmenter le degré de connaissance d’un phénomène.

L’information est devenue la matière premiere essentielle de l’entreprise. Elle doit en assurer le pilotag 2) Qualité de l’inform La qualité de l’inform r 5 Sni* to View ns l’entreprise pour eres • La fiabilité : en fonction de l’ ge de l’intormation, de son délai d’obtention et de sa précision. La pertinence : degré d’adéquation aux besoins de l’utilisateur. L’objectivité aptitude à rendre compte des faits.

La vérifiabilité possibilité de recouper, de retrouver l’information 3) La place de l’informatique dans le traitement de l’informatlon : a) Opportunité de l’emploi de l’informatique L’informatique peut se définir comme la science du traitement rationnel et automatisé des informations. Les moyens informatiques accru la capacité, la rapidité et la technicité des raitements. La mise en place d’un système informatique permet en effet de et contraintes de l’outil informatique : Sécurité des données et fragilisation de réseaux ouverts sur l’extérieur, sur internet, en termes de piratage et de saturation du système.

Difficultés juridiques liées au piratage, à la matérialité de la preuve, à la protection de la liberté des individus Absence de procédure de fonctionnement en mode dégradé (pouvoir continuer à travailler même en cas de panne du système informatique) d’autant plus préjudiciable que l’entreprise utilise massivement l’informatique. Maintenance des logiciels parfois couteuse en raison de la fréquence et de la rapidité des évolutions.

Rapide obsolescence des matériels : les générations se succèdent sans que la technologie ne soit toujours bien maitrisée par l’entreprise. 4) Le lien fondamental entre information et décision : L’information est la matière première de la décision. Le pilote de l’entreprise requiert des décisions sur une représentation correcte de problèmes, c’est-à-dire des déclsions prises sur la base d’informations de qualité. Le système d’information doit être adapté aux types et aux besoins de la décision.

Ansoff propose une classification fondée sur l’échéance et l’ampleur de la décision, donc en fonction de l’horizon temporel de l’entreprise. Decision stratégique prise pour la direction, concernant l’ensemble de l’entreprise, pour le long terme, dans un univers incertain et complexe, mais surtout qualitatives, complexes, diversifiées, Incertaines, voire incomplètes. L’entreprlse censure la veille : elle guette l’apparition d’informations annonçant des changements, des évolutions.

Décision tactique ou administrative prise au niveau des cadres pour le moyen terme ; elle porte sur les structures, l’organisation t la gestion. Les informati ature ess PAG » rif s elle porte sur les structures, l’organisation et la gestion. Les informations sont de nature essentiellement quantitatives, moyennement nombreuses, assez peu diversifiées, plutôt certaines et assez bien définie dans leur forme. Décision opérationnelle prise au niveau de l’exécution pour le court terme et pour une partie de l’entreprise, elle est répétitive et nécessite peu d’information. ) Définition de la décision : La décision est un choix délibéré entre plusieurs solutions pour atteindre un objectif, choix déterminé en fonction des moyens isponibles et de critère de sélection. La rationalité de la décision est tout à fait subjective. Elle dépend des connaissances du décideur, de sa compréhension du problème, de son système de valeurs, des pressions auxquelles les autres acteurs le soumettent. ) La théorie de la nationalité limité d’Herbert Simon et les obstacles à la rationalité : Depuis les travaux initiés par Herbert (1960), la notlon de rationalité limitée produit mieux la réalité du processus de décision que la notion classique d’homo économicus, parfaitement informé et totalement rationnel. Pour Simon, la rationalité de la décision est limitée par le manque d’information, par les capacités cognitives des décideurs, par le rapport de force entre les différents acteurs de l’organisation.

La décision ne peut-être que satisfaisante et non optimal à un moment donné. Le critère contenu est celui de l’acapatibilité. Les autres facteurs expliquent la rationalité limité du processus sont . Le manque de temps pour recueillir l’information et l’analyser Le manque de pouvoir : la « bonne décision » n’est pas du ressort de celui qui prend la décision. Les obstacles tenant à la p s décideurs : orgueil, goût AGF 3 rif s tenant à la psychologie des décideurs : orgueil, goût du secret, vanité expliquant parfois les décisions bien mieux que des arguments économiques rationnels.

Finalement, faire des bon choix suppose de disposer d’informations pour réduire l’incertitude. Or, l’information n’est pas toujours disponible de maniere équivalente. 7) L’asymétrie d’information : Il peut exister des situations où chacun n’a pas la même information sur l’autre : il s’agit alors d’un cas de rente informationnelle qu’un des deux protagonistes va chercher à explolter. Les informations dont les acteurs économiques nt besoin pour décider ne sont pas toujours pertinentes ni disponibles sans coût.

L’information nécessaire à toute prise de décision n’est pas toujours disponible : c’est l’asymétrie d’information. L’acteur le mieux informé cherche à obtenir des avantages que l’autre n’aura pas. Les acheteurs, moins bien informés, ne parviendront pas à distinguer les produits de bonne qualité en ceux de mauvaise qualité. Il peut y avor asymétrie d’information lors de l’élaboration de combats. Un client contracte sur la base des informations communiquées par son fournisseur, un salarié s’engage sur a base des informations que l’employeur lui donne.

Les solutions qui peuvent permettre de contrebalancer l’asymétrie d’informations dans les contrats informatiques seraient par exemple, de négocier un engagement plus important du prestataire quant à la garantie, quant à l’obtention d’un résultat, quant à l’exonération de responsabilité. Internet rend l’information abondante, immédiate et dlsponible. Les entreprises peuvent chercher des informations sur leurs concurrents, sur leurs clients pour adapter leur stratégie. Parce qu’internet contribue à réduire les coûts liés à l’asymétrie d’information, cer PAGF