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essay B

IO) Mouvements de population, urbanisation, métropolisation Les grands traits des dynamiques spatiales de la population française : un étalement urbain. – Commencement dans les années 1960 correspondant à la période du « baby boom » et à un important afflux d’immigrants. – L’augmentation de la population et la croissance économique favorise l’extension des banlieues. – des grands ensembles sont construits dans la zone périurbaine pour accueillir les immigrés à Ségrégation sociale et pas d’activité dans ces quartiers.

Cétalement urbain entraine : La nécessité de développement des infrastructures de transport- un bétonnage de + en + important, c’est artificialisation S to page du milieu. – inondatio atmosphérique urbai La France est « en vill sur cinq habitent dan population (accroisse Swape p ividuell- pollution atre Français uvements de ns internes) continuent de renforcer les aires urbaines. Un cas à part : Paris ville monde au cœur du réseau urbain. Elle concentre les fonctions de commandement, les sièges sociaux et les universités. Cest une interface entre la France, l’Europe et le este du monde.

Elle domine par son dynamisme économique et son attractivité. En dehors de paris : le réseau urbain comporte 7 grandes métropoles qui dominent en province : Lyon, Aix- Marseille, Lille, Toulouse, Bordeaux, Nantes, Strasbourg. ElIes exercent un réel pouvoir de commandement s sur leurs régions : métropoles d’équilibre. Elles renforcent leurs liens entre elles et avec la capitale favorisant l’émergence d’unréseau urbain polycentrique. Les villes intermédiaires de tailles moyennes perdent de la population au profit des villes lus importantes qui attirent les hommes et les activités : c’est le phénomène demétropolisation. 0) Aménager les villes : réduire les fractures sociales et spatialesL’attractivlté des centres villes, en particulier des plus grandes métropoles, a provoqué l’explosion des prix du foncier en centre ville. Conséquence : un processus de gentrification (« embourgeoisement b) du centre ville. Des politiques de rénovation urbaine tentent de supprimer les grands ensembles d’habitation à loyer modéré (HLM) au rofit d’habitats à taille plus humaine et près du centre ville pour réduire lesfractures sociales et spatiales.

Beaucoup constituent des Zones urbaines Sensibles (ZIJS) où se concentre de plus en plus la pauvreté (paupérisation), d’autant plus qu’elles sont délaissées par les classes moyennes. On peut même parler de relégation dans certains cas : c’est-à-dire de la spécialisation de certaines zones dans l’accueil de populations défavorisées. Ces phénomènes de paupérisation et de relégation peuvent être ggravés par unphénomène d’ethnicisation : de regroupement de groupes ethniques dans une même zone. 0) Entre attractivité urbaine et nouvelles formes de développement : les espac 2 rural : « la campagne » Urbain : relatif à la ville Périurbain : périphérique qui se trouve à la limite d’une ville Aire urbaine : zone occupée essentiellement par des habitations et des activités économiques et administratives. Deux types d’espaces ruraux se distinguent en fonction de leurs relations avec la ville : les zones périurbaines: elles remplissent e plus en plus lafonction de résidence pour des ménages qui viennent de la ville, continuent d’y travailler et mènent un mode de vie urbain.

Ceux sont les néo ruraux. La périurbanisation transforme les paysages : construction de lotissements,revitalise les villages (rajeunissement démographique) création de zones d’activité les ZAC (zone d’activité concernée) installation de services- modifie leur composition sociale (actifs du tertiaire majoritaires). périurbain : commune « dortoir Y. – les zones rurales en marge : espaces ruraux dédiés ? ‘agriculture près des villes, mais de moins en moins habités.

Certaines zones rurales se spécialisent dans l’agriculture bio ou local mais pour des consommateurs urbain. lls se caractérisent par l’enclavement et une activité agricole en difficulté, malgré les aides de l’Union européenne et de rEtat. Ces espaces cherchent à être valorisés par leur patrimoine naturel ou culturel (tourisme, labels régionaux, industries utilisant les ressources locales… ). lls tantent de faire venir des retraités et des touristes et s’appuient sur le phénomène d’héliotropisme. 3