Averbes en ment
Cela nous a aussi permis de faire un lien entre ce que nous oyons en cours d’AFP, notamment, et ce que le professeur fait avec ses élèves pour les motiver et par rapport à la méthodologie de la leçon. personnelles de madame Fayt Plan de l’activité du 24/10/14 – En arrivant devant la classe, le professeur impose le silence, le rangement par deux et le retour au calme. Lorsque c’est fait, ils rentrent en classe. L’enseignante laisse les élèves choisir leurs places, et ces derniers restent debout jusqu’au moment où madame Fayt « donne la permission » de s’assoir. Lorsque c’est fait, le professeur commence par faire le journal de classe. Elle rappelle également qu’il y a un livre à lire, et la date pour laquelle cela doit être fait. Elle précise qu’elle expliquera l’exercice à faire en devoir plus tard. – Après cela, l’enseignante fait un rapide rappel de la leçon en cours, permettant ainsi aux élèves de finir un exercice non terminé au cours précédent. Lorsqu’un élève pose une question, elle tente d’obtenir la réponse de la part des autres. La couverture de roman à analyser au moment où nous arrivons pour observer la leçon est la couverture de « 13 histoires de Don Quichotte », d’après Cervantès. L’enseignante interroge d’abord les élèves sur leur avis par rapport au terme « d’après » Cervantès, et explique ensuite par elle-même qu’il ne s’agit pas du roman original, mais seulement de quelques passages choisis dans ce livre. Le professeur interroge p s pour avoir des 2 leur façon de s’exprimer à certains moments.
Lorsque fun des élèves explique que la couverture du livre « Don Quichotte » le fait penser à un enquêteur, du genre de Sherlock Holmes, elle les interroge sur le genre des récits de S. Holmes. Célève comprend son erreur, du fait que Sherlock Holmes est un héros de roman olicier alors qu’ils sont en train d’étudier les romans d’aventures. Les élèves remarquent beaucoup de détails, et le chapeau de Don Q. les intriguent car ils en reparlent plusieurs fois.
L’un des élèves fait aussi remarquer le moulin que l’on voit sur la couverture, et explique que ça lui fait penser aux Pays-Bas, et que l’histoire se passe peut-être là-bas. L’enseignante admet que l’idée est bonne, mais explique qu’à l’époque où Vhistoire a été écrite, les moulins avaient une fonction pratique, et ne servaient donc pas seulement de décoration (il y en avait donc un peu partout. ) Finalement, l’un d’entre eux ayant lu le livre explique l’histoire de Don Quichotte qui se bat contre les moulins en les prenant pour des monstres.
Madame Fayt n’oublie pas de le féliciter d’avoir lu ce livre, mais précise qu’il n’aurait pas pu deviner ça en regardant seulement la première de couverture. Comme ils ne trouvent plus rien à analyser, ils en viennent à la conclusion suivante : la première de couverture d’un livre n’est pas très évocatrice de l’histoire, il ne faut pas s’y fier. L’exercice suivant, c’est la préparation à faire chez soi. Censeignante donne les consignes, donne d Cexercice suivant, c’est la préparation à faire chez soi.
L’enseignante donne les consignes, donne des détails (comme par exemple de travailler sur le premier film de chaque série, et comme elle remarque que personne ne prend note, elle fait remarquer qu’ils peuvent oublier les consignes entre temps et conseille donc de les noter. Lorsqu’elle est sûre que la préparation est bien comprise, elle passe à l’exercice d’après. Elle demande à un élève de lire la consigne et ensuite à un autre de la reformuler avec ses mots pour être sûre de la compréhension de tous.
Elle laisse ensuite le emps de réaliser l’exercice et ne reste pas inactive, passe dans les bancs, vérifie qu’ils travaillent, rappelle que l’exercice se fait pour l’instant au crayon, précise que l’armoire à dictionnaires est à disposition de tout le monde pour les mots plus difficile en ajoutant qu’elle risque de poser des questions sur certains mots et répond également aux questions. – Lorsque l’enseignante estime qu’ils ont eu le temps de faire l’exercice commence la correction.
Puisqu’il s’agit de petits résumés de livre, elle demande à un élève différent pour chaque résumé de le lire et d’ensuite dire s’il s’agit d’un roman d’aventure u non. L’élève doit alors indiquer les indices qui lui ont permis de dire que c’était un roman d’aventure ou au contraire, expliquer pourquoi ce n’en est pas un. – Après cet exercice, c’est la fin de l’heure. Nous partons et les étudiants de madame Fayt reçoivent une interrogat 4 c’est la fin de Pheure. Nous partons et les étudiants de madame Fayt reçoivent une interrogation.
Analyse de l’activité – Le rappel au calme directement dans le rang avant de rentrer en classe laisse le temps aux élèves de se remettre des « émotions » de la récréation et de se remettre dans le bain. Le fait qu’ils attendent le signal de l’enseignante pour s’assoir démontre un certain respect envers cette dernière. – Madame Fayt utilise la méthode inductive. – Pour stimuler la participation des élèves et les motiver, l’enseignante fait références aux connaissances des élèves pour expliquer le roman d’aventure.
En effet, elle utilise les films d’aventures pour trouver les caractéristiques des romans du même genre. – Pour les faire réfléchir et les rendre acteurs de leur apprentissage, elle met à la disposition de tous les dictionnaires et les prévient qu’elle interrogera au hasard les élèves sur les ots qu’elle juge difficile -s ils sont donc acteurs car ils doivent chercher par eux-mêmes les définitions. Elle demande aussi plusieurs fois qu’ils justifient leurs réponses et s’ils se trompent, l’enseignante les fait réfléchir par eux-mêmes.
Par exemple, lorsqu’un élève a expliqué que le chapeau de Don Quichotte lui faisait penser à Sherlock Holmes, l’enseignante lui a demandé de réfléchir à quel genre appartenaient les récits parlant de l’enquêteur. – Pour maintenir leur atten rroee les élèves au hasard, S maintenir leur attention, elle interroge les élèves au hasard, ême ceux ne levant pas le doigt. De cette façon, ils sont un peu obligés d’être attentifs pour pouvoir répondre si elle les questionnent.
Lorsqu’ils réalisent un exercice de manière individuelle, madame Fayt passe dans les bancs pour vérifier que tout le monde travaille, demande aux rêveurs de faire les exercices demandés, etc. – Pour s’assurer de leur compréhension, elle demande à un élève au hasard de réexpliquer la consigne avec ses mots. Elle fait aussi lire les élèves ayant plus de difficultés en lecture et les aide en cas de problème avec certains mots. Cela permet aussi de maintenir l’attention.
Mise en lien de l’activité observée avec les cours d’AFP Dans le cadre de l’AFP de madame Fayt, nous avons dû présenter un micro-enseignement qui consistait à présenter un livre à une classe du premier degré et faire son possible pour donner l’envie de lire le livre en question. Les remarques que l’enseignante a fait à chacun d’entre nous, elle les applique elle-même lorsqu’elle donne cours. (Exemple ; voyager dans les bancs lorsque les élèves font un exercice, Cette observation nous a permis d’acquérir de nouvelles astuces pour maintenir le calme et l’attention des élèves, pour les faire participer, etc.
Avec madame Verhaert, nous avons eu l’occasion de faire des recherches dans le programme. Même si ce n’est pas évoqué clairement dans l’activité, renseignante a forcément du faire des recherch S n’est pas évoqué clairement dans l’activité, renseignante a forcément du faire des recherches dans le programme pour réaliser sa leçon. Dans le cadre du cours d’AFP 1, nous avons vu la situation problème. Il nous a fallu plusieurs fois résoudre des tâches problèmes de communication, pour arriver à la fin à un travail final.
Nous avons donc pu constater que madame Fayt a utilisé ce procédé dans cette leçon. En effet, la tâche problème de communication étant les hypothèses à vérifier (dans les exercices) et le travail final étant un travail écrit « j’écris l’épisode d’un carnet de voyage mettant en scène un héros dans une situation délicate Conclusion Cette phase d’observation m’a permis de voir des aspects différents du métier de professeur par rapport au temps où j’étais moi-même élève. a m’a également confirmé l’idée de vouloir devenir professeur de français. Je sais dorénavant que ce ne sera surement pas rose tous les jours, mais je sais aussi que c’est ce que je veux réellement faire. a m’a permis également d’avoir un premier aperçu du genre de classe et d’élèves que je peux avoir plus tard, et j’aurai d’autres occasions (stages, etc. ) pour pouvoir comparer et être prête plusieurs cas de figure. Il n’y a pas d’élève idéal, du moins à mes yeux.
Chaque personne, chaque adolescent est différent aucun n’est jamais parfait mais pour moi, il suffit d’appren aitre pour s’y attacher, d’apprendre à les connaitre pour s’y attacher, même les cas les plus difficiles qui ne demandent finalement qu’un peu d’intérêt. (Je parle en connaissance de cause : ayant passé, durant 2 ns, tous mes vendredis après-midi dans une classe de 3ème primaire, je peux affirmer que le garçon le plus turbulent de cette année-là ne demandait qu’un peu d’affection qu’il ne recevait pas souvent à la maison pour se calmer et devenir un élève consciencieux. Cette heure d’observation m’a confirmé ce que je pensais déj être professeur, c’est à la fois être gendarme, psychologue et professeur. C’est un métier qui n’est pas facile, malgré ce que certaines personnes en disent, et devenir enseignant sans que ce soit une vocation rendra les choses encore plus difficiles. Il faut imer ce que fon fait, sans avoir peur des adolescents un peu plus turbulents que les autres.