atelier d’écriture
Atelier d’écriture: le récit court or 10 Sni* to View Août 1856, la famille Le Queré, profitant des derniers rayons de soleil avant de retourner dans leur maison de ville à Paris. Mirabelle regardait le paysage qui se dressait devant elle: au loin vagues venaient s’écraser sur les rochers. Son père, Paul ne le voyait pas beaucoup, mais, il avait l’habitude et l’indifférence qu’il portait sur son fils ne le dérangeait plus. arfols même ils avaient des moments complices comme lorsqu’il lui expliquait comment fonctionnait les chemins de fer, où Paul faisait semblant de comprendre Il savait savait à ses cotés, qu’au fond de lui il avec si peu d’expériences traversés ensemble, avec seulement huit années passées il admirait son père et regardait avec envie ses tableaux dans la véranda. Mirabelle aussi était heureuse, malgré la maigre complicité qu’elle avait avec Paul et Jean.
Ses relations avec Jean étaient parfois houleuses, mais tous deux n’étant pas rancuniers, ces chamailleries ne duraient pas éternellement. Au fond d’elle, elle savait pourtant que Paul ne se rendait pas compte de ses actes, mais ce n’est pas pour autant qu’elle lui ardonnait, rien ne la rendait plus triste que le visage malheureux du petit Paul, cet enfant était tout pour elle, Mirabelle obéissait au moindre de ses caprices enfantins.
Cette dernière vivait au même rythme que son fils, elle riait quand il riait, était heureuse quand il était heureux. Elle s’épanouissait de voir Jean peindre, une passion qu’il exerçait depuis sa tendre enfance. A chaque coup de pinceau, elle s’émerveillait de la précision, ainsi que de voir au fur et a mesure la peinture dev 10 pinceau, elle s’émerveillait de la précision, ainsi que de voir au ur et a mesure la peinture devenir un paysage, ou un simple portrait.
Mirabelle adoralt aussi par dessus tout sa maman, la grand mère de Paul, qui malgré son grand âge lui apportait beaucoup d’amour et d’affections ; c’est vers elle que Mirabelle allait parlé, parfois pleurer de sa vie, de sa discutions de la veille avec Jean, de la dispute avec Paul . Sa mère, Rose de son prénom, avait eu la vie dure, des enfants qu’elle n’a presque pas vu, un mari infidèle et bourru, heureusement décédé assez tôt pour laisser Rose vivre heureuse les quelques dernières années de sa vie.
Lorsqu’elle partait « faire ses emplettes c’était Rose qui était chargé de garder Paul, ce que tout deux appréciaient car ils étaient très proches et aimaient ces moments de complicité où ils parlaient de leur passe temps, de leur vie Paul adorait sa grand mère qui était toujours prête à jouer, ce que son père ne faisait jamais ; il comble son manque affectif envers son père avec sa grand mère , toujours là pour le consoler. Elle aussi comblait sont manque affectif de ses enfants qu’elle ne voyait plus suite à de nombreuses disputes et désaccord . an, Rose ne l’a jamais beaucoup aimé et n’a jamais partagé de moments de complicité avec lui ; elle lui a toujours reproché son manque d’affection envers son fils. Elle savait que l’attitude qu’avait toujours reproché son manque d’affection envers son fils. Elle savait que l’attitude qu’avait Jean envers sa famille attristait Mirabelle et Paul, et elle ne supportait pas de voir les deux personnes qu’elle aimait le plus au monde souffrir .
Mais par crainte de leur réactions, elle se taisait et évitait le sujet même si tout ça lui pesait. Malgré son indifférente avec Jean, sa vie lui suffisait et elle n’en emandait pas plus ; surtout qu’elle avait un secret, un secret bien gardé et dont elle ne parlait à personne . Elle faisait attention à chacun de ses gestes, à chacun de ses phrases pour ne pas prononcé son prénom : M. Richard Ce prénom qu’elle admirait tant, désirait tant, aimait tant !
Mais qui en même temps lui faisait si peur, peur que jean soit au courant, peur qu’un jour il découvre la vérité. Elle avait des fois si peur qu’elle voulait mettre fin à son secret, dire à M. Richard qu’elle ne l’aimait plus mais c’était faux : elle l’aimait par dessus tout, adorait quand il venait la chercher sur a plage près des rochers, et attendait avec impatience le jour prévu. Mirabelle admirait le tableau entre ses mains que la bonne, Anne, venait de lui apporter; puis pleura.
Oh non, le jour où Jean l’avait peint, elle ne se doutait pas qu’il allait devenir si précieux par la suite, qu’elle allait tant l’admirer et le regretter . Il représentait sa famille, il y a quinze a 0 Il représentait sa qu’elle allait tant l’admirer et le regretter famille, il y a quinze ans, avec au premier plan Paul, son fils tant aimé qui jouait tout seul au pied de la table. Ensuite on la voyait, lle en train de parler avec sa mère, Rose ; elles marchaient, faisant le tour du jardin en admirant les arbres et les fleurs.
Sa vie était tellement meilleure à cette époque, mais il c’est passé beaucoup de chose depuis, à commencer par ce qu’elle redoutait depuis toujours ; la découverte de M Richard par Jean, son mari. Depuis ce jour, la vie n’était plus comme avant ; Mirabelle n’a plus le goût de vivre et rien que la vue et même la pensée d’un des membres de sa famille lui fait peur. M. Richard se retrouvalt même dans le tableau qu’elle tenalt entre es mains : le chapeau de paille qu’il lui avait offert à l’occasion d’un dîner était là accroché à une branche, les ficelles au vent.
Ce chapeau fut la première interrogation de Jean : d’où venait ce mystérieux chapeau ? Ce n’était pas lui ni Rose qui lui avait offert et elle était revenue un jour de balade avec sans donner plus d’explications. Ce chapeau, elle ne le quittait plus, et d’ailleurs ce n’était pas le seul élément de coquetterie qu’elle se permettait ; en effet, depuis quelques temps elle passait beaucoup plus de temps dans la salle de bain . C’est pour ces diverses raisons que on mari commença à avoir des doutes ; il la PAGF s 0 bain .
Cest pour ces diverses raisons que son mari commença à avoir des doutes ; il la regarda de plus près, l’observa plus souvent et se mit à remarquer certains petits détails qui trahissait son habitude. Une haine l’envahissait au fur et à mesure que les jours passait : il se mit à rentrer plus tôt, et à lui faire savoir sa rancœur par de petites phrases menaçantes ; suite à celle ci, Mirabelle se renferma encore plus sur elle même et leur discutions devenait très froides. Un jour, Jean rentra plus tôt, espérant trouver une faille ?
Mirabelle pour enfin trouver un moyen d’ouvrir le débat, car il était jaloux mais en même temps n’avait pas de prétexte, ce qui le rendalt furleux A trois heure il était rentrer dans leur maison de campagne ; il faisait beau, et il savait que Rose et Paul étaient partis faire les courses en ville et mirabelle devait montrer à Anne, leur nouvelle bonne à s’occuper de la maison, et à lui montrer où se range toutes leurs affaires. Jean arriva donc en milieu d’après midi Anne état au courant de l’aventure qu’unt Mirabelle avec M.
Richard, mais elle se taisait. Mirabelle avait fait tellement de choses pour elle, elle lui avait proposer un travail, lui avait offert pendant quelques temps une chambre dhôte, mais plus encore, sa confiance. Ce jour là, Anne avait tout fait pour empêcher Jean de rentrer, elle lui avait raconté des mensonges, mais rien 6 0 Anne avait tout fait pour empêcher Jean de rentrer, elle lui avait raconté des mensonges, mais rien n’y fit. La force de Jean triompha et il entra dans la cuisine, y découvrit M.
Richard très proche de Mirabelle, il fut pris d’une rage SI intense qu’il cogna le meuble qui se trouvait à sa droite e n’était pas une surprise pour lui, depuis quelques temps il s’en doutait, mais le fait de l’apprendre fut un choc. Lhomme s’éloigna de Mirabelle, quant à cette dernière, elle tremblait de tous ses membres et transpirait, signe d’une grande pression et gène. Jean quitta la pièce, Mirabelle, elle, n’osait pas le rattraper, elle connaissait le caractère de Jean, impulsif et caractérielle. Elle le regarda s’éloigner, en serrant les polngs, tentant de maîtriser sa colère.
Le soir même, Jean ne rentra pas dîner, les soirs qui suivirent non plus Chaque jour, Paul interrogeait sa mère sur la mystérieuse isparition de son père, et chaque jour sa mère lui répondait la même chose, les larmes aux yeux, qu’elle n’en savait strictement nen . A sa majorité, Mirabelle prit la décision de tout avouer à son fils car elle voyait bien qui la disparition de Jean, avait un impact sur Paul, les quelques moments partagés avec sur père, il y pensait tous les jours, et cette disparition lui pesait mais il n’osait l’avouer à sa mère.
Mirabelle lui raconta toute l’histoire et n’épargna aucuns détails , elle 7 0 l’avouer à sa mère. Mirabelle lui raconta toute l’histoire et ‘épargna aucuns détails elle raconta sa rencontre avec M. Richard, sa première nuit à ses cotés, et enfin l’après midi où tout à basculé. Abasourdit, le jeune homme resta assis pendant une bonne minute, puis se leva sans adresser le moindre mot à sa mère. Pendant plusieurs jours, l’atmosphère fut tendue, Paul et Mirabelle ne se retrouvaient qu’au moment des repas, dans la plus profonde solitude.
Mirabelle se rendit compte de son erreur, jamais elle n’aurait dû lui raconter cette histoire, car à présent, elle avait perdu l’admiration qu’avait Paul pour elle, mais elle avait perdu encore lus, l’amour de son cher Paul, son fils unique. « Mademoiselle appela Anne. Cette dernière vint interrompre Mirabelle dans ses sombres pensées, aujourd’hui Paul était parti, avait quitté la vieille demeure, chose qu’elle avait encore du mal à accepter Anne arriva dans le salon, Mirabelle fut surprise de cette apparition si soudaine et Anne s’excusa immédiatement, par crainte de provoquer la colère de la vieille femme assise.
Elle leva la tête en direction de sa bonne, avec un air interrogateur, elle craignait que se sot sa mère, devenue très capricieuse et igrie depuis que son état avait commencé à se dégrader, depuis plusieurs années déjà. Mais cette fois ci, Anne n’avait pas le regard éprouvé et excédé que les autres jour . son regar 0 que les autres jour . son regard en disait long et ne laissait présager que des mauvaises nouvelles nouvelles. Mirabelle et sa bonne se précipitèrent à l’étage, elles frappèrent à la porte, légèrement, au cas où Rose se serait assoupie.
Elles entrèrent dans la chambre et découvrirent une Rose tres amaigrie et emmitouflée dans ses draps en satin. Elle elle n’avait pas touché ? son repas, posé sur le fauteuil en velours, Mirabelle était très attristée de voir sa mère dans un état pareil et se préparait au pire car elle savait que c’était un miracle que sa mère soit encore en vie. Les deux femmes restèrent jusqu’à tard dans la nuit, jusqu’au dernier soupir de Rose.
A présent, Mirabelle avalt perdu toutes les personnes qui lui était chères ; Jean, Paul puis sa mère qu’elle aimait tant. une partie d’elle même était partie avec liâme de sa mère, et une question devenait douloureuse : Comment allait-elle continué à vivre, à rire sans toutes les personnes qui la rendait eureuse, et qui là faisait s’épanouir au quotidien ? Durant plusieurs jours, la demeure fut sans vie, les deux femmes étaient présentes, mais leur esprit, lui, était ailleurs.
Mirabelle et Anne erraient dans la pièce qui avait été la chambre de Rose, elles vidèrent commodes, armoires, et autres vielleries présentes dans la chambre. En rangeant les affaires de Rose, au PAGF 10 armoires, et autres vieilleries présentes dans la chambre. En rangeant les affaires de Rose, au fond de la commode, Anna trouva un papier roulé en boule, avec dessus griffonné une dresse, elle était signé et daté de jean. Elle mit le papier dans sa poche, avec une idée bien en tête.
Le soir même, elle se mit ? l’écriture d’une lettre pour Paul, elle explique que sa grand mère avait succombé à la vieillesse, que sa mère avait plus que tout besoin de lui en ce moment et que leurs querelles pouvaient être oublié l’espace de quelques heures. Elle précisa également que Mirabelle n’était pas au courant de cette lettre. Aujourdhui était le jour où Mirabelle allait apporter des fleurs sur la tombe de sa mère, ce qu ‘elle faisait chaque mercredi depuis aintenant 3 semaines.
Pendant ce temps là, Anne s’occupait de l’interieur, dépoussiérait l’argenterie, astiquait les nombreuses photos de famille sur la commode, souvenir d’un temps où sa famille était soudée. Anna avait donné rendez-vous à Paul, mais sans grandes idées, elle ne se faisait pas d’illusions. Qu’elle fut sa surprise quant à la fenêtre elle vu apparaitre un homme, pas aussi étranger qu’elle ne le pensait . Il n’avait pas changé, il était juste devenu plus masculln, il avait grandi, c’était devenu un homme et ses 18 ans était loin derrière lui.