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RÉPUBLIQUE DU BENIN MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SECONDAIRE DE LA FORMATION TECHNIQUE ET PROFESSIONNELLE, DE LA RECONVERSION ET DE L’INSERTION DES JEUNES D. D. E. S. F. T. P. R. IJ O/P Collège d’enseignement général de koutongbe Expose de science de la vie et de la terre Classe: 1ereD2 AHOUANNOUGAN VI AGLOBOE patric ATINDOKPO S. Natha GROUPE : 10 or2s Iisa • Sv. ige to View Mr. Patrick AVOCEFOHOUN T. Justin HENRY J. Aristide MEDEGNONWA M. Felix MEHOUNOU A.

Admirable Introduction clarification conceptuelle Il – les grandes coupures de l’histoire de la vie et la terre A- Genèse du système solaire – La chute des particules minérales 2-La formation de la terre B-Tectonique des plaques magnétiques. l- Claricification conceptuelle L’échelle des temps géologiques est un système de classement de la succession utilise, notamment en géologique, pour dater les événements durant fhistoire de la Terre.

Les premières échelles des temps égologiques trouvent leur source au XVIIesicele mais prennent une forme de datation précise avec Arthur, dans les années 1930. Celui-ci publie une première échelle en 1937 et il reconnu comme le père de Péchelle des temps géologiques. Bénéficiant du croise Il – Les grandes coupures de la terre de l’histoire de la terre A-Genèse du système solaire La terre commence à se former, en même temps que le soleil et les autres planètes. ar accrétion de poussières minérale issues de générations d’étoiles nébuleuse proto-soleil). Ce point de départ se situe vers — 4 milliard et demi d’années. 1-La chute des particules minérales La chute des particules minérales les unes sur les autres, qui, du point de vue de la terre sont autant des météorites, fait monter la température de l’ensemble et conduit à sa fuslon. Les éléments se ségrégent.

Le fer liquide se dirige vers le centre et va former le noyau liquide ; autour, les silicates de magnésium, en un mélange de solide et de liquide surnage manteau a la périphérie une mince coute solide les az se séparent des solides re ou bien s’échappent et commence a constitue PAGF OF la chute de météorites de grande taille a pu avoir une influence majeure par les extensions biologiques engendres. La position de la terre par rapport au soleil a une influence sur les climats et en particulier les glaciations.

Quand on parle de l’histoire de la terre les physiciens parlent de ‘histoire de la terre, ils commencent par évoquer le Big-bang et les générations étoiles puis d’écrivent la formation de la terre ils passent ensuite le relais aux biologistes et font l’impasse quasi totale sur toute la maturation géologique nécessaire pour accompagner l’évolution biologique. Insistons sur cette liaison en prenant l’exemple de la planète Shadock.

Ces créatures évoluent (sur la figure, cela est manifesté par leurs changements de couleurs) car la planète sur laquelle ils vivent est bouleversée par des mouvements important (et plus ou moins invraisemblable l) qui la déforment. A- 4 milliard d’années, la terre est pratiquement constituée telle que nous la connaissons aujourd’hui, avec le noyau de fer liquide. La graine solide, le manteau devenu essentiellement solide ; il y a convection dans le manteau et entrainement de ce qui va constituer les plaques tectonlque.

La tectonique des plaques a donc un fonctionnement ancien. Elle était plus rapide au début, la croute étant plus mince, et le manteau plus chaud . Apres un milliard d’années, la croute est relativement épiasse. Les plus anciennes roche retrouvées sur terre ont 3. 6 milliards d’années. Derive des continents le glissement Dès 1596, dans son ouvrage Thesaurus géographique, Abraham Ortelius remarque la ressemblance du tracé des côtes amérlcaines et africaines. Il émet l’hypothèse que Ortelius remarque la ressemblance du tracé des côtes américaines et africaines.

II émet l’hypothèse que ces continents ont autrefois été réunis, et qu’ils ont été séparés à la suite de catastrophes : inondations et séismes. Dans la Corruption du grand et petit Monde (1668) le père François Placet affirme que la séparation de l’Amérique du reste des continents s’est produite endant le déluge universel 1. Au début du xxe siècle, l’Allemand Alfred Wegener remarque que par la disposition des continents, la côte est de l’Amérique du Sud semble s’emboîter parfaitement dans la côte ouest de l’Afrique.

D’autres bien avant lui s’en sont aperçus, mais sans proposer, à partir de cette observation, une théorie de la dérive des continents : un supercontinent, la Pangée, se serait fragmenté au début de l’ère secondaire et, depuis cette ère, les masses continentales issues de cette fragmentation dériveraient à la surface de la Terre. Il publie un ouvrage en 1915 : Genèse des océans et des continents : théories des translations continentales. Pour Alfred Wegener, les masses continentales se déplacent au cours des ères géologiques.

Au Permien (280 millions d’années), les continents actuels formaient un seul supercontinent : la Pangée (Panage : Terre unique en Grec). Ce continent s’est par la suite disloqué tout d’abord pour l’ouverture de l’Atlantique Nord, ainsi que par la séparation de l’Antarctique, puis ils ont continué à se fracturer pour donner naissance aux continents ctuels, qui, tels des radeaux, se seraient déplacés au cours des ères géologiques pour aboutir à la configuration actuelle.

Il s’appuie sur de nombreuses preuves morphologiques : emboitement des formes des continents, comme la corne su nombreuses preuves morphologiques : emboîtement des formes des continents, comme la corne sud-est du Brésil et le fond du golfe de Guinée, stratigraphiques (continuité stratigraphique entre l’Afrique et l’Amérique du Sud qui se traduit par l’existence des cratons faits de tonalites ou boucliers qui datent du Primaire), aléo climatiques (existence de galets striés datant du primaire en Afrique du Sud et en Amérique du Sud, ce qui témoigne que les deux continents ont subi les mêmes influences glaciaires au Primaire) et paléontologiques (même faune et flore du primaire au rang desquelles les mésosaures, les cygnonatus et les glossoptéris, sorte de fougère du primaire). Alfred Wegener pensait que la croûte continentale seule se déplaçait, en glissant directement «dans» ou «à la surface de» la croûte océanique. Mais, dans cette vision théorique, la dérive se caractérise par la formation de trou béant. Alfred Wegener proposait comme explication le broutage des continents sur le fond des océans pour expliquer la dérive. Cette intuition, pourtant étayée par des faits convaincants, a longtemps été rejetée par des géologues.

Les mécanismes et la morphologie interne de la Terre étaient encore inconnus pour une interprétation plausible de la dérive. La théorie de Alfred Wegener a soulevé de vifs débats. parmi les opposants, on peut citer Ludwig Diels ou Du Rietz, et parmi ses partisans, René jeannel. Convection dans le manteau Cest seulement dans la deuxième moitié du xxe siècle que la ommunauté scientifique, convaincue par la présentation de nouvelles preuves, accepte finalement le modèle de tectonique des plaques. Jean Goguel publie en 1942 son Introduction à l’étude mécanique des déformations de la PAGF s OF plaques. des déformations de la roche terrestre ; en 1952, il publie son Traité de tectonique.

L’hypothèse des mouvements de convection dans le manteau, émise par Arthur Holmes en 1945, propose un moteur plausible à ces déplacements de continents. Mais c’est la compréhension du fonctionnement des fonds océaniques, avec l’hypothèse du double tapis roulant formulée ar Harry Hess en 1 962, qui marque une véritable révolution des sciences de la Terre. Cette théorie s’appuie sur l’idée que l’expansion des fonds océaniques est réalisée par apport de matériaux profond au niveau des dorsales ; les fonds océaniques divergeant de part et d’autre de ces dorsales comme un double tapis roulant, pour se résorber au niveau des fosses qui longent certains bassins océaniques.

Cette nouvelle vision affine le concept primitif de « dérive des continents » : ce ne sont pas les continents (formés de croûte continentale) qui dérivent à travers les océans, mais des laques complexes généralement formées à la fois de croûte continentale et de croûte océanique, qui sont affectées de mouvements tectoniques dans leur ensemble. Dans cette nouvelle optique, la « dérive des continents » n’est qu’un phénomène apparent, entraîné par le phénomène physique qu’est la « tectonique des plaques Complément au modèle du double tapis roulant Le modèle du double tapis roulant comme moteur de la tectonique des plaques est remis en question à partir des années 1990. À partir de 1967, les expéditions Haroun Tazieff en Afar (Éthiopie) pportent la démonstration de l’origine océanique des systèmes volcanlques axlaux actifs de la région. Initié dans les années 1940 aux trav OF des systèmes volcaniques axiaux actifs de la région.

Initié dans les années 1940 aux travaux de Alfred Wegener par son professeur le tectonicien belge Paul Michot, Haroun Tazieff cherchait depuis 1948-49, après sa découverte du volcanisme dans la branche sud-occidentale du grand rift africain dans le Kivu, à en explorer la partie septentrionale, qu’il ne put explorer qu’en 1967, après plusieurs tentatives avortées. Les travaux de recherche décrivant les mécanismes d’expansion en Afar se sont poursuivis de 1967 à 1976, donnant lieu à une multitude de publications. Franco Barberi et Jacques Varet, prenant le relais d’Haroun Tazieff et de Giorgio Marinelli, se sont vu décerner le prix L. R. Wager par la Royal Society et l’Association Internationale de Volcanologie et de Chimie de l’Intérieur de la Terre (AIVCIT, 1972). Haroun Tazieff et ses équipiers ont réalisé en Afar les premières mesures directes d’écartement des lèvres d’un rift océanique.

Si l’ouverture augmente de deux centimètres en moyenne par n, il s’agit en réalité d’une succession d’ouvertures brutales de segments actifs, à compter en mètres sur des espaces de temps de l’ordre de 100 ans. Les événements récents mesurés par interférométrie sur images satellites le long de la chaine axiale de Manda Harraro sont venus confirmer ce type de phénomène en 2006. L’apport de Barberi et Varet a été de démontrer que les « chaînes volcaniques axiales » de l’Afar étaient de type « océanique » (au plan tectonique et magmatique) et assuraient le relais entre les vallées axiales de la mer Rouge et celles du golfe d’Aden.

De sorte ue la frontière des plaques entre l’Afrique et l’Arabie ne passe pas « en mer » par le détroit de Bab-el-Mandeb, mais à ter 7 OF plaques entre l’Afrique et l’Arabie ne passe pas « en mer » par le détroit de Bab-el-Mandeb, mais à terre à travers l’Afar. La nature de la tectonique et du volcanisme de l’Afar se distingue ainsi de celle du rift africain, qui reste un « rift continental » n’ayant pas donné lieu à la génération de croûte océanique nouvelle. Alors que les plus anciennes traces de tectonique des plaques dataient de 2,5 milliards d’années, une équipe internationale e chercheurs en géosciences en 2007 fait remonter cette tectonique à 3,8 milliards d’années au début de l’archéen.

L’analyse d’inclusions dans les diamants de la ceinture de roches vertes d’Isua (en) a révélé la présence d’éclogite caractéristique de la subduction d’une plaque océanique3. un modèle numerique de tectonique des plaques en deux dimensions suggère que vers 4 milliards d’années commencent à se former les plaques tectoniques et que la tectonique s’est généralisée 1 milliard d’années plus tard : les mouvements descendants de l’asthénosphère étirent les roches de la partie antellique de la lithosphère et déforment la taille des grains de la péridotite composant cette partie, ce qui la fragilise sur une période d’environ 10 millions d’années.

La convection mantellique se déplaçant au cours du temps, les zones fragilisées qui ne sont plus soumises à la déformatlon voient leurs minéraux grossir, ce qui « cicatrise la lithosphère sur une période d’un milliard d’années4. Identification des principales plaques tectoniques Plaques tectoniques (surfaces conservées) Articles détaillés : Plaque tectonique et Liste de plaques tectoniques. La théorie synthétique de la tectonique des plaques est énoncée en 1967 par l’Américain William Jason Morga 8 OF de la tectonique des plaques est énoncée en 1967 par l’Américain William Jason Morgan, le Britannique Dan McKenzie et le Français Xavier Le Pichon.

Lors de l’exposé de sa théorie de la tectonique des plaques (1968), Le Pichon distingue 6plaques lithosphériques principales5 : plaque africaine plaque nord-américaine (dont on distingue à présent la plaque caraibe) plaque sud-américaine (dont on distingue à présent la plaque de Cocos et la plaque Juan de Fuca) laque eurasiatique (dont on distingue à présent la plaque arabique et la plaque indo-australienne, à présent décomposée en plaque indienne et plaque australienne) plaque sud-pacifique (essentiellement la plaque de Nazca et la plaque antarctique) plaque nord-pacifique (Plaque pacifique et Plaque philippine) En tout 14 plaques principales sont comptées en 2013. De plus, des études ultérieures plus détaillées ont conduit à distinguer un certain nombre de plaques secondaires, de moindre importance. Le modèle actuel Schéma général des différents types de volcanisme associés aux ouvements des plaques tectoniques. Modèle de tectonique des plaques. Articles détaillés : Dorsale Obduction et Orogenèse.

On admet à présent que les plaques tectoniques sont portées par les mouvements du manteau asthénosphérique sous-jacent, et subissent des interactions dont les trois types principaux sont la divergence, la convergence, et le coulissage. À ces trois types d’interaction sont associées les trois grandes familles de failles : une faille normale est divergente (extensive) ; une faille inverse est convergente (compressive) ; un décrochement est transcurrent les axes d’extension et de ompression sont dans le PAGF un décrochement est transcurrent (les axes d’extension et de compression sont dans le plan horizontal). Zones de divergence une zone de « divergence » apparaissant dans une croûte continentale conduit transitoirement à la formation d’un rift. n rift actif en zone continentale ne peut pas être une situation prolongée, parce que l’éloignement des deux bords de croûte continentale créé un vide qui sera comblé par de la croûte océanique, créant à terme un nouvel océan. L’exemple le plus célèbre de divergence continentale est la Vallée u grand rift en Afrique, qui est en train de séparer la plaque africaine de la plaque somalienne, qui se prolonge par le rift de la mer rouge, déjà en grande partie submergé, qui sépare la plaque africaine de la plaque arabique. Quand les croûtes continentales se sont suffisamment séparées, la zone de divergence se retrouve en milieu océanique, et sépare deux surfaces constituées de croûte océanique. ne telle zone de divergence océanique éloigne deux plaques l’une de l’autre, couplé à une remontée du manteau entre elles, permettant la formation continue de croûte océanique. Leur rontière divergente correspond à une ride océanique ou dorsale, lieu de création de lithosphère océanique et théâtre de volcanisme intense. En dehors de leurs bordures, les plaques sont rigides, de géométrie fixe : s’il y a des zones de divergence créant de la surface terrestre, il y a nécessairement aussi des zones de convergence où la surface terrestre peut disparaitre. Les zones de divergence sont donc nécessairement accompagnées de zones de convergence. Morphologie des dorsales océaniques l_Jne dorsale est toujours formée de segments de divergence, séparés par des failles tr