App 4
App no I Description du contexte : Je suis actuellement dans le foyer pour polyhandicapés. Nous sommes l’après-midi et une collègue AMP me demande si je veux participer à un atelier collage et dessin dans une salle écartée des autres résidents. Il y a 4 patients à guider et à sunaeiller, dont Mr D, âgé de 27 ans qui est atteint de déficience intellectuelle, de troubles du caractère, d’écholalie, il n’est pas toujours cohérent, quelques fois agressif.
Cette déficience mentale est due ? l’apparition d’une encéphalopathie épileptique à l’âge de 2 ans, ui suite à une crise a laissé des séquelles neurologiques. Je suis donc censé dans cett dans la réalisation de c IV org heure afin de canalis l’é:-. ,’. repas et faire travail Présentation des intentions : uider les patients nsé durer une demi- Ete après l’heure du Dans cette situation, mes intentions sont tout d’abord de mieux connaître les résidents, en observant, et en analysant leurs comportements, leurs habitudes, au cours de cette activité.
Ensuite mon intention est surtout de voir ceux qui ne sont pas dans le refus et ceux qui le sont lorsque l’on propose une activité. Je compte m’y prendre en allant aux côtés des résidents en discutant avec eux ou en utilisant une communication adaptée pour ceux qui ne commun Swipe to vlew next page communiquent pas verbalement. Je veux les accompagner dans la réalisation de leur activité sans intervenir dans le choix des dessins, je veux voir ce que ces dessins représentent pour eux, une f01S la production fini, et je veux me rendre compte de leurs propres interprétations.
Procédure d’action Le 12 septembre 2014 dans le foyer pour polyhandicapés, une collègue AMP m’interpelle en me demandant si je veux assister ? un atelier dessin et collage destiné aux patients les plus autonomes, afin de stimuler leur inventivité et leur imagination et également pour canaliser le trop plein d’énergie suivant le repas, pour voir comment cela se déroule, ce que j’accepte avec joie.
Nous sommes en début d’après-midi, 4 patients participent à l’activité, je dois les surveiller et être présent s’ils ont besoin, je marche donc en regardant les dessins des différents patients, lorsque Mr D. d’ordinaire plutôt très bavard m’interpelle pour me montrer ce qu’il a fait. Il me montre son dessin et commence à s’agiter un peu, et avance dans son fauteuil (monsieur D est contentionné au niveau du bassin pendant les activités et les repas car il fait des fugues) partout dans la salle.
Etant donné ses difficultés de concentration, je lui dis donc que ce qu’il fait est très bien, et qu’il faut qu’il continue en restant calme. Je poursuis donc mon chemin à regarder le travail des autres patients lorsque ma collègue AMP m’interpelle pour me dire que M le travail des autres patients lorsque ma collègue AMP ‘interpelle pour me dire que Mr D essaye de partir et que je dois l’en empêcher.
Je commence donc à aller vers Mr D pour lui demander d’arrêter de se décontentionner, cependant ne m’écoutant pas, je décide de me mettre face à lui, je m’accroupi pour être à sa hauteur pour qu’il me regarde et m’écoute, et je lui demande donc s’il veut bien rester assis et continuer de dessiner, cependant celui-ci ne voulant pas m’écouter essaye de continuer sa route en avançant avec le fauteuil, tout en essayant de se décontentionner.
Ma présence et ma carrure n’ont pas Pair e l’impressionner, il poursuit son chemin en me poussant, je lui demande une seconde fois d’arrêter, mais cette fois-ci j’utilise un geste physique pour le stopper, je mets mes deux mains sur chaque accoudoir et je l’arrête, cette fois-ci ma position fait que je le regarde de haut et je lui répète une dernière fois avec un demi ton plus haut de se calmer.
Je vois le visage de Monsieur D changer, il se met en arrière, je vois qu’il n’a pas supporté mon intervention et il commence à devenir violent et arme sa main droite pour me mettre une claque, que je reçois. Essayant d’éviter es coups et n’ayant pas prévu le fait qu’il allait devenir violent, je n’ai pas su quoi faire par la suite pour le calmer et pour le retenir, il ne m’écoutait plus du tout.
En ne voulant pas risquer de me faire frapper à nouveau je demande de l’aide m’écoutait plus du tout. En ne voulant pas risquer de me faire frapper à nouveau je demande de l’aide à ma collègue AMP qui était dans une pièce à côté. Elle arrive, je me recule donc, et laisse ma collègue faire, elle s’annonce et l’appelle par son surnom, elle lui donne des jouets, elle parle avec lui de sa famille, lui explique u’il ne fait pas sa chez lui et qu’il n’a pas à le faire ici.
Il répond oui et change de sujet. Une fois Mr D calmé ma collègue vient vers moi et me demande si je vais bien, je lui réponds avec le sourire que je vais bien. Elle me propose de sortir si je veux ce que je fais. Connaissances mobilisées . Compétence 3 : Accompagner une personne dans la réalisation de ses soins quotidiens Identifier des activités contribuant à mobiliser les ressources de la personne en vue d’améliorer ou de maintenir son état physique et psychique
Compétence 6: communiquer et conduire une relation dans un contexte de soins Définir, établir, créer les conditions et les modalités de la communication propices à l’intervention soignante, en tenant compte du niveau de la compréhension de la personne. Accueillir et écouter une personne en situation de demande de santé ou de son soin en tenant compte de son histoire de vie et de son contexte. Instaurer et maintenir une communication verbale et non verbale avec les personnes en tenant compte des altérations de communication. Rechercher et instaurer un climat de confiance avec I