Annexes Etude De Gestion

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Annexe 1 source LE MONDE – publié Le 31. 08. 2012 à 11h02 Les opérateurs historiques tentent de contrer l’agressivité tarifaire de Free « Vous allez voir, ça va être quelque chose dont on devrait beaucoup parler.  » PDG de SFR, Stéphane Roussel l’assure : fini de courber l’échine face à Free, l’heure de la reconquête a sonné. Cest en tout cas le message qu’il a voulu faire passer lors de la présentation, jeudi 30 août, des résultats semestriels de Vivendi, sa maison mère.

La preuve, assure-t-il, SFR va lancer début octobre un forfait mobile »révolutionnaire », associé à une nouvelle arque et daté de services « tres innovants » Swipe to page Il est temps ! Bouscul janvier, dont ils n’avai opérateurs télépho ni l’arrivée de ce nouve Si Bouygues Telecom or 35 es ». to nextÇEge ree Mobile le 10 ivité tarifaire, les ent six mois après santé dégradé. clients mobiles entre le 1er janvier et le 30 jun 2012, SFR en a vu 673 000 prendre la porte et le leader Orange, 770 000 !

Dans le même temps, Free Mobile a engrangé 3,6millions d’abonnés, soit 5,4 % du parc français. « Nos recrutements se répartissent de manière équilibrée entre les Freenautes et les nouveaux venus, qui ne possédaient parfois as de forfait, ce qui prouve bien que nous avons dynamisé le marché », se réjouit Maxime Lombardini, directeur général d’Iliad, la maison mère de Free, qui vise 15 % de part du marché mobile ? moyen terme et 25 % à long terme. Bien sûr, le rythme des départs chez les opérateurs opérateurs historiques s’est ralenti au fil des mois.

Chez Orange, les pertes nettes de clients ont été divisées par quatre entre le premier et le deuxième trimestre, signe que l’opérateur s’est retroussé les manches pour les retenir. « Nous avons stabilisé la situation », assure de son côté M. Roussel, de SFR. Certains opérateurs ont même commencé à regagner des abonnés au deuxième trimestre, notamment ceux utilisant un forfait, plus rémunérateurs que les clients achetant des caftes prépayées et qui se reportent massivement sur le mini-forfait de Free Mobile à 2 euros par mois.

LA GUERRE DES PRIX NE FAIT QUE COMMENCER Bouygues Telecom affiche ainsi un solde positif de 55 000 abonnés au forfait au deuxième trimestre, grâce notamment à son offre discount B & You, qui revendique 452 000 clients ? fin juin 2012. Même chose chez SFR, qui annonce avoir regagné 122 000 abonnés au deuxième trimestre, alors que les analystes ‘attendaient à ce qu’il en perde à nouveau. Seul souci : les opérateurs ont dû rogner leurs marges pour retenir leurs clients, en baissant lesprix de leurs forfaits ou en lançant des offres low cost, comme Red chez SFR ou Sosh chez Orange.

Du coup, leurs résultats financiers ont plongé. Le bénéfice net de Bouygues Telecom a fondu de 57 % au premier semestre par rapport aux six premiers mois de 2011, à 92 millions d’euros, tandis que son chiffre d’affaires a reculé de à 2,7 milliards d’euros. Cette dégringolade s’est même accélérée au deuxième trimestre, avec des revenus mobiles en baisse de 10 Même schéma chez SFR : l’activité mobile a reculé de 8,8 pour atteindre 3,8 milliards d’euros au premi 5 l’activité mobile a reculé de 8,8 pour atteindre 3,8 milliards d’euros au premier semestre, et le bénéfice opérationnel a baissé de 10,3 à 1,1 milliard.

Orange, qui présentait ses résultats semestriels le 26 juillet, a quant à lui limité le recul de son chiffre d’affaires mobile en France à 1,1 %. Mais la guerre des prix ne fait que commencer et rien ne dit que les marges des opérateurs vont remonter. Le 23 août, Orange a par exemple aligné son principal forfait Sosh, vendu uniquement ur Internet, sur les tarifs de Free, avec appels et SMS illimités, plus 2 Go de connexion Web (3 Go chez Free Mobile), pour 19,90 euros par mois. Le lancement des offres illimitées à 20 euros par mois pèsera sur les marges du secteur », reconnaît dans une note de conjoncture le cabinet CM-CIC Securities. Les opérateurs historiques ne désespèrent d’ailleurs pas de convaincre le gouvernement qu’il faut imposer plus de contraintes à Free, notamment en termes de couverture. Avec Free, « l’amélioration du pouvoir d’achat va être passagère ; pour l’emploi, c’est un désastre et l’Etat devraity perdre en recettes iscales autour de Imilliard d’euros par an », a ainsi accusé Martin Bouygues, lors de la présentation de ses résultats semestriels, mercredi 29 août Source : http://www. emonde. fr/technologies/article/2012/08 /31 /les-operateurs historiques-tentent-de-contrer-l-agressivite -tarifaire-de-free 1753980 651865. html Annexe 2 Source 20 MINUTES – Publié le 08/06/2011 SFR prêt à baisser ses tarifs pour garder ses clients Franck Esser, PDG de SFR, lors de la conférence annonçant la refonte de son offre, le 7 juin 2011 à Paris WITWSIPA TELECOM de la conférence annonçant la refonte de son offre, le 7 juin 2011 ? paris WITT/SIPA TELECOM – L’arrivée de Free Mobile et les tarifs pratiqués par les nouveaux arrlvants donne quelques sueurs froides à l’opérateur, qui préfère prévenir que guérir…

Mieux vaut prévenir que guérir? SFR anticipe l’arrivée de Free mobile et de sestarifs annoncés comme à prix «cassés». L’opérateur télécom SFR a annoncé mardi la refonte intégrale de ses offres mobiles, assortie de baisses tarifaires de l’ordre de 25%. «A compter du 1 5 juin, tous les clients (anciens comme nouveaux) de SFR bénéficieront d’une nouvelle politique tarifaire ui récompense davantage leur fidélité », indique l’opérateur dans un communique.

Lutter contre le désabonnement La filiale de Vivendi veut ainsi limiter d’un point le taux de désabonnement chez ses clients pour ramener le «churn» ? 14%, et compte relancer ses conquêtes grâce à la simplification de sa grille tarifaire. «ll y a six mais avec (le PDG) Frank Esser, on a redéfini notre stratégie d’entreprise On passe de 33 ? huit tarifs», a expliqué Frank Cadoret, le directeur général des segments grand public et professionnel. Concrètement, SFR proposera désormais 3 formules et 8 forfaits (lire le détail des orfaits proposés ici).

Cette refonte complète comprend la «baisse du prix du forfait mensuel à l’issue de la période d’engagement, le renouvellement de mobile proposé au tarif « nouveaux clients » pour tous», et l’ensemble «des formules disponibles avec ou sans mobile, avec ou sans engagement ». En clair, à l’issue de son engagement, si l’abonné choisit de conserver son appareil, il pourra bénéficier de 5 l’issue de son engagement, si l’abonné choisit de conserver son appareil, il pourra bénéficier de conditions préférentielles. Les principaux changements Qu’est-ce qui change exactement?

SFR va miser une partie de sa stratégie surles abonnements vendus sans mobile. «Le client changeait parfois son mobile sans qu’il y ait de véritable innovation dans le produit, simplement parce qu’il renouvelait son forfait et que le portable lui coûtait un euro», explique Frank Cadoret. Selon lui, la vente d’un smartphone subventionné (vendu avec un abonnement donc moins cher que vendu «nu», sans abonnement) coûte plus d’une centaine d’euros à l’opérateur, voire même jusqu’à 600 euros dans certains cas. En clair, il sera possible de souscrire un abonnement, sans changer de téléphone.

En contrepartie, le prix du forfait baisserait jusqu’à ou 45%. Le groupe français, qui recrute aujourd’hui 1 de ses clients grâce à des offres de téléphonie vendues sans mobile, estime pouvoir atteindre dans un an le cap du million d’abonnés acquis sans subventionner d’appareil. Quant à ceux qui voudront changer de téléphone, ils pourront bénéficier des mêmes tarifs attractifs que ceux habituellement réservés aux nouveaux clients. Récompenser la fidélité Autre changement: de nouveaux tarifs, plus avantageux, destinés aux clients actuels pour récompenser leur fidélité.

Et les inciter ? se réabonner. Ainsi, les clients en fin de période d’engagement verront baisser le prix de leur forfait mensuel jusqu’à g euros, sans contrepartie. Ceux qui choisiront de se réabonner 12 mois ou de conserver leur mobile auront droit à une autre remise, pouvant aller jusq PAGF s 5 mois ou de conserver leur mobile auront droit à une autre remise, pouvant aller jusqu’à 14 euros. A quelques mois de l’entrée sur le marché de Free Mobile, la filiale d’Iliad, qui a promis de prendre des parts de marché en cassant les prix, SFR estime que la refonte de ses offres défie toute concurrence.

Aux autres opérateurs de parler. S. C. avec Reuters Source : http://wmw. 20minutes. fr/web/737207-sfr-pret baisser -tarifs-garder-clients Annexe 3 Source USINE NOUVELLE – Publié le 05/01/2012 Free Mobile : les stratégies des opérateurs concurrents Comment réagir face à un nouvel arrivant qui affirme pouvoir proposer des abonnements téléphoniques deux fois moins cher que vous? Alors que le lancement de Free Mobile est attendu d’un moment à l’autre, Orange, SFR et Bouygues sont bien sûr en embuscade. Le point sur leur stratégie.

L’arrivée imminente de Free sur le marché de la téléphonie mobile inquiète les opérateurs en place. Et le PDG de Free, Xavier Niel, semble s’en amuser : ‘Quel sera le prochain croche-pied qu’ils me feront ? Tout le plaisir est là : les déjouer! « , a-t-il déj? eu l’occasion de préciser. Orange, SFR et Bouygues ont en effet mis en place des contre-attaques pour contrer le nouvel arrivant. Chacun en fonction de ses moyens. Orange reste serein Interrogé par le Figaro, le PDG d’Orange, Stéphane Richard, ne s’est pas montré inquiet de l’arrivée de Free.

Son groupe a pourtant lancé une marque low-cost, Sosh, ciblant les jeunes. Cette opération est ouvertement considérée comme un contre- feu pour limiter l’impact d e Free Mobile. Selon PAGF 5 l’impact du lancement de Free Mobile. Selon Stéphane Richard, Sosh aurait séduit 35 000 clients à la fin de 2011. Les deux opérateurs ont une relation particulière : c’est grâce ? l’accord d’itinérance signé avec Orange que Free peut lancer son offre mobile. Quand le réseau de Free se montrera insuffisant dans certaines zones, les installations d’Orange prendront le relais. La concurrence est rude avec Free, mais elle s’exerce dans un climat serein et respectueux » déclare le PDG d’Orange. Leader historique du marché, l’opérateur n’est pas particulièrement menacé par le nouvel arrivant. Stéphane Richard affirme disposer de « tout un arsenal de ripostes commerciales prêtes pour répondre très rapidement aux offres de Free ». Sa marque peut également compter sur son important réseau de boutiques pour rassurer les consommateurs. SFR mise sur la qualité A la fin de l’année 2011, SFR a communiqué sur la qualité de son sen,’ice.

Le 30 décembre, l’autorité de régulation des télécoms (l’Arcep) reconnaissait d’ailleurs que l’opérateur tenait ses objectifs : le réseau SFR couvre 98% de la population française en qualité 3G+. Une réussite qui tombe au bon moment, quand Free a devoir dépendre d’Orange pour assurer un service correct. Autre argument : la sécurité. Un chercheur allemand a affirmé fin décembre que le réseau GSM de SFR faisait partie des plus sécurisés au monde. Les lignes de l’opérateur sont donc plus difficiles à pirater, une autre façon de se différencier du style low cost prôné par Xavier Niel.

Comme ses deux concurrents, SFR a lancé une offre à bas prix : Red. Des forfaits à prix très réduits (à partir de 12 euros par mois 7 5 lancé une offre à bas prix : Red. Des forfaits à prix très réduits (? partir de 12 euros par mois) mais pour des services limités. Bouygues lance une offensive commerciale Bouygues Telecom, actuellement le plus petit des trois opérateurs mobiles, est certainement le plus menacé par Free Mobile. Le groupe utilise donc les grands moyens pour conquérir de nouveaux abonnés. Exemple : sur les 15 premiers jours de janvier, Bouygues offre un iPhone 4 avec ses abonnements Ideo (mobile + ADSL).

Une formule low-cost, B&You, a également été lancée avant les fêtes. Contrairement à SFR, Bouygues propose de l’illimité en voix et en data. Exactement ce que compte proposer Free. Lors de la dernière conférence LeWeb, Xavier Niel s’était amusé ? rovoquer ses concurrents. « Ce n’est pas sérieux, vous n’avez pas baissé les prix.  » Mais sa stratégie marketing, qui a consisté à faire monter la rumeur tout en gardant les tarifs secrets, est à double tranchant : si les offres ne sont pas assez révolutionnaires, la déception sera forte.

Source : http://mw/. usinenouvelle. com/article/free-mobile-les -strategies-des-operateurs-concurrents. NI 65857 Annexe 4 Source CHALLENGES. fr – Publié le 31 /08/2012 Free s’amuse à comparer sa marge à celles de ses concurrents Par Jean-Baptiste Diebold DÉCRYPTAGE Le 4e opérateur de téléphonie mobile ne gagne pas ncore d’argent avec ses forfaits, mais depuis son arrivée sur ce marché, ses concurrents dégagent 900 millions d’euros de profits en moins. Leurs marges restent néanmoins confortables.

Xavier Niel, fondateur d’Iliad (à gauche) et le directeur financier du groupe Thomas Reynaud. Le fournisseur d’accès à internet (à gauche) et le directeur financier du groupe Thomas Reynaud. Le fournisseur d’accès à internet a conquis un million d’abonnés au deuxième trimestre avec sa nouvelle offre mobile pour s’adjuger plus de du marché français en l’espace de six mois, et vise les 15% à moyen terme. Lancé le 10 janvier, le quatrième ntrant sur le marché mobile a séduit 3,6 millions d’abonnés en près de Six mois. Photo prise le 8 mars 2012/REUTERS/CharIes Platiau (c) Reuters Xavier Niel n’avait pas de mots assez durs, vendredi 31 août, en présentant les résultats du premier semestre d’Iliad pour fustiger ses concurrents « si je comprends bien, l’un coupe les oignons et les autres pleurent…  » Ce genre de piques est classique dans la bouche du fondateur de Free. Mais Xavier NIel a surtout trouvé un nouvel angle d’attaque : pointer du doigt les marges des trois grands opérateurs qui n’ont que très peu baissé depuis l’arrivée de Free. Celle de SFR a même progressé!

Entre 21% et 37% de marge d’exploitation Au premier semestre 2011, le rapport entre la marge d’exploitation (Ebitda) et le chiffre daffaires de la filiale de Vivendi était de 31 Il est monté à 32,1% cette année. Les taux de marge d’OrangeFrance et de Bouygues Telecom ont, quant ? eux, baissé d’environ deux points mais restent à un niveau élevé: pour l’opérateur historique et pour la filiale de Bouygues. Malgré tout, les gains générés par les abonnements ? la téléphonie mobile qu’engrangent les trois groupes ont subi une nette érosion. La plus forte baisse est pour Orange

Au total, ces opérateurs ont vu leur résultat d’exploitation baisser de 603 millions d’euros en six m total, ces opérateurs ont vu leur résultat d’exploitation baisser de 603 millions d’euros en six mois: 400 millions pour Orange France, 97 millions pour SFR et 106 millions pour Bouygues Telecom. Et ce manque à gagner pourrait continuer de grosslr à mesure que le prix du forfait moyen baissera. De son côté, Free mobile ne dégage pas de marge, compte tenu de ses investissements. Mais en intégrant le fixe, le groupe fait mieux que Bouygues Télécom avec une marge d’exploitation de Source : http://wmw. challenges. r/high-tech/20120831. CHA0296 /free-s-amuse-a-comparer-sa-marge-a-celle-de-sfr-orange-et -bouygues-telecom. html Annexe 5 Source LE NOUVELOBS – Publié le 01 /10/2012 SFR s’apprêterait à supprimer 1 . OOO à 2. 000 postes Par Boris Manenti, L’opérateur rouge envisagerait de réduire ses effectifs de 10 ? 20%, conséquence de la crise qui a suivi l’arrivée de Free mobile. SFR s’apprêterait à supprimer 1000 à 2. 000 emplois. L’opérateur rouge a subi de plein fouet l’arrivée tonitruante de Free sur le marché de la téléphonie mobile, perdant des clients, changeant e PDG et préparant un plan social.

L’arrivée de Free mobile « oblige [SFR] à serrer les boulons », selon le président du directoire de la maison-mère Vivendi, Jean-Bernard Lévy, dans « les Echos ». Le syndicat Force ouvrière (FO) craint ainsi, dans « le Figaro », l’annonce prochaine d’un plan de départs volontaires qui porterait sur « 1. 500 à 2. 000 postes », soit 15 à des effectifs. Une prédiction que tempère le « Journal du dimanche », évoquant 1. 200 suppressions de postes, tandis que PC Inpact parle de « seulement » 1. 000 salariés concernés. Le nouveau PDG de SFR, Stéphane