Analyse strategique de rnicrosoft

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Nous n’avons pourtant pas centré notre analyse sur ce groupe de produit, mais sur celui, a priori moins fondamental, des applications bureautique. Nous verrons urique, nous préciserons la définition de ce groupe stratégique, puis nous développerons l’an esse sur trois périodes différentes. 1. 1 . Le vrai-faux marché du système d’exploitation Le système d’exploitation, pour un ordinateur comme pour un micro-ordinateur, n’est jamais qu’un des éléments principaux, un des composants, au même titre que la carte- mère, la mémoire centrale, le professeur, etc..

Un parmi d’autres. En ce sens, il est indissociable de la machine pour laquelle il est vendu : en termes de fonctionnaires, en termes de choix de l’acheteur : on n’achète pas un système ‘exploitation, mais une machine, dotée d’un certain nombre de fonctionnaires, et d’un certain nombre de composants, parmi lesquels il y a le système d’exploitation. Premier boy durcissais amputa 23, 2011 | 23 pages 1.

PIC champ de bataille un micro-ordinateur, n’est ?mais qu’un des éléments esthétiquement, MAS-DOS n’ guère eu qu’un rival, le DUR DOS de Digital resserra, qui n’ jamais dépassé 5% des machines, et qui n’et n’était pas significativement différencié du MAS-DOS en termes fonctionnels. Quant à la concurrence qu’OS/2 d’ABÎME oppose au couple DOS/hindous, elle about it en fait insérer deux marchés relativement distincts, comme peuvent être distincts les marchés des machines hindous et des machines appelé machinations.

Au-delà, les notions de standards, de normes, de monopoles, sont loin d’être claires, et encore plus loin de faire l’objet d’un consensus –pour la micro-informatique comme pour les délectes ou les services publics! –. En ce qui nous concerne, (à savoir : ‘bile gâtes est-il le nouveau joint D. Rochelle? ‘), on se référera à une récente tribune de thé économies [1], à un article de fond des échos [9], ou à l’interview donnée par le speaker nette gnocchi à ride 16] pour se convaincre de la complexité du problème. Certaines, tus incertain », comment disent les Anglais. Nous tiendrons donc le leadership de microcosme, en matière de système d’exploitation sur PIC, comme un fait acquis que nous ne chercherons pas à expliquer pour lui-même. C’est bien sûr la clef de voûte de la stratégie de microcosme, et nous nous attacherons à comprendre comment et pourquoi. En considérant les application. Puisque application n’est rien sans le système d’exploitation sur lequel elle tourne. 1. 2. Un groupe stratégique phare : les applications bureautique pour PIC 1. . 1.

Définition du secteur Nous allons concentrer notre étude sur un secteur plus pertinent, qu’il convient de définir soigneusement : soigneusement : applications : logiciel au-dessus du système d’exploitation bureautique : ce que nous appelons maintenant bureautique ne s’est en fait défini que progressivement au cours des années 1980, avec l’arrivée d’application pour micro-ordinateurs sans équivalent dans l' »informatique traditionnelle », notamment les tableras (séparatistes’, le premier ayant été fiscal pour machines CPT/M) et les traitements de texte (roda processus’ aussi appelés extérieurs).

Ce qui est maintenant de l’ordre de l’évidence n’était alors qu’innovation et flou pour personnel commuter : seulement les applications de ce type écrites et commercialisées pour les machines utilisant d’abord MAS-DOS, puis MAS-DOS et hindous 3, enfin hindous 95, c’est-à-dire les machines dont microcosme avait écrit le système d’exploitation.

Bien noter la continuité entre ces systèmes, essentiellement due à la « compatibilité ascendante » AI convient d’insister sur le lien fort qui a toujours été constaté entre ces applications de type « bureautique » et la cric-informatique au sens large : c’est certes la machine qui supporte l’application, mais pour celles-ci, ce furent souvent les applications qui faisaient vendre la machine. Annonçant son premier PIC, ABÎME prit bien garde de préciser qu’il permettrait d’utiliser le tableau-vedette fiscal.

Et les ventes de machinations n’ont pu décoller que lorsqu’ éditeur –microcosme? y développa un tableau puissant excès–. Inversement, combien de machines ont fini oubliées faute d’avoir été dotées d’applications faute d’avoir été dotées d’applications intéressantes ou pour tout dire attrayantes? . 2. 2. Méthodologie : cinq « forces » particulières Nous allons donc analyser le jeu des mécanismes concurrentiels sur ce marché bien délimité.

Notre méthodologie s’inspirera de l’ouvrage de référence de machinale Porter (voir en annexe), reclassant les faits selon les « cinq forces de la concurrence », avec une déclinaison spécifique de ces « forces » : concurrence propre au secteur : rivalité entre les firmes ayant déjà des produits sur le marché, en l’occurrence des logiciels, en assurant la distribution, parfois l’assistance, et poursuivant le développement de futures versions. Entrants potentiels : firmes susceptibles d’introduire une application pouvant significativement concourir avec les existantes. Réunisses : nous appellerons ici fournisseurs les firmes jouant un rôle dans la définition des machines sur lésé elles tournent les application, fournissant des spécifications et caractéristiques techniques, disposant ainsi sur les firmes développant des logiciels d’un pouvoir assimilable à celui du pouvoir des fournisseurs dans des marchés plus traditionnels. Rappelons que l’analyse de Porter est centrée sur la notion de pouvoir, et c’est bien de pouvoir qu’il s’agit. Pouvoir initialement aux mains d’ABÎME, qui a créé la « norme personnel commuter », avant de la laisser échapper comme on le verra. Liens : classiquement, les acheteurs, individus, entreprises, ou plus récemment, HOME fournissant des fournissant des logiciels présentables (en plus du système) sur leurs machines. Substituts : au sens le plus large, les produits de remplacement, ensembles d’équipements susceptibles d’offrir des fonctionnaires comparables. Caricatureraient, une machine à écrire ordinaire était largement substitue à un PIC de la première époque équipé d’un traitement de este primaire! C’est dans cette catégorie que viendront les micro-ordinateurs ayant un autre système d’exploitation mais des outils bureautique de niveau décent.

Ainsi posé notre cadre d’analyse, nous constatons qu’il est fondamentalement trois périodes distinctes d’étude. Des analystes plus chevronnés sauraient sans doute les morceler en sous-périodes plus fines, mais nous devions faire l’économie de trop de détails. Comme références qui s’intéresse à cette histoire, nous pouvons proposer les ouvrages de déniée acabit (voir en annexe) ; ou les élections de journaux spécialisés de très bonne tenue tels que Le Monde Informatique ou Science & Vie Micro. 1. 2. 3.

Avant le commencement étaient les micro- ordinateurs Notre étude démarre en même temps que le PIC. En 1980, microcosme, âgée de 5 ans, est une des quelques star-up américaines développant du logiciel pour les premiers micro-ordinateurs. Le système d’exploitation le plus répandu de l’époque sur différentes plates-formes matérielles est le CPT/M de Digital resserra. La spécialité de microcosme est les langages de programmation, son produit- are est son biais, porté sur la plupart des machines L’industrie naissante, bouillonnante, de la micro sur la plupart des machines existantes.

L’industrie naissante, bouillonnante, de la micro- informatique voit fleurir à travers les états-Unis des premières machines qui, bien que fabriquées de façon industrielle, bénéficient d’une fiabilité médiocre et d’une utilisation réduite. En effet les premiers application ne sont pas encore là. Pour cette raison, ne jouissent de ces joujoux que les hobbies, souvent déçus par la faible qualité du matériel malgré le prix relativement élevé. Les constructeurs les plus fiables de l’époque sont appelé, commémore, ou dandy.

Les deux derniers, bénéficiant de bons réseaux de distribution, permettent au grand public de découvrir les micro-ordinateurs. L’année 1980 est une date clef, ABÎME décide de se lancer dans l’aventure du PIC. Malgré sa toute-puissance, pour aller aussi vite que ce marché vibration, il lui faut acquérir des compétences techniques à l’extérieur. Ainsi le microprocesseur sera le 8086 d’inter. Et Digital resserra préfère collaborer avec PP plutôt que de porter son CPT/M pour e futur ABÎME-PIC. Ces la chance historique de microcosme, qui devient le fournisseur du système d’exploitation de l’ABÎME-PIC.

Son système, le PIC-DOS bientôt plus connu sous le nom de MAS-DOS, est 16-bits contrairement au CPT/M qui est 8-bits. La norme ABÎME-PIC sera largement distribuée : qui le veut peut cloner. Et a fortiori, qui le veut peut développer, les deux premières applications disponibles étant le langage biais de microcosme et le tableau fiscal de vissions. Le cadre est fixé, la première période commence. 1. 3. 1982 – 1989 : MAS-DOS : le temps vissions. Le cadre est fixé, la première période commence. . 3. 982 – 1989 : MAS-DOS : le temps des pionniers Prologue : Les micro-ordinateurs sont des machines nouvelles, avec des fonctionnaires relativement nouvelles elles aussi, même si elles reprennent parfois des tâches à la base assez bien définies (par exemple le traitement de texte). En 1982, l’interrogation sur l’usage à faire d’un micro-ordinateur est loin d’avoir trouvé toutes ses réponses. C’est de la bureautique, mot nouveau, que viendront les principales. Mais il ne faut pas perdre de vue que les acteurs de ce marché ont navigué surtout dans le flou, le chaos.

Figure 1 : Forces concurrentes à l’ouvre pour les application bureautique sur PIC, première époque : 1982 – 1989 Cette période est la transition du chaos vers certaines structures. Selon la méthode retenue, nous pouvons en tracer certaines caractéristiques importantes : fournisseurs : selon la définition retenue, le principal fournisseur pour une entreprise souhaitant développer des application bureautique pour PIC est ABÎME, qui a dicté la norme et définit l’architecture, mais en choisissant deux fournisseurs : inter pour le microprocesseur, microcosme pour le système d’exploitation.

ABÎME ne s’est pas lancé sur le marché de l’application, pour les mêmes raisons qu’il avait sous-traité le DOS : manque de compétences en interne, manque de créativité et de réactivait –et absence de prescience du succès foudroyant du PIC. Reste microcosme. D’autre part, à plusieurs reprises durant la période, il a fallu plusieurs reprises durant la période, il a fallu trouver des compromis techniques, pour amender ou améliorer la norme ABÎME, s’entendre sur des conventions (par exemple pour l’exploitation des couches hautes de mémoire vive).

Ce genre d’accord réunit l’ensemble des acteurs du monde u PIC, soit au minimum inter, Lotus et microcosme. Donc défaut de distribuer le jeu seul, microcosme est au moins associé à sa définition. Nouveaux entrants : ils sont nombreux au début de cette période, puis se font plus rares. Ce qui tient d’une part à la nouveauté du marché (il y a des places à prendre, il suffit de se lancer… Et nombreuses sont les compagnies qui partent de zéro : Lotus, bordant, sautons-tâte… ) ; d’autre part à la faible complexité initiale des produits, qui permettent à de petites équipes de forger très vite de très bons produits.

Le tableau I -2-3 ou le SAGA paradoxe, pour e citer qu’eux, ont pu être mis en route en quelques jours par une poignée de programmeurs passionnés et acharnés. C’est véritablement le temps des pionniers, du Far-est selon la mythologie américaine. Produits de substitution : ils sont également très nombreux, dans le flou général il est encore difficile de dis?nageur le bon grain de l’ivraie. Et comme on la vu plus haut pour le software; le hardware voit un grand nombre de petites compagnies pousser comme des champignons, avec parfois des succès passagers mais considérables, par exemple assainira, mistral ou commémore. Aient : ils sont assez hétérogènes, et exercent des pouvoirs de choix assez contradictoires. En effet, initialement, un micro hétérogènes, et exercent des pouvoirs de choix assez contradictoires. En effet, initialement, un micro-ordinateur est un objet d’amateur, de passionné, de technologie, voire de hippie. Une telle clientèle a des critères particuliers, en particulier s’attache à avoir la machine la plus performante techniquement, la plus originale. Mais pas trop chère quand même. Ce n’est pas a clientèle « corporatif » d’ABÎME, DÉC. et autres habitués de l’informatique.

Qui considère elle l’ordinateur comme un investissement plus ou moins rationnel. Progressivement au cours de la période, le micro- ordinateur s’est mué en un outil de standing pour cadre dynamique : outil de « productivité personnelle », un objet sérieux en somme. Il est clair que le label ABÎME a considérablement accéléré ce mouvement, et donné un avantage aux machines « ABÎME et compatibles », moins « exotiques » pour des « gens sérieux » que des boites ornées d’une pomme! « règles » concurrentielles en gestation : chacun des acteurs sait en fait assez peu sur quels avantages concurrentiels ‘appuyer.