Analyse scène requiem for a dream

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TD relation son/image Analyse Requiem for a dream Requiem for a dream est un film de Darren Aronofsky réalisé en 2000. Ce film est basé sur un livre de Hubert Selby Jr. Dans ce film on suit le chemin de quatre personnes qui sont à la poursuite de ce qu’ils pensent être le bonheur. Il y a tout d’abord Sara Goldfarb, une mère veuve qui vit seule dans son appartement de Coney Island et qui passe son temps devant la télévision, elle rêve d’être invitée sur son jeu télévisé favori. Elle entreprend alors un régime drastique et se verra prescrire par un « médecin » des amphétamines.

Harry Goldfarb, son fils, est un Snipe to View Swipe Lo nexL page junkie qui passe ses j amie Marion aussi de un or 5 et Marion rêve de ne us s’inventer un paradis rêves, ils vont tente Tyrone et sa petite- e sont pauvres -e arents. Ils vont ir de réaliser leurs gent en revendant de la drogue ce qui ne va taire qu’aggraver leur dépendance. Le titre du film nous donne un aperçu de ce qui attend les personnages : un requiem est une musique composée pour les morts, le titre nous indique donc que les personnages dans la poursuite de leur rêve se dirigent vers une mort certaine.

Le scénario est construit sur les saisons en partant de l’é ‘été mais il n’y a pas de printemps, spring signifiant aussi ressort cela sous-entend qu’il n’y aura pas de happy end. Le film commence de manière « amusante D, il y a une sorte de présentation des personnages avec leurs problèmes qui ne sont pas encore irrémédiables. L’automne arrive, en anglais fall qui signifie chute ne symbolise pas celle des feuilles mais celles des personnages, les problèmes apparaissent et le film devient plus grave, lourd, pesant.

L’hiver commence, les personnages sont dans une spirale infernale qui les entraîne vers le fond. Il n’y a plus de retour en arrière possible. Les plans sont de plus en plus rapides (certains ne durent que deux secondes). La musique accompagne l’image, elle passe d’un motif mélodique à un autre de façon saccadée, les motifs sont répétés dans le but de nous donner l’impression qu’il n’y a pas de fin. La musique est très liée au film, elle est quasiment omni-présente.

Analyse de l’extrait : 8’16-14’19 Il y a une série d’effets sonores liés aux gros plans de la caméra : bruits de la télécommande, ouverture de la boîte de chocolat. Le Mthme du slogan clamé à la télévision est comme une sorte d’encouragement, au moment où elle mange le chocolat, la améra falt un gros plan sur elle, le brut de la télévision n’est alors plus qu’un fond sonore et une note tenue jouée deux fois, le son fait penser à une sonnerie de télépho qu’un fond sonore et une note tenue jouée deux fois, le son fait penser à une sonnerie de téléphone.

On entend une musique rythmée, qui fait penser au rythme du slogan de la télévision. On passe du salon à l’image de Marlon, Harry retrouve Marion, ils rentrent dans un immeuble dans le but de monter sur le toit. Il y a une alarme sur la porte qu’Harry désactive. Au moment où Harry ouvre la porte, la musique ‘arrête, le téléphone sonne, on change de plan et de lieu, on est de nouveau dans le salon de Sara. Elle est en train de régler la télévision, on entend les grésillements de la télévision quand le téléphone sonne.

Elle décroche et on entend alors moins la télévision, on entend tout ce qui est dit au téléphone comme si l’interlocuteur était dans la pièce. L’image est filmée en gros plan sur Sara, il y a quelque fois une alternance avec le gros plan de la télévision pour donner plus de poids aux paroles. Au fur et à mesure qu’elle parle au téléphone, on comprend que on rêve pourrait se réaliser, un producteur l’a contacté pour qu’elle participe à son émission de télévision préférée, une musique commence à se faire entendre. Elle est très légère, composée de seulement 3 notes qui sont répétées.

Au moment où elle raccroche, elle éteint la télévision, il y a de nouveau une série de gros plans avec des effets sonores reliés : bruits de la télécommande. La musique repren de gros plans avec des effets sonores reliés : bruits de la La musique reprend quand la caméra fait un gros plan sur une vieille photo d’elle mais elle est alors jouée sur une note tenue t sur un rythme. La caméra fait alors un travelling arrière et on voit Sara prendre une robe, il y a alors une serie de gros plans, on comprend que c’est la robe qu’elle portait sur la photo. Ily a une alternance de gras plans et de plans d’ensemble.

La musique module et devient un peu plus aigue. Elle nous amène sur un avion en papier qui vole, on entend comme des bruits d’oiseaux puis des notes sont tenues, Harry et Marion parlent mais on ne les voit pas tout de suite, on voit leurs mains plier les avions. Quand Marion dit « We know ? » La caméra change de plan, on les voit debout sur le toit de l’immeuble lancer ‘avion puis il y a une série de gros plans, il suit la personne qui parle La musique s’arrête sur l’image de Sara qui frappe à la porte de sa voisine pour qu’elle l’aide à fermer sa robe.

On voit la déception de Sara. Harry et Marion reviennent dans l’immeuble, Harry ferme la porte et Marion déclenche l’alarme, au moment où l’alarme se déclenche une musique électronique commence. Elle est très rythmée, elle accompagne l’image car il y a alors l’adrénaline de ne pas se faire prendre par le gardien de rimmeuble. On les voit sortir en courant et en riant de PAGF pas se faire prendre par le gardien de l’immeuble. On les voit sortir en courant et en riant de l’immeuble, le bruit de l’alarme s’estompe et la musique s’arrête.

On voit et on entend Sara ouvrir sa boîte au lettre. La caméra est dans la boite aux lettre. Elle est ensuite dans son salon, la télévision est allumée, on entend le bruit de l’horloge. Elle ouvre le livre de régime, quand il y a un mot souligné qui apparaît en gros plan « no sugar », « no… », une musique électronique se fait entendre sur le bruit de l’horlage. On a alors un aperçu de l’obsession dont elle va souffrir. Puis une note longue, et un peu angoissante est jouée alors que Sara repose le livre. Elle traduit l’état d’esprit de Sara.

Dans cet extrait comme dans pratiquement tout le film, il n’y a pas de transition par l’image pour passer d’une scène à fautre. On est dans l’appartement de Sara puis on se retrouve sur le toit de l’immeuble avec Marion et Harry, puis de nouveau dans l’appartement de Sara,… Les changements de plans nous emmenent dans un autre univers, on se met à la place des personnages. Ils donnent aussi l’impression que de toute façon le film avancera, quoi qu’il puisse s’y passer. La musique est égère mais aussi angoissante, comme si elle montrait que leurs rêves ne sont qu’illusion.