Analyse Man Ray Angoisse Inquie Tude

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GRIFFET Maxime 2411 . 2014 TL Littérature. Française Analyse du poème : ‘angoisse et L’inquiétude . Analyse du dessin Ce dessin de Man Ray daté de Man Ray représente une fougère Swip next page en pot; celle-ci donne son axe au dessin. Sa mains qui se croisent avec une allure masc allure féminine, allan la gauche. À l’interse branches de fougères, début par deux e, fautre avec une peut voir deux maigrelettes, comme si ces deux branches étaient en train de mourir.

La tige passe devant a main féminine, qui est au-dessous de la main masculine, cette dernière étant en revanche traversée par la tige. La tige se sépare ensuite en deux niveaux puis s’élargit en panache au sommet. À travers ce dessin, on peut voir une association énigmatique entre l’humain et le végétal, en dépit de tout réalisme. En regardant le dessin de plus près, on peut apercevoir que des mots sont inscrits sur les différents branches : à gauche de la main masculine, apparaît deux fois le mot « angoisse » et le mot ? inquiétude » sous les projection vers ravenlr.

II n’est alors plus question de fougères mais d’atres humains, en proient à des états qui les minent ou les transcendent. Il. Analyse du poème : Ce poème d’Éluard est composé de deux alexandrins, chacuns étant eux-mêmes composés de quatre infinitifs, tous sont des verbes d’actions qui nous concernent aussi bien nous, le lecteur comme le poète lui-même comme l’artiste qui l’est et qu’est le dessinateur.

Tous ces verbes possèdent une connotation sthétique : purifier dans le sens d’épurer un style, raréfier quelque chose, c’est-à-dire le rendre plus rare, moins dense, ce qui peut facilement se transposer dans une domaine esthétique; stériliser a lui, une connotation négative, puisqu’il s’agit de rendre improductif, que ce soit un homme, un animal, ou même une terre, mais il a aussi la valeur positive de détruire des germes pathogènes, se rapprochant alors du verbe purifier évoquant t alors la possibilité d’avoir une connotation esthétique.

Ainsi le premier vers est-il dans une logique d’épuration, de raréfaction poussée jusqu’au terme de la destruction : détruire. Le deuxième vers reprend sur une possible expansion avec le verbe semer qui signifie au sens propre répandre des graines pour qu’elles germent et poussent dans la terre, et prend très facilement une signification morale et esthétique. Très logiquement peut venir ? la suite le verbe multiplier puisque, en général, c’est bien dans ce but que l’on sème, 2