analyse Les Glaneuses – JF Millet
Les Glaneuses . Introduction Qul est Jean-François Millet ? Présentation de l’œuvre. -JF Millet b. 2. Analyse de l’œuvre a. Description b. Significations c. Courant artistique 3. Contexte a. Social Politique Reactions extérieu 4. 5. Modernité de l’œu a. Scandale vain ? Reprises ? or7 Sni* to View pour commencer, qui estJ-F Millet ? Né le 04 octobre 1814. C’est un artiste peintre réaliste français du XIXè siècle. II est particulièrement célèbre pour ses œuvres de paysannerie réalistes.
Il peint ce qui lui tient à cœur et sur ce qu’il connait. Aîné ‘une famille nombreuse de riches paysans, il fut initié à la culture par un oncle. II entre aux Beaux-Arts en 1837 et meurt le 20 janvier 1875. Il aura été un grand inspirateur des impressionnistes parties, le tiers supérieur occupé par le ciel, les deux autres par la terre. Dans le ciel, on voit des oiseaux. Sur la terre, il y a une grande différence d’échelle entre les glaneuses aux proportions imposantes et les moissonneurs minuscules à l’arrière-plan.
Les lignes obliques dessinées sur le champ donnent une impression de renfoncement. En avant-plan : vieille paysanne et deux plus jeunes, elles sont auvres, c’est pour ça qu’elles sont obligés de glaner des épis de blés pour se nourrir. Glaner, s’est ramasser le reste de blé laissé à terre après la grosse récolte Elles ne sont pas individualisées, on ne peut pas distinguer leur visage. Dos courbés = difficulté de leur tâche. La posture montre leurs souffrances. Leurs couleurs de bonnets sont vives est heureuses.
La lumière est rasante (c’est le coucher du soleil) ce qui accentue les volumes et met en avant leurs mains, leurs dos, leurs nuques pour montrer la dureté de leur tâche. Ily a 3 phases dans leur récolte : regarder, trouver, ramasser. La 3ème regarde attentivement pour trouver un epi égaré, la 1ère montre du doigt à terre, elle symbolise la trouvaille. La 2ème ramasse l’épi, l’acte est accompli, elle a trouvé un épi de blé. Elles sont quand même dignes, malgré ce qu’elles sont en tram de faire.
Les glaneuses n’étaient qu’un groupe restreint, il fallait demander pour s’aventurer dans les champs et ramasser les « restes » avant le coucher du sol PAG » rif 7 fallait demander pour s’aventurer dans les champs et ramasser les « restes » avant le coucher du soleil. En arrière-plan : Eux ne sont pas dans l’ombre. Charrette pleine de récolte ce qui montre une bonne récolte. L’atmosphère est plus légère. Il y a un homme à cheval qui surveille toute les activités des femmes et de la récolte. Cette image (homme/cheval – femmes) ajoute une distance sociale.
Mais qu’est-ce que J-F Millet a voulu montrer à travers ce tableau ? Au milieu du XIXème siècle, le monde paysan représente une majorité importante de la population française. A cette époque, les innovations technologiques sont créées, ce qui fait perdre beaucoup d’emplois. L’argent se fait onc plus rare et la misère s’installe. Jean-François Millet cherche donc à représenter une partie non négligeable de la société française. En l’occurrence, l’artiste met au centre du débat l’une des plus pauvres catégories sociales de l’époque.
En effet, l’artiste peint les trois glaneuses à la limite d’une zone très sombre, comme si la terre avait été brûlée et qu’elle ne valait donc plus rien. Elles sont représentées au bas de l’échelle sociale. Ainsi la grande différence d’échelle, l’éloignement, qul existe entre les trois femmes et les moissonneurs, en plus de mettre les glaneuses au centre du ujet, met en évidence le rejet de ces paysannes de la société. Ce tableau possède d’évidentes intentions sociales. En effet, la pauvreté PAGF3C,F7 la société. Ce tableau possède d’évidentes intentions sociales.
En effet, la pauvreté de ces trois femmes réduites à un travail de misère est dénoncée. Cependant, les couleurs vives et heureuses de leurs vêtements et de leurs bonnets atténuent cette impression. On peut ainsi penser que ces glaneuses sont dans l’obligation de paraître heureuse et de mentir sur leurs réelles conditions de vie et de travail. On peut voir que la 3ème femme ous regarde comme pour attirer notre attention sur la lutte et la misère quotidiennes des pauvres. A l’inverse, au fond du tableau, les habits blancs que portent les moissonneurs reflètent une joie réelle, une unité dans le travail.
Cependant, il semble que le message de l’artiste va au-delà des intentions sociales et que le réalisme du tableau sonne telle une revendication humaniste. Si l’on regarde plus les 3 femmes, on voit à travers leur vêtements, leur posture que Millet les a peintes digne, malgré ce pourquoi elles sont là. La couleur de leurs bonnets est vive. Elles sont toutes 3 harmonieuses, mais séparément pas. Pour leurs habits, les 3 femmes ont des vêtements propres, des belles couleurs, peut-être pour marquer la belle saison et donc pour montrer que l’été et le beau temps appartiennent à tout le monde, même aux pauvres.
Ces3 couleurs représentent aussi les 3 couleurs du drapeau français. Millet met en cause les riches et l’Etat de la condition de ces gens. Maintenant, sur I français. Millet met en cause les riches et PEtat de la condition de ces gens. Maintenant, sur l’arrière-plan, les charrettes remplie de blé ontre la richesse du patron ce qui crée ainsi une distance sociale entre l’avant et l’arrière-plan. L’arrière-plan est plus aéré et beaucoup éclairé par le soleil alors que celui-ci éteint les 3 dames.
Ce qui montre la puissance et l’aisance qu’ont les riches comparé aux pauvres. L’homme à cheval représente les propriétaires et la domination. Il surveille si tout se passe bien et si les glaneuses respectent bien le temps imparti. Les oiseaux sont représentés à la même échelle que les femmes. Ils picorent le reste des épis laisser par les gens de la ferme tout comme elle. Cette œuvre est reliée au courant réaliste. Le courant réaliste domine la seconde moitié du 19ème siècle. Ils s’éloignaient de la peinture d’histoire et des sujets mythologiques.
L’Académie privilégiait l’expérience intellectuelle et J-F connaissait bien le milieu paysan, lui-même venant d’une d’entre elle c’était d’ailleurs devenu son sujet préféré. De plus, il lui fallut IO années de recherche pour mettre fin à son tableau. L’Académie considéraient que tous pouvalt être sujets à fart. Le courant réaliste pour la peinture devient vite des représentations de ersonnes simples comme les ouvriers ou les paysans. C’est une scène rurale réelle. Les grandes différences entre les classes sociales : les riches ne C’est une scene rurale réelle.
Les grandes différences entre les classes sociales : les riches ne donnent aux pauvres que ce dont ils n’ont pas besoin ils ne reçoivent que la part d’ombre jetée sur l’abondance. La misère que côtoyaient les pauvres et les paysans. Bien sûr, il peint la réalité mais toujours à son « goût s, selon ses idées et sa perception du monde pour faire passer un message. Attention, Jean-François Millet ne voulait pas tomber dans le isérabilisme, ni le pathétisme, il voulait juste souligner à quel point la vie paysanne était difficile à l’époque.
Si J-F Millet a décidé de peindre ce tableau, c’est dans un contexte social. On ne peut pas se tromper sur son attention, il peint le bas de l’échelle de la société. Il veut montrer la différence entre les différentes classes sociales en dénonçant la condition des paysans et aussi la richesse de l’Etat. Millet est aussi un humaniste, il a ses propres idéologies et ses convictions. Le tableau ne dénonce pas seulement la condition des paysans, mais a « pauvre condition humaine » comme il disait. Tout homme doit chercher, se trouver et réaliser.
Les réactions ne fut pas toutes positives, malgré l’admission du tableau par l’Académie, il y a eu de nombreuses critiques. Les peintres réalistes avaient déjà la critique de rendre réelles les scènes de la vie courante. Certains ont commenté sa façon dérangeante de décrire la pauvreté à l’époque où les pauvres n courante. Certains ont commenté sa façon dérangeante de décrire la pauvreté à l’époque où les pauvres n’étaient pas bien perçus. Tandis que certain critiquèrent le sujet de l’œuvre qui, selon eux. n’était pas approprié.
La critique fut aussi centrée sur le fait que le glanage était jadis illustré dans l’air comme acte religieux. C’est un accès direct au Seigneur. Le glanage n’était pas du tout perçu comme symbole de pauvreté. Malgré les critiques, ce tableau se voit le plus célèbres de Millet et est l’emblème de la paysannerie de son époque. Le scandale s’est arrêté aux simples critiques. Les Glaneuses fit place à de nombreuses reproduction et de reprises, comme Ce tableau reste une œuvre mystérieuse parce qu’elle a peut-être eçu beaucoup de critiques, mais elle a reçu un immense succès.
Un tableau qui touche la condition humaine et qui plaide une cause que J-F Millet défendait. Le tableau a été détourné par l’artiste de rue Banksy, qui a fait sortir le personnage de droite du cadre de la toile pour le représenter fumant une cigarette. Balzac, dans « Les Paysans », met en scène le régisseur du comte de Montcornet qui conteste le droit de glaner. Deux ans plus tard, Jules Breton prend le contre-pied de Millet dans « Le rappel des glaneuses où celles-ci sont montrées sans souffrance, dans une ambiance presque festive.