Analyse de la guerre
Contenu INTRODUCTION AU THEME 1 Question de problématique général. 1 Clausewitz de la guerre 2 Chapitre 1 : le concept de guerre absolue 3 A/ Définition 3 B/ Du concept de guerre absolue à la guerre réelle4 C/ Le principe de polarité 5 D/ Des lois de probabilité et du hasard à la guerre, ou la guerre comme jeu 6 Chapitre 2 : Guerre et Politique7 A/ « L’étonnante Trinité » 7 3/ « La guerre est un d’autres moyens » 7 INTRODUCTION AU la politique par OF p g Question de problématique général.
Si la guerre apparais à travers l’histoire des hommes comme ne constante anthropologique est-ce parce que la violence guerrier est irréductible (indissociable/ consubstantielle) la nature humaine. Comme l’avait montrait dès l’antiquité (sous aspect positif) le philosophe Héraclite. Qui écrit dans ces fragments. « La guerre pomélos est le père de toutes chose, de toutes choses le roi » « il faut savoir que la guerre est universelle, et la joute justice, et que engendrées toutes chose le son et par elle nécessité. » ce que montre bien en grec l’étymologie commune des mots bios (VIe) et bia (violence).
Et ce qu’avait également montre sous un our négatif la philosophe anglais Hobbes au XVII dans le lévitant ou il définit l’état de nature. Comme un état de guerre de tous et de domination qui entre en contradiction avec la même volonté des autres. d’où pour Hobbes la nécessité de mettre en place un « contrat social » sous la forme de l’Etat qui vas endiguer les effet de la lois du plus fort, de cette violence généraliser pour promulguer des lois qui vont organiser les droit et les devoir. La violence peut-elle être contenue. Le cycle guerre paix qui semble profondément caractéristique de l’histoire humaine.
Est-il indépassable. On peut on le dépasser grâce à l’instauration de ce que philosophe Kant XIIX « projet de paix perpétuelle » En quoi guerre et civilisation peuvent elle être lié et plus encore en quoi guerre et politique peuvent apparaitre dans une continuité. Comme le suggère la formule de Clausewitz « la guerre est la continuation de la politique par d’autre moyen » ce qui signifierait qu’il n’y a pas de rupture entre politique et guerre et que l’une déterminerait l’autre Peut-on rationnaliser la guerre ou n’est-elle qu’un usage aveugle de violence brute.
Peut-il y avoir une guerre juste ou est-ce une contradiction dans es termes. jus ad bellum droit à la guerre. Et un jus in bello En quoi la représentation de la guerre en quoi la représentation de la guerre est-elle ambivalente: elles se partagent en effet entre glorification des qualités héroïque comme avec le genre de l’épopée. (lliade) mythe fondateur Moyen Age les chansons de geste(chanson de Roland, cycle arthurien) mis en avant des qualité courage force honneur abnégation.
Création d’un mythe fondateur nationale sou 0 en avant des qualité courage force honneur abnégation. Création d’un mythe fondateur nationale sous la forme du patriotisme. Mais qui peut tendre vers la propagande. Mais aussi représentation de la violence absolue destructrice. Jusqu’à en devenir absurde. Clausewitz de la guerre Repère biographique 1780 1 831 Clausewitz a une connaissance concrète, direct et pragmatique de la guerre. Dès 12 il rejoint l’armé. e 1792 1796 il participe aux campagnes du Rhin qui oppose les armé révolutionnaire de la RF aux différentes coalitions des monarchies européen. Clausewitz est le témoin d’un changement radical. dans les combat militaire puisqu’il assiste a la puissance qui se déploies lorsque qu’une nation entière est en arme en effet. es combat de l’Ancien Régime se caractériser par une armée de métier diriger par des aristocrates qui ne consterner pas tout la population et qui était circonscrit. es combats de la révolution FR se sont caractérisés par des levées en masse de citoyen combattant qui ont le sentiment de défendre un idéal politique Clausewitz continuera d’observer cette force après la révolution Fr au moment au napoléon s’impose au pouvoir et grâce à un instrument militaire rénover, la grande armée ce lance dans un politique expansionniste à travers tout l’Europe, (Italies, Espagne, uis à l’est le saint empire romain germanique jusqu’en Russie). Clausewitz va combattre les armée napoléonien il est fait officier e 1 801, puis il entre à l’académie militaire.
Il est fait prisonnier à la bataille d’Iéna au m officier e 1801, puis il entre à l’académie militaire. II est fait prisonnier à la bataille d’Iéna au moment de la défaite de l’armée prussienne. Il est libérer deux ans plus tard. Il est nommé professeur à l’école de guerre. II participe avec d’autre réformateur la reconstruction complète, sur de nouvelles basses, de l’armée prussienne car il est convaincu que c’est un instrument écessaire pour la libération de la Prusse et la constitution d’une unité national. Car les territoires germaniques sont très divisés soums à la domination impériale napoléonienne. n 1812, quand le roi de Prusse dallie à napoléon Clausewitz démissionne pour rejoindre l’armé du tzar Alexandre 1er il reste au service de la Russie jusqu’en 1814 mais après la défaite napoléonienne il est réintégrer dans l’armée prussienne ou il reste en disgrâce. Il devient directeur de l’académie de militaire de Berlin, moment au il constitue sont progrès de traiter de la guerre. Il meure en 1831 du choléra, la expérience pragmatique, concrète, réel de la guerre témoins d’une transformation de la manière de combattre en Europe. es forces sont décuplées. du fait des nations en arme il est convaincu que c’est autour de l’armée pensée comme un instrument politique que va permettre l’émergence d’une unité nationale. Objectif du traiter pensée la guerre à partir de son concept, son essence, pour mieux comprendre ensuite se qui éloigne toute guerre réel de ce concept. pensée la guerre non pas comme une rupture brutal qui ferait éclater la politiqu 4 0 ?clater la politique de l’état de droit mais tout au contraire comme une continuer, un instrument de la politique. P43) ne pas chercher à dégager des lois, des règles d’un art militaire que l’on pourrait applique en général. car tout guerre réel est irréductible a la modélisation pur est abstraite. de la guerre comme concept. Chapitre 1 : le concept de guerre absolue A/ Définition Des paragraphes 1-5, Clausewitz va « du simple au complexe » du concept au phénomène empirique. La guerre absolue n’est rien d’autre qu’un Duel amplifier. Ou chacun cherche par l’usage de sa violence la volonté antagoniste. a « terrasser » pour le rendre incapable de toute résistance D’où le fait que la violence employer soit exponentielle et conduise logiquement et conduise a la montée au extrême. Car la guerre est animée de « trois interaction » qui sont les lois pures et implacables du combat Chaque volonté cherche à imposer sa loi à l’autre sans limite Ces forces interagissent « le choc de deux force vive l’une contre l’autre » (P23) car tan que « je n’ai pas écrasé l’adversaire je droit craindre qu’il ne m’écrase ». Il y a une « poussée des forces au extrêmes ». Car je dois toujours surenchérir pour dépasser l’autre.
Clausewitz distingue deux sources qui animent deux combats. Il distingue L’intention hostile qui anime le luter et le sentiment hostile -L’intention hostile Raison – entendement -Sentiment hostile D passion humaine – sensibilité oin d’être f hostile 0 Raison – entendement -Sentiment hostile passion humaine – sensibilité Loin d’être freiné par l’intelligence, la violence propre à la guerre peut-être décuplé par les inventions de cette même intelligence humaine, la montée aux extrêmes qui est la conséquence logique. 3 interaction qui régisse le concept de guerre est y évitable ?
Cest donc une illusion « des âmes philanthropiques » de croire qu’on peut terrasser l’adversaire sans causé de blessures car dans le concept de guerre la sécurité d’un belligérants réclame que l’autre perde tous ces moyens de défense. Philanthrope- pacifiste (qui aime l’humanité) B/ Du concept de guerre absolue à la guerre réelle LE CONCEPT = le duel Page 25 : «Tout prend un autre aspect si nous passons de l’abstraction à la réalité » page 51 : « parce que la guerre dans la réalité est souvent très éloigné de son concept originel » Pourquoi cette éloignement de toute guerre réel par rapport ? on concept ?
Car il y a pour Clausewitz dans toute guerre réel 3 « facteurs modérateurs » (=temporisateur, atténuer) page 25-29 qui vont limiter la logique de la montée au extrême qui demeure pourtant l’horizon conceptuelle de la guerre. Cest ce qu’il appelle les «modification dans la réalité -On ne peut pas coupé/séparé/abstraire les conditions géopolitiques historique dans la quel elle a vu le jour. On ne peut pas comprenne l’origine de la Première Guerre mondial si on ne tient pas compte du Second Empire face à l’Allemagne en 1870. Toute guerre réel se déploie dans l’espac 0 compte du Second Empire face à l’Allemagne en 1870. – Toute guerre réel se déploie dans l’espace et le temps, elle a une durée, elle ne consiste pas une seul frappe en un seul coup. On tient compte du territoire, des forces alliées et les force en presences La guerre ne pourrai donc se concentré en seul point que si l’on était sur de pourvoir l’emporté en un seul coup, le première. les conséquences politiques de la guerre vont forcément influer sur le déroulement de la guerre puisque elle ne produit jamais un résultat absolue et définie en soit MOTS A CONNAITRE FACTEUR Modérateur ( les 3) 15-10-14 Conclusion Pour Clausewitz le concept de guerre absolue tend donc vers illimitation, en cela il y a une certaine fascination de Clausewitz pour se déchainement absolue de violent en quoi pourrait consister tout guerre.
MAIS toute l’analyse de C concise a montré que toute guerre réel procède quant à procède toujours d’une limitation dans le temps et l’espace : c’est une activité hautement finalisée, circonscrite (PAR LA POLITIQUE). (Cf: P30, 511-P43, 524) C/ Le principe de polarité P23 à 39 Clausewitz substitue à la violence exponentielle du duel, une iolence calculée et politiquement dirigé qui tient compte aussi bien de l’importance des fins politiques (qui sont plus ou moins grandes) et l’influence que ces fins produisent sur les masses.
Clausewitz aborde ensuite un autre paradoxe pour illustrée le décalage entre concept et réalité, le paradoxe de la cessation de l’acte militaire Comment est-il possible entre concept et réalité, le paradoxe de la cessation de facte militaire Comment est-il possible que 2 adversaire est simultanément ? suspendre les opérations militaire ? i Fon suit la logique de la guerre absolue, ce qu’il appelle le principe de polarité. Il s’agit d’un principe mécanique de polarité exacte dans lequel (l’avantage de l’un= le désavantage de l’autre/’ le gain de l’un la perte de l’autre) or cette polarité parfaite équilibrée ne s’applique jamais dans toute guerre réel.
Exemple : le belligérant A juge qu’il vaut mieux reporter de quelque semaines donc le belligérant B devrais préfère d’attaquer maintenant OR dans la réalité il n’en résulte pas forcément qu’il est avantage à attaquer à ce moment précis. Car trop de paramètres/variables qui relève de l’impondérable (=HASARD) pour que l’on puisse appliquée précisément la règle de olarité, pour 2 raison – L’absence de symétrie entre 2 forme de combat que sont l’attaque et la défense. Les actions d’offensive et de défenses ne sont pas réciproque de façon algébriques par + et par -, la paix n’est donc jamais un équilibre parfaite des forces. (Objectif positif : attaquant // objectif négatif : défenses) De surcroît, tout générale est contraint par « l’examen imparfaite de la situation » ce qui le conduite à formuler des suppositions / spéculations/ « conjectures » qui empêche l’application pure de la polarité.
C’est précisément ce qui rapproche toute guerre réel du ? calcul de probabilité » D/ Des lois de probabilité et du hasard à la guerre, B0 guerre réel du « calcul de probabilité » comme jeu La réalité n’est donc jamais pour Clausewitz n’est donc jamais l’application du modèle théorique et la logique du passage au extrême ne peut jamais être généralisé car il y a trop d’interférence entre ce concept et la réalité.
D’où le faite que la guerre relève du hasard dont C souligne l’extrême importance. La guerre est donc comme un jeu de cartes puisque les force en présence ne sont pas les même et les informations dont dispose es adversaires sont lacunaire, le générale ne connais que son jeu et ignore celui de l’adversaire dont les intentions sont difficile ? perse, de plus certain élément sont imprévisible (Climat, terrain). Dans la guerre le temps battent et rebattent les cartes.
Des lors que « les probabilités de la vie réel prennent la place de l’extrême et de Pabsolue du concept » l’interprétation des paramètres devient déterminante et la qualité de cette interprétation fait la qualité de l’homme de guerre. AITETION : ces probabilisées dont parle C ne sont pas objective/ mathématisable elle ne relevé pas d’un calcul précis. Mais d’une estimation subjective de l’esprit qui va évaluer l’intention de l’adversaire, les force les conditions, adversaire qui de son côté fait de même.
Ainsi, face à la guerre comme jeu de cartes dans lequel le hasard l’impondérable joue un rôle déterminant, resprit humain « Au lieu de la maigre nécessité festoie au royaume des possibles » (page 41). si on e humain « Au lieu de la maigre nécessité festoie au royaume des possibles » (page 41 ). si on explique cela, la guerre est en effets un défi permanent lancé aussi bien a l’esprit et a la sensibilité de l’homme de guerre. TRANSITION :
Contrairement à ce qu’avait pu soutenir l’homme de guerre Alexandre de Jomini, la guerre ne peut pas être modélisé comme on le ferait au jeu d’échecs, elle est une pour Clausewitz un jeu de cartes mais qui n’est en rien un divertissement car (page42) « elle n’est pas un passe-temps ni simple soif de risque de victoire ni l’œuvre d’un enthousiasme déchainé, c’est un moyen sérieux en vue d’une fin sérieuse et cette fin sérieuse c’est la politique qui la définit » Chapitre 2: Guerre et Politique A/ « L’étonnante Trinité » 527-28. Pour bien montré la nature composite/hétérogène de la uerre entre passion et raison.
Clausewitz définie la guerre réel comme toujours composé de 3 pôle indissociable « Instinct naturel aveugle qui consiste en la violence originelle sous forme de haine et de passion propres au peuple. « La libre activité de fâme », qui est l’imagination propre au général faisant face à l’imprévu et tirant parti des probabilités. « L’entendement », qui est la raisons, l’attribut du gouvernement qui subordonne la guerre à la politique, définie comme l’intelligence de Pétat personnifié. B/ « La guerre est une simple continuation de la politique par d’autres moyens » 0 0