Alber memmi
Une période qui enregistre révolte et revendications au sein des différents pays du Maghreb. Or on ne peut parler Memmi; l’un des ess Ainsi Albert Memmi( almarès livresque e premier roman de sa s évoquer Albert ngue française. ède un large p g en 1953, a été le Cextrait que nous avons se répartit en quatre paragraphes et raconte une phase de l’adolescence de l’auteur narrateur qu’il assimile aux moments les plus difficiles de sa vie. En effet, ce texte annonce son appartenance au genre autobiographique dès le début.
Ceci se confirme par l’omniprésence du pronom personnel « je » et les détails qu’il donne à propos de sa famille, son prénom et sa religion. ShAipe to Wew next page religion. En effet, tout au long du texte l’auteur narrateur ne cesse ‘émettre des critiques autour de son prénom d’où le passage « J’ignorais que je portais un nom si ridicule, si révélateur ». De même il ne ménage guère ses origines et ceci en insultant son propre grand-père « débile vieillard » qui n’est autre que le symbole de ses ancêtres.
Ce refus de soi va jusqu’au dénie de la religion qui apparait dans la phrase suivante: » (… )marquait ma participation à la tradition juive », où l’auteur narrateur se place en observateur de la religion. Par ailleurs, dans la deuxième partie du texte, l’auteur narrateur use du même ton agressif et ironique à la fois afin de crier sa ouleur, sa souffrance, sa révolte et son désarroi. En somme ce texte autobiographique n’est qu’un prétexte pour critiquer la vie que menait les juifs tunisiens durant la colonisation.
Afin de bien définir le style de A. Memmi nous allons nous appuyer sur les propos de Jean Louis Joubert dans son Anthologies des Littératures francophones du monde arabe: « L’œuvre de Memmi se caractérise par un besoin constant justification, d’explication, de plaidoyer; une passion très de forte éprouvée pour le pays natal ou la communauté d’origine, qui n’exclut nullement la critique, voire le sarcasme ».