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NICOLAS CANTEl_aup LE CONNAITRE ET OECHIFFRER SON HUMOUR Introduction Nous allons naus Intéresser un nouvel as de la carlcature, le vous présente Nicolas Canteloup et ses imitations saisissantes de personnes Eco financiere Économie Financière : Mardi 3 février On appréhende la monnaie par ses fonctions ; – rest d’abord un instrument de mesure – un instrument d’échange instrument de réserve Mouton en latin pecus On repère ensuite la Dissertation Faits et Statistique Fmplacement L’Furnpe du sud-ouest, bardant la Baie de Biscay, Mer Méditerranée, le Nard L’Océan atlantique. Montagnes de Pyrénées, le sud-ouest de France Capitale Madrid Cllmat : modéré : les étés cl… Projet de code de la famille du mali l’aménageant de façon parfois peu scientifique, la plupart de la littérature de l’époque sur PIE-1,2 ainsi qu’un nombre considérable de recherches supplémentaires sur les émotions et leurs relations avec le cerveau et les comportements sociaux. Il mentionnait également des programmes éducatifs destinés à aider les enfants à développer leurs compétences émotionnelles et sociales.

Le livre mettait en exergue des remarques déjà formulées par Mayer & Salovey suivant lesquelles les personnes pourvues d’une grande intelligence émotionnelle pouvaient être plus efficaces socialement à divers égardsl. Allant encore plus loin, Goleman n’hésitait pas à clamer haut et fort les vertus de l’intelligence émotionnelle tant sur le plan des relations avec nos proches que sur celul de la réussite professionnelle, tout en soulignant aussi ses effets positifs sur notre santé (Goleman, 1995a, p. 13).

Cette combinaison de science et de croyance optimiste dans le potentiel humain a attiré une très grande couverture médiatique, i bien qu’elle fit la couverture du célèbre magazine Time sous le titre de « Whars your EQ ? » (Quel est votre coefficient émotionnel ? ). La journaliste Nancy Gibbs y déclarait entre autres : « ce n’est pas votre QI. Ce n’est même pas un nombre. Mais l’intelligence émotionnelle peut être le meilleur prédicteur du succès dans la vie, redéfinissant ce que c’est que d’être intelligent3. ? En très peu de temps, la notion générale d’intelligence émotionnelle gagna largement en popularité, apparaissant dans de nombreux magazines et articles de journaux (pour une liste étaillée voir Mayer, Salovey, & Caruso, 2000). Intérêt Il existerait plusieurs raisons concernant un tel intérêt sur l’intelligence émotionnelle. Tout d’abord, la 0 existerait plusieurs raisons concernant un tel intérêt sur l’intelligence émotionnelle.

Tout d’abord, la majorité des auteurs considèrent que l’intelligence émotionnelle peut être développée et entrainée, ouvrant de ce fait les portes d’un nouveau marché juteux (livres, formations, coaching, etc. ). Ensuite, les affirmations de Goleman (1995a) selon lesquelles l’IE pourrait prédire le succès académique et professionnel ieux que ne le fait le quotient intellectuel (QI), ont reçu un excellent accueil de la part du public américain.

En effet, ce nouveau concept permettait de réduire la prédominance (exagérée[pourquoi]) du recours aux tests de QI aux États-Unis. Il faut savoir qu’aux États-Unis les « gros QI » étaient perçus de façon assez négative par la majorité des gens (Zeiner et Matthews, 2000) et que tout ce qui pouvait diminuer la trop grande importance du quotient intellectuel était généralement perçu de façon positive (Epstein, 1998).

Enfin, le concept d’intelligence émotionnelle venait également ontrer les affirmations de Richard Herrnstein et Charles Murray (1994) dans leur livre The Bell Curve où les auteurs présentaient l’intelligence comme le meilleur prédicteur de la réussite dans de nombreux domaines (école, travail, vie sociale, etc. ). Ils y affirmaient également que l’intelligence dépendait fortement du milieu socio-économique et que la distribution différentielle de celle-ci selon les différents groupes socioculturels déterminait en grande partie les chances de succès scolaire ou professionnel des différents groupes sociaux.

Ce message pouvait au choix être considéré comme pessimiste our les classes sociales moins favorisées, ou au contraire comme une incitation à un effort plus poussé envers ces der favorisées, ou au contraire comme une incitation a un effort plus poussé envers ces dernières. L’intelligence émotionnelle, présentée par Goleman comme une compétence également distribuée à travers toutes les classes sociales et pouvant être développée, peut de son côté soit redonner un message d’espoir, soit inciter les pouvoirs publics à ne pas intervenir.

Les recherches scientifiques sur l’intelligence émotionnelle, en tant que construct clairement identifié, sont relativement ?parses. Différents modèles – parfois opposés sur le plan théorique – sont en compétition, ce qui pose la question de savoir si l’intelligence émotionnelle représente réellement un concept nouveau, et pas simplement un ensemble de concepts déj? connus sous d’autres appellations. De plus, une multitude de textes et de publicités à caractère commercial ont encore ajouté ? la confusion par leurs affirmations racoleuses, voire fallacieuses.

Concept Outre le fait d’avoir une bonne cohérence interne et un pouvoir prédictif substantiel, toute théorie scientifique se doit d’utiliser vec pertinence et précision le langage technique (Mayer, Salovey, & Caruso, 2000). Or, un problème majeur lorsque l’IE est étudiée, c’est que certaines théories se rapportent précisément aux émotions et à l’intelligence alors que d’autres, beaucoup plus larges, intègrent également de nombreux autres concepts comme par exemple la motivation, le niveau de conscience4 ou encore la persistance.

Par conséquent, il est intéressant d’examiner ce que recouvrent précisément les termes « émotion « intelligence » et leur combinaison. Concept d’émotion Les émotions sont reconnues comme étant un des trois ou uatre types d’opération mentale, à savoir : la motivation, les émotions, 0 trois ou quatre types d’opération mentale, à savoir : la motivation, les émotions, les cognitions et (moins fréquemment) la conscience5. Ces concepts sont définies selon la plupart de ces auteurs, tels que Mayer, Salovey et Caruso (2000) en font la synthèse.

Les motivations de base surviennent en réponse à des états internes et incluent donc des « moteurs » tels que la faim, la soif, le besoin de contacts sociaux et le désir sexuel. Le rôle des motivations est de diriger l’organisme dans la réalisation d’actes imples pour satisfaire les besoins de survie et de reproduction. Dans leur forme basique, les motivations suivent un cycle temporel relativement déterminé (ex : la soif augmente jusqu’à ce qu’elle soit étanchée) et sont généralement satisfaites d’une façon spécifique (la soif est satisfaite par le fait de boire).

En ce qui concerne les émotions, il semblerait qu’elles apparaissent chez les mammifères pour signaler les changements (réels ou imaginaires) dans les relations entre un individu et son environnement afin de fournir une réponse adéquate. Par exemple, la colère apparaît en réponse à une menace ou une njustice ; la peur apparait en réponse au danger. Les émotions ne suivent pas un cycle temporel rigide mais répondent aux changements externes dans les relations (ou la perception interne de ceux-ci).

De plus, chaque émotion organise plusieurs réponses comportementales de base à ces relations ; par exemple, la peur organise l’attaque ou la fuite. Les émotions sont par conséquent plus flexibles que les motivations, mais pas encore autant que ne le sont les cognitions. Les cognitions, permettent à Porganisme d’apprendre de son environnement et de résoudre des problèmes dans des situations nouvelles.

Ces apprentiss PAGF s 0 son environnement et de résoudre des problèmes dans des situations nouvelles. Ces apprentissages se font souvent dans le but de satisfaire les motivations ou afin de créer ou de maintenir des émotions positives. La cognition comprend l’apprentissage, la mémoire et la résolution de problèmes. Elle se fait en direct et implique un traitement intentionnel de l’information basé sur l’apprentissage et la mémoire (voir Mayer et al„ 1997 pour une revue détaillée de ces concepts).

Ces trois types d’opération mentale de base s’intègrent et se combinent dans une structure lus large (system framework) pour engendrer des mécanismes plus complexes pour former la personnalité d’un individu. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Selon Mayer, Salovey et Caruso (2000), c’est uniquement au niveau de l’interaction entre les émotions et les cognitions que doit se situer le concept d’intelligence émotionnelle dont ils peuvent légitimement revendiquer la paternité.

Dans cette optique, il était donc utile de clarifier le sens que donnent ces auteurs aux termes ici utilisés car cela permet de constater qu’un rand nombre d’autres modèles d’IE débordent en fait du cadre originel. Ainsi, par exemple, quand Goleman intègre la notion de self-concept à son modeler il introdult dans l’IE un construct de personnalité beaucoup plus complexe qui implique aussi un autre niveau de traitement : celui des motivations.

L’expression intelligence émotionnelle, implique donc quelque chose qui appartient à l’intersection des émotions et des cognitions. Selon cette perspective, afin d’évaluer une théorie touchant peu ou prou à l’intelligence émotionnelle, il faut mesurer le degré auquel la théorie en question se 0 peu ou prou à l’intelligence émotionnelle, il faut mesurer le degré auquel la théorie en question se rapporte à cette intersection. Conceptions de l’intelligence Différentes signfications sont données au terme d’intelligence.

Toutefois, que l’on parle d’intelligence artificielle, d’intelligence humaine ou d’intelligence économique, toutes impliquent le fait de rassembler de l’information, d’apprendre de celle-ci et de raisonner avec elle ; elles impliquent toutes une habilité mentale associée à des opérations cognitives. Le modèle des habiletés mentales a été représenté dans a forme pure par Terman (1921, p. 128), qui affirmait que l’intelligence d’un individu était fonction de sa capacité à mener un raisonnement abstrait (voir l’article QI).

En fait, les conférences académiques sur l’intelligence concluent immanquablement que le premier signe d’intelligence est un niveau élevé d’habiletés mentales tel que le raisonnement abstrait (Sternberg, 1997) Certains pensent que l’intelligence, conceptualisée en tant que raisonnement abstrait, s’est souvent révélée être un bon prédicteur de la réussite et plus particulièrement de la réussite académique, ce qui s’avère être faux.

En effet s’il existe une corrélation dans une majorité de cas, cela s’avère faux concernant les personnes ayant un QI très élevé (supérieur à deux écart- types) où l’on trouve un taux d’échec scolaire très fort. Ainsi, Wechsler (1944, p. 444) disait déjà que des individus aux QI similaires pouvaient différer fortement dans leur capacité ? maîtriser leur environnement.

Définitions En tant qu’habileté Peter Salovey et John Mayer qui ont été les premiers ? utiliser l’expression « intelligence émotionnelle »1 et, situe l’IE uniquement à l’intersection des cognitio 7 0 ‘expression « intelligence émotionnelle »1 et, situe l’IE uniquement à l’intersection des cognitions et des émotions, ont depuis continué leurs recherches sur l’importance de ce concept (Mayer, Salovey, Caruso et Sitarenios, 2003).

Ces auteurs soutiennent que les êtres varient dans leur capacité à traiter l’information d’une nature émotionnelle et leur capacité à établir un lien entre ce traitement émotionnel et la cognition générale. Ils posent ensuite Phypothèse que cette capacité se manifeste dans certains comportements d’adaptation (Mayer, Salovey et Caruso, 2000).

Selon ces auteurs, l’intelligence émotionnelle comporte deux dimensions : la dimension expérientielle (la capacité à percevoir et à manipuler l’information émotionnelle ainsi qu’à y réagir sans nécessairement la comprendre), et la dimension stratégique (la capacité à comprendre et à gérer les émotions sans nécessairement bien percevoir les sentiments ou les éprouver complètement). Chaque dimension est ensuite divisée en deux branches qui vont des processus psychologiques de base aux processus plus complexes intégrant l’émotion et la cognition.

La première branche, celle de la perception émotionnelle, orrespond à la capacité à être conscient de ses émotions et ? exprimer ses émotions et besoins émotionnels correctement aux autres. La perception émotionnelle inclut également la capacité à faire la distinction entre des expressions honnêtes et malhonnêtes des émotions. La seconde branche, celle de l’assimilation émotionnelle, renvoie à la capacité à faire la distinction entre différentes émotions ressenties et à reconnaitre celles qui influent sur les processus de pensée.

La troisieme branche, celle de la compréhension émotionnelle, est la capacité à compr La troisième branche, celle de la compréhension émotionnelle, est la capacité à comprendre des émotions complexes (comme le fait d’éprouver deux émotions en même temps) et celle de reconnaître les transitions d’une émotion à une autre. Enfin, la quatrième branche, celle de la gestion des émotions, correspond à la capacité à vivre ou à abandonner une émotion selon son utilité dans une situation donnée (Mayer et Salovey, 1997).

Modèles mixtes Les modèles mixtes de l’intelligence émotionnelle diffèrent de façon substantielle, des modèles des capacités mentales. En fait, ans les premiers articles académiques sur l’IE, les deux types de modèles ont été proposés6,1. Ces articles présentaient une conception « capacité mentale » de l’intelligence émotionnelle mais décrivaient également librement des caractéristiques de personnalité qui pourraient accompagner une telle intelligence tel que l’authenticité, le fait d’être chaleureux, la capacité à faire des plans pour le futur, la persévérance, etcl .

Mais très vite, les mêmes auteurs ont reconnu que leur travail théorique serait plus utile s’ils se contraignaient à envisager l’intelligence émotionnelle omme une capacité mentale et qu’ils la séparaient des traits de personnalité mentionnés précédemment. En faisant cette distinction, il serait possible d’analyser indépendamment le degré dinfluence de l’IE dans la vie d’une personne. Bien que les auteurs ne négligent pas l’importance des traits de personnalité comme la chaleur ou la persistance, il vaut mieux, selon eux, s’y intéresser directement (Mayer & salovey, 1993, 1997).

Cependant d’autres chercheurs[Qui continuant dans la voie initiale, ont étendu le concept d’intelligence émotionnelle en y mélangeant explicitement des tra PAGF 0 initiale, ont étendu le concept d’intelligence émotionnelle en y mélangeant explicitement des traits n’appartenant pas au domaine des capacités. Il existe deux modèles mixtes majeurs, ? savoir : le modèle de Reuven Bar-On et celui de Daniel Coleman.

Modèle de Bar-On Directeur de l’Institut des Intelligences Appliquées du Danemark et expert-conseil auprès de nombreuses organisations en Israël, Reuven Bar-On a mis au point une des premières mesures de l’intelligence émotionnelle en utilisant l’expression « quotient émotionnel Son modèle gravite autour du potentiel de endement et de succès, plutôt que du rendement ou du succès comme tels, et est considéré comme étant orienté vers le processus plutôt que vers les résultats7.

Il est centré sur une gamme de capacités émotionnelles et sociales, comprenant les capacités à (Bar-On, 1997) : être conscient de soi ; se comprendre et s’exprimer ; être conscient des autres, les comprendre et entretenir des rapports avec eux ; faire face à des émotions fortes ; s’adapter au changement et régler des problèmes de nature sociale ou personnelle. Bar-On justifie comme suit son utilisation du terme intelligence ?motionnelle : « L’intelligence décrit l’agrégation d’habilités, de capacités et de compétences qui représente une collection de connaissances utilisées pour faire face à la vie efficacement.

Cadjectif émotionnel est employé pour mettre en relief que ce type spécifique d’intelligence diffère de l’intelligence cognitive » (Bar-on, 1997, p. 1 5). Dans son modèle, Bar-On distingue cinq composantes de l’intelligence émotlonnelle : l’intrapersonnel, finterpersonnel, l’adaptabilité, la gestion du stress et [‘humeur générale. Ces composantes comportent des sous-composantes, toutes